SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

    Informations

    Présidente :
    Paphilionne
    Activité :
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    Date de création :
    le 25/12/2016 à 22:55

    Présentation
    Modifié le 07/06/2019

     

    En 1860, l’heure n’est plus aux projets d’éducation, il n’y a plus que le châtiment et l’enfermement dans des colonies pénitentiaires publiques, des prisons qui ne disent pas leur nom. L’Etat en multiplie la création, les mineurs y sont placés de très longues années, dans une simple logique d’exclusion et de punition : les dortoirs sont progressivement compartimentés en « cages à poules grillagées ». Le travail n’est plus, comme trente ans auparavant, guidé par un souci d’apprentissage, il est devenu un élément de la peine. « Il faut soumettre l’enfant ».
    La colonie pénitentiaire agricole et maritime de Belle-Île-en-Mer.
    Les jeunes détenus sont appelés colons. Les colonies sot composées de ces colons, de contremaîtres (présents en permanence, chargés de la formation professionnelle, de l'enseignement et du quotidien) et de surveillants. 
    Certains colons sont issus de la noblesse, leur séjour de quelques jours est coûteux, ils financent en grande partie le centre. Ils font partie de la section de La Maison Paternelle, ce sont des fils de famille placés par mesure de correction, en avertissements.
    La colonie est organisée en divisions de 24 enfants (appelés familles), regroupés « d'après leur âge et leur conduite ». Chaque famille, identifiée par une lettre et le nom d'une personnalité tutélaire liée à leur corps de métier, est divisée en deux sections, dirigées chacune par un chef de section choisi parmi les élèves et nommé par eux-mêmes. Chaque division est placée sous la responsabilité d'un contremaître « chef de famille » et hébergée dans un pavillon identifié par sa lettre.
     Il y a un quartier disciplinaire de vingt cellules et les dortoirs, auxquels on accède par des échelles, ils compartimentés en cellules grillagées de 1,5 mètres sur 2 mètres.
    Le couvre-feu est à 21h15. 
    Le réveil est au clairon à 5 heures du mois avril au mois de septembre, à 6 heures le reste de l'année. 
    La journée est rythmée par les prières et le travail, effectué en silence.
    Les pensionnaires font l'objet d'une surveillance constante. Ils ont la tête rasée une fois par mois et portent un uniforme.
    Les élèves sont logés, nourris et instruits gratuitement, mais ils doivent subvenir à toutes les autres dépenses. Pour ce faire, les sommes qui leur sont dues au titre de leurs travaux sont portées sur un livret et celles qu'ils dépensent au magasin de la Colonie en sont déduites, la rétribution du travail étant fixée « de manière à ce que le montant annuel du gain n'excède pas d'une proportion déterminée la somme nécessaire pour subvenir aux dépenses laissées à la charge de l'élève » 
    L'instruction (une heure par jour avec un peu de calcul, de lecture et d'écriture) tient peu de place. Elle s'arrête dès que le personnel estime que le niveau atteint est suffisant, « pour ne point donner aux élèves des connaissances qui, relativement à l'état actuel de l'instruction du peuple, seraient peu en rapport avec la condition qu'ils doivent occuper en sortant de la Colonie » 
    Le travail est pénible, la nourriture médiocre : pour une journée, 750 grammes de pain rassis (« de la surveille » et distribué en quatre fois), un litre de soupe maigre au déjeuner et au dîner, accompagné chaque fois de légumes secs. Le jeudi et le dimanche, les pensionnaires ont droit à la soupe grasse accompagnée de 75 grammes de viande cuite désossée.
    Les fautes sont sanctionnées par des amendes, des retenues, la réclusion en cellule au pain et à l'eau (lorsqu'il y a insubordination ou mauvaise conduite). Le règlement prévoit cependant que « les élèves ne peuvent jamais être frappés » et que « aucun genre de travail ne pourra être considéré comme objet de punition », de même, aucune punition n'entraîne pour l'élève puni la suspension du travail.
    Malgré la présence d'une infirmerie et d'un service médical, les décès, par accident, maladie, meurtre ou suicide, sont monnaie courante. Les estropiés et les malades chroniques qui ne peuvent plus exercer leur activité laborieuse doivent quitter la colonie 
    La colonie reçoit des jeunes détenus acquittés, ayant agi sans discernement mais non remis à leurs parents, et des jeunes condamnés à un emprisonnement de six mois à deux ans qui seront, pendant les trois premiers mois, cantonnés dans un quartier distinct. On peut arriver à la colonie à 13 ans et y rester jusqu’à sa majorité pénale, 16 ans, ou sa majorité civile, 21 ans.
    À l'origine, la vocation maritime de la colonie est très marquée. Il y a une centaine de colons, avec quatre ateliers : matelotage et timonerie ; voilerie et filets ; garniture ; corderie.
    Les apprentis matelots s'exercent d'abord sur le Ville de Palais, un trois-mâts ensablé dans la cour. 
    Formulaire : 
    Nom
    Prénom 
    Âge 
    Crime commis 

    Caractère (pas d'histoire, on découvrira au fur et a mesure(?

