SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

    Informations

    Présidente :
    Evangeline1
    Activité :
    0 connectée(s)
    48 membres
    3200 messages postés
    Date de création :
    le 29/06/2015 à 21:00

    Présentation
    Modifié le 03/07/2015



    Aperçu






    Aperçu     

    Bienvenue !

    Nous -Evangeline, Lotan, Soste & iPrototype- sommes heureux de vous accueillir dans le fan club de notre groupe instrumental ! Alors, vous êtes prêt à jouer les groupies et à envahir Sailor City ? N'hésite donc plus et viens nous rejoindre dans ce club, parler avec nos autres fans et nos fabuleux musiciens !
     
    Kaze No Jiyu est un therme signifiant "vent de la liberté" et est donc notre nom de groupe. 
    D'ailleurs, notre groupe peut se définir en quelques mots ; poésie, mélancolie, renaissance. 



    Aperçu

    Notre groupe se compose :

    - d'une chanteuse (Soste1522)
    - d'une pianiste (Lotan)
    - d'une violoniste (Evangeline1)
    - d'un altiste (iPrototype)
     
    Pour voir un aperçu de notre groupe au complet !
    ......



    Aperçu
    (sur l'air de Tear Drops, de Gabriel Thorn)

    Et la folie et la vie,
    Tels des amants, se retrouvent ; douce tragédie.
    Un pas, une larme !
    Nous sommes pétales, sans armes,
    Tombant dans le vent du printemps,
    Égarés dans cette existence, ce vent.
    Car la rime n'est plus,
    La vie reste amère,
    Le soleil brille, éphémère,
    La bougie perd sa flamme, c'est saugrenu !
    Et au bout du tunnel, une lueur brille,
    Elle n'est pas comme tant crient,
    Conséquence de la foi.
    Il s'agit de ce qui longtemps fut et longtemps ne fut pas.
    Lueur blanchâtre et froide,
    Tu es le regard de la Grande Balafrée, la Blafarde.
    Oh petits pétales tombant dans ce lointain...
    Il s'agit d'un nouveau chemin.
    Et la folie et la vie
    Tels des amants maudits,
    Songent à se quitter.
    Alors que le lendemain semble austère,
    Que la tempête ne se calme guère,
    Que ce cœurs en nous semble sur le point de céder,
    Une voix chante.
    Elle chante !
    Encore et encore alors que le pétale achève sa course
    Et que le temps verse,
    Pour chacun une larme,souffle : A jamais...
    A terre, le rose est peint,
    Les pétales sont unis, enfin, pour leur fin.
    Tant de pétales, tant de larmes du ciel.
    Les corps se noient.
    Ils ne sauront,
    Que la Lune se cache, lâche, derrière l'horizon,
    Pour ne pas assister.
    Un pétale a refusé de tomber.
    Il gît sur la branche, loin de ses comparses,
    Suivre leur ultime trace.
    La flamme de leur existence,
    Avait été soufflée par cette présence,
    Par ce vent hautain qui ose faire frémir,
    Qui ne cesse de rugir contre
    Les solides branches sur lesquelles
    S'est réfugié un pétale !
    Et la folie et la vie se perdent de vue
    Pour une fin sans entrain.
    Seul, le pétale chante dans les nues;
    Il est la voix, chantant en vain,
    Que là haut, loin des malheurs,
    Loin de la chute aux douleurs,
    Il voit briller un horizon rose.
    La Nature leur disait ces proses,
    Il fallait répondre à cet hommage,
    Il le faisait pour tous ses camarades.
    Pour la Nature.
    Pour les Larmes du ciel.
    Pour la Blafarde !Un coups de vent.
    Une chute. La fin de la chanson.
    Même les plus beaux rêves un jour butent,
    L'espoir lui est là, gravé quelques instants sur l'horizon,
    S’inclinant face aux tombés,
    Se relevant pour les voir briller. 
     
    Tels des amants, se retrouvent ; douce tragédie. 
    Un pas, une larme ! 
    Nous sommes pétales, sans armes, 
    Tombant dans le vent du printemps, 
    Égarés dans cette existence, ce vent. 
    Car la rime n'est plus, 
    La vie reste amère, 
    Le soleil brille, éphémère ,
    La bougie perd sa flamme, c'est saugrenu ! 
    Et au bout du tunnel, une lueur brille, 
    Elle n'est pas comme tant crient , 
    Conséquence de la foi. 
    Il s'agit de ce qui longtemps fut et longtemps ne fut pas. 
    Lueur blanchâtre et froide,
    Tu es le regard de la Grande Balafrée, la Blafarde. 
    Oh petits pétales tombant dans ce lointain...
    Il s'agit d'un nouveau chemin. 
    Et la folie et la vie 
    Tels des amants maudits,
    Songent à se quitter. 
    Alors que le lendemain semble austère, 
    Que la tempête ne se calme guère, 
    Que ce cœurs en nous semble sur le point de céder, 
    Une voix chante. 
    Elle chante ! 
    Encore et encore alors que le pétale achève sa course 
    Et que le temps verse,
    Pour chacun une larme,souffle : A jamais... 
    A terre, le rose est peint, 
    Les pétales sont unis, enfin, pour leur fin. 
    Tant de pétales, tant de larmes du ciel.
    Les corps se noient. Ils ne sauront, 
    Que la Lune se cache, lâche, derrière l'horizon, 
    Pour ne pas assister.
    Un pétale a refusé de tomber. 
    Il gît sur la branche, loin de ses comparses, 
    Suivre leur ultime trace.
    La flamme de leur existence,
    Avait été soufflée par cette présence,
    Par ce vent hautain qui ose faire frémir,
    Qui ne cesse de rugir contre
    Les solides branches sur lesquelles 
    S'est réfugié un pétale ! 
    Et la folie et la vie se perdent de vue 
    Pour une fin sans entrain. 
    Seul, le pétale chante dans les nues; 
    Il est la voix, chantant en vain, 
    Que là haut, loin des malheurs, 
    Loin de la chute aux douleurs, 
    Il voit briller un horizon rose. 
    La Nature leur disait ces proses, 
    Il fallait répondre à cet hommage,
    Il le faisait pour tous ses camarades. 
    Pour la Nature. Pour les Larmes du ciel.Pour la Blafarde !
    Un coups de vent. Une chute. 
    La fin de la chanson. 
    Même les plus beaux rêves un jour butent, 
    L'espoir lui est là, gravé quelques instants sur l'horizon, 
    S’inclinant face aux tombés, 
    Se relevant pour les voir briller. 

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