SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

    Informations

    Présidente :
    Nyctophilia
    Activité :
    0 connectée(s)
    1 membres
    0 messages postés
    Date de création :
    le 21/12/2015 à 18:51

    Présentation
    Modifié le 21/12/2015

     

    ‹‹ Je venais tout juste de fêter mes 18 ans. Dans le petit village ou j'habitais on me connaissait surtout parce que ma défunte mère était morte de façon mystérieuse et obscur. Plusieurs vieillard croyaient que c'était moi qui avait fait mourir la pauvre femme, comme il le disait. Je n'avais jamais rien dit dessus, laissant les rumeurs s'amplifiaient sur moi. Mon père, qui le jour où ma chère mère avait été retrouvée égorgée, n'était pas là. Il était allée vendre une de nos chèvres à un des marchés du village, laissant ma mère et moi ensemble. Je n'appréciais pas réellement ma mère , sans doute parce que jusqu'a l'âge de mes 13 ans elle m'avait battut ou m'avait dit des choses horribles. Mais même avec ça, je n'aurais jamais osée lui faire quoi que ce soit chose que les villagois ne semblait pas comprendre. Je n'avais pas mît bien longtemps avant de m'enfuir à mon tour, laissant sans regret ma mère qui était légèrement malade à la maisonnette. Ma mère ne m'aimait pas vraiment, non plus. Je voyais toujours son regard presque haineux placée sur moi, ou quelques fois se mêlaient un soupçon de crainte et de peur. Peut-être parce qu'elle savait ce que je faisais réellement ? J'avais laissée ces questions derrière moi, alors que j'entrais dans le marché noir qui se situait dans la fôret placée à quelques maisons de chez moi. Je m'étais faîte discrète, mettant ma capuche noirs sur le devant de mon visage : on ne voyait que mon menton dépassée et mes cheveux corbeaux dépassées. La boue impregnait ma robe noirs, alors que je sentais mon pendentif en forme de lune se réchauffait. Aucun doute, j'arrivais bientôt. Sortant un des couteaux des replis de ma cape, je m'entaillais le bout de mon pouce avant de laisser mon sang coulée contre l'une des parois de roches qui faisaient offices d'entrée. Immédiatement après un cercle d'une fumée noirs se formaient autour de moi avant de m'emportée là où avait lieu le marché noir. Chose étrange, ces temps-ci le marché se faisait plus vide, comme si les gens hésitaient à sortir de chez eux. Comme si ils redoutaient quelque chose. C'était assez marrant, sachant que tout ceux qui avaient accès au marché noir étant surtout des sataniques fous, des lunatiques bipolaires, ainsi que des tueurs. Que faisais-je donc là, alors ? C'est vrai que d'un point de vu externe on ne voyait qu'une jeune femme aux charmes évidents, des yeux bleus qui vous oscultez votre âme, mais qui paraissait complètement innocente. Je faisais quelques sortilèges, ici et là, mais je n'avais pas encore passée l'acte à sacrifiait un animal ou même un humain. L'idée même me répugnait, ce qui était un sujet assez tabous pour les autres sorciers qui me regardait toujours de façon suspicieux. Je pense qu'il croyait que d'un moment à l'autre je pouvais les trahirs. Me frayant un chemin devant les passants, je m'arrêtais devant un des étables où on pouvait voir pleins de petits bijoux en forme de tout et n'importe quoi. Passant mes mains dessus, utilisant mes sens magiques, je pouvais donc savoir ce qu'ils avaient de si particulier. Certains avaient une particularité sur l'eau, sur le sang, sur la beauté pour appâter les proies, ou encore sur les os. Aucun ne me plaisait, et alors que j'allais me reculais je croisais un regard perçant vert dorée qui me regardait avec mépris. Presque avec haine. Fronçant les sourcils, je reculais immédiatement ma main, reculant d'un pas sous la surprise. Un jeune homme, qui semblait avoir le même âge que moi et qui me surplombaient d'au moins d'une tête. Son visage changea de tout au tout en voyant que je le regardais moi aussi, redevant presque impassible. Alors que j'allais me retournée sans demander mon reste celui-ci s'étant désintéréssée de moi et semblant discutée silencieusement avec un autre homme d'environs 35 ans et que je le voyais de profil, celui-ci fût bousculée me laissant voir une arme qui était auparavant caché par une cape similaire à la mienne. Retenant un hoquet de surprise, je pûs sentir mes mains tremblaient légèrement. Un chasseur, ici même. Lieu de repère pour nous. L'un d'eux c'était donc infiltrée parmis nous ? Une brise vînt soulever mes mèches alors qu'une colère sourde montait en moi.