     

     

     

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    Image 



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    En 1860, l’heure n’est plus aux projets d’éducation, il n’y a plus que le châtiment et l’enfermement dans des colonies pénitentiaires publiques, des prisons qui ne disent pas leur nom. L’Etat en multiplie la création, les mineurs y sont placés de très longues années, dans une simple logique d’exclusion et de punition : les dortoirs sont progressivement compartimentés en « cages à poules grillagées ». Le travail n’est plus, comme trente ans auparavant, guidé par un souci d’apprentissage, il est devenu un élément de la peine. « Il faut soumettre l’enfant ».
    La colonie pénitentiaire agricole et maritime de Belle-Île-en-Mer.
    Les jeunes détenus sont appelés colons. Les colonies sot composées de ces colons, de contremaîtres (présents en permanence, chargés de la formation professionnelle, de l'enseignement et du quotidien) et de surveillants. 
    Certains colons sont issus de la noblesse, leur séjour de quelques jours est coûteux, ils financent en grande partie le centre. Ils font partie de la section de La Maison Paternelle, ce sont des fils de famille placés par mesure de correction, en avertissements.
    La colonie est organisée en divisions de 24 enfants (appelés familles), regroupés « d'après leur âge et leur conduite ». Chaque famille, identifiée par une lettre et le nom d'une personnalité tutélaire liée à leur corps de métier, est divisée en deux sections, dirigées chacune par un chef de section choisi parmi les élèves et nommé par eux-mêmes. Chaque division est placée sous la responsabilité d'un contremaître « chef de famille » et hébergée dans un pavillon identifié par sa lettre. Il y a un quartier disciplinaire de vingt cellules et les dortoirs, auxquels on accède par des échelles, ils compartimentés en cellules grillagées de 1,5 mètres sur 2 mètres.
    Le couvre-feu est à 21h15. Le réveil est au clairon à 5 heures du mois avril au mois de septembre, à 6 heures le reste de l'année. La journée est rythmée par les prières et le travail, effectué en silence.Les pensionnaires font l'objet d'une surveillance constante. Ils ont la tête rasée une fois par mois et portent un uniforme.
    Les élèves sont logés, nourris et instruits gratuitement, mais ils doivent subvenir à toutes les autres dépenses. Pour ce faire, les sommes qui leur sont dues au titre de leurs travaux sont portées sur un livret et celles qu'ils dépensent au magasin de la Colonie en sont déduites, la rétribution du travail étant fixée « de manière à ce que le montant annuel du gain n'excède pas d'une proportion déterminée la somme nécessaire pour subvenir aux dépenses laissées à la charge de l'élève » 
    L'instruction (une heure par jour avec un peu de calcul, de lecture et d'écriture) tient peu de place. Elle s'arrête dès que le personnel estime que le niveau atteint est suffisant, « pour ne point donner aux élèves des connaissances qui, relativement à l'état actuel de l'instruction du peuple, seraient peu en rapport avec la condition qu'ils doivent occuper en sortant de la Colonie » 
    Le travail est pénible, la nourriture médiocre : pour une journée, 750 grammes de pain rassis (« de la surveille » et distribué en quatre fois), un litre de soupe maigre au déjeuner et au dîner, accompagné chaque fois de légumes secs. Le jeudi et le dimanche, les pensionnaires ont droit à la soupe grasse accompagnée de 75 grammes de viande cuite désossée.
    Les fautes sont sanctionnées par des amendes, des retenues, la réclusion en cellule au pain et à l'eau (lorsqu'il y a insubordination ou mauvaise conduite). Le règlement prévoit cependant que « les élèves ne peuvent jamais être frappés » et que « aucun genre de travail ne pourra être considéré comme objet de punition », de même, aucune punition n'entraîne pour l'élève puni la suspension du travail.
    Malgré la présence d'une infirmerie et d'un service médical, les décès, par accident, maladie, meurtre ou suicide, sont monnaie courante. Les estropiés et les malades chroniques qui ne peuvent plus exercer leur activité laborieuse doivent quitter la colonie 
    La colonie reçoit des jeunes détenus acquittés, ayant agi sans discernement mais non remis à leurs parents, et des jeunes condamnés à un emprisonnement de six mois à deux ans qui seront, pendant les trois premiers mois, cantonnés dans un quartier distinct. On peut arriver à la colonie à 13 ans et y rester jusqu’à sa majorité pénale, 16 ans, ou sa majorité civile, 21 ans.
    À l'origine, la vocation maritime de la colonie est très marquée. Il y a une centaine de colons, avec quatre ateliers : matelotage et timonerie ; voilerie et filets ; garniture ; corderie.Les apprentis matelots s'exercent d'abord sur le Ville de Palais, un trois-mâts ensablé dans la cour. 


    Formulaire : 

    Nom

    Prénom 

    Âge 

    Crime commis 

    Caractère (pas d'histoire, on découvrira au fur et a mesure(?))

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