    ___

     


    Ce genre de couleurs n'étaient pas très bien perçu, si mes souvenirs sont exactes. J'étais munis d'une robe en laine rapeuse comme je les adorais, alors qu'un bijou en forme de lune pendait aux creux de mes seins. Une grande cape recouvrait mes épaules, et la capuche restait mollement dessus mon dos, alors que j'avançais de façon déterminée. Malgré le temps hivernale je ne sentais pas le froid qui picotait ma peau blanchâtre même si on pouvait fort bien constater que la température avoisinait les 0 degrès : mes lèvres rosées qui étaient entrouvertes laissées passée une buée blanche, alors que mes joues prenaient une couleur qui tirait vers un rose pâle. J'avais simplement de petites bottines qui laissaient passées le froid, alors que je m'enfonçais encore plus profondèment dans la forêt funèbre. Mon père ne me demandait jamais ce que j'y faisais là-bas, et pour cela je l'en remerciais toujours. Néanmoins, quelques fois, je pouvais voir du coin de l'oeil ces yeux se posaient presque craintivement sur ma silhouette. En vérité, je doutais de plus en plus qu'il savait que je pratiquais quelque chose d'inégale, ou même de complètement fou. Je voyais bien aussi autour de moi les garçons me regardaient avec un regard suspicieux, ou encore d'autres qui dès qu'ils me voyaient changée directement de direction. Alors que je réfléchissais à tout ces regards, je m'étais arrêtée alors que mon regard était restée fixée sur un petit moineau, mort, dû au froid. J'avais ressérée les pans de ma cape autour de moi alors que je m'approchais par petits pas vers le cadavre misérable du petit oisillon. Je m'étais accroupis près de lui, ma peau devenant chaude, alors que mes yeux miroitaient comme des miroirs face à de la lumière. Or, il n'y avait absolument pas de lumière : justement, l'obscurité se faisaient de plus en plus présent. J'avais approchée mes doigts de la coquille vide avant de fermait mes yeux tout en touchant les plumes de l'oiseau pour ensuite murmurait des mots dans un dialecte inconnu, faisant apparaître une sorte de fumée grisâtre qui s'enfonçait dans le corps de l'oiseau. Je n'avais pas besoin d'ouvrir les yeux pour savoir ce qui s'opérait sur mes doigts, étant maintenant habituée. Rouvrant les yeux, j'enfouissais mes mains dans les pans de ma cape alors que l'oisillon commençait a se cortensionner puis à pailler. Trois minutes s'ensuivirent, avant qu'il ne s'échappe battant des ailes furieusement. Le calme revînt sur la forêt alors que je regardais encore là où il était parti. Mais ce calme partit rapidement en fumée, tandis que je me relevais agilement, entendant à la dernière minute des pas derrière moi. Sans somnation des mains aggripèrent ma chevelure alors que je poussais un petit cri de surprise, et qu'on me tirait la tête en arrière exposant mon cou tout en me faisant arquer le dos de façon douloureuse. Prit d'un instinct naturelle, j'aggripais la main qui me retenait prisonnière la griffant tout en essayant de me délivrer, alors que mon souffle commençait à grimper en flèche dû à la peur et à la confusion. Cette même main -- sans que je ne vois encore le visage de la personne, me tira brutalement au sol alors que je chutais lamentablement sur la neige. Je pûs apercevoir deux silhouettes, et alors que l'une d'entre-elle me tenait fermement les poignets aux sols, l'autre m'entravers les deux jambes avec un objet inconnu m'empêchant tout mouvement. Mes yeux chutèrent sur l'arme du second qui m'avait entravée alors que mes lèvres formaient un cri muet. Des chasseurs.

     

     

    L'évenement déclencheur de mes pensées noirs, ainsi que le fait de faire souffrir les autres ne me fait maintenant ni chaud ni froid, est dû à un jour d'hiver et des tortures qui m'a été fait subir.

    Nouvelles membres


    Discussions