SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

    Informations

    Présidente :
    eldiablo25
    Activité :
    0 connectée(s)
    1 membres
    49 messages postés
    Date de création :
    le 10/02/2018 à 15:42

    Présentation
    Modifié le 10/06/2018

    L’eau est un élément ni bien, ni mal. Elle peut inonder comme remplir, submerger comme se vider, jouer comme anéantir, avancer comme reculer. Elle est indomptable et imprévisible. L’eau peut changer de forme, de couleur parfois, malgré le fait qu’elle n’en ai pas réellement. Elle est en constante transformation. Si vous essayer de la saisir, elle glissera entre vos doigts et s’enfuira à toute vitesse. 

    Insaisissable petite créature.

    L’eau peut former un océan, une mer, un lac, une rivière ou une source. Tous ces lieux sont les habitats des naïades. Ces créatures envoûtantes, aussi bien mâles que femelles, à qui il suffit d’un regard pour vou faire tomber dans leur bras. Non pas qu’elle usent de leur charme, bien au contraire. Cette magnifique espèce est bien trop discrète. Elle se cache souvent des autres, du monde. Les naïades restent chez elles, sans aucune curiosité pour ce qui les entoures. 

    Et elles ont bien raison.

    L’homme est dangereux pour elles. Il chasse, jusqu’à réussir à dompter ces jolies perles rares. Les nymphes en général les évitent donc. Il s’est développé une sorte de timidité chez elles. Mais l’homme n’est pas son seul ennemi. Les affreux sorciers et sorcières s’amusent à les capturer pour en faire des sujets d’expériences de leurs sorts. Les pauvres petites naïades sont en voie d’extinction. Les vampires aussi jouent avec. Elles sont devenus cela. Oui, une sorte de jouet commun, qui s’use encore et encore jusqu’à disparaître complètement.

    Jouer, jouer avec les petites naïades, et vous regretterez leur absence une fois votre amusement fini.

    Une seule espèce leur est venue en aide. Les sirènes. Pas comme la douce et un peu niaise Ariel bien évidemment. Les sirènes ont toujours été très cassantes et réalistes. Elles sont également reliées à l’eau. C’est leur élément vital. Les naïades et elles sont faites pour bien s’entendre. Alors elles se sont mutuellement protégées de cette population et de ces créatures infâmes qui prenaient un malin plaisir à les torturer.

    Ce sont des petits êtres fragiles, il suffit que vous les preniez dans vos bras pour qu’elles se brisent.

    Yuu. Poisson. Un petit animal qui nage dans l’eau qui coule à flot, qui se déplace à toute vitesse, échappant au filets de ses redoutables prédateurs, plus petit et inoffensif que jamais.

    C’est le nom qu’une de ces naïades et une sirène mâle on donnés à leur fille. 

    Yuu est toute la fragilité et la pureté des deux espèces réunies. Elle est hybride. Un petit coeur touchant, rempli de grâce et de tristesse. Des larmes aussi belles que sombres. Des yeux si captivants et pourtant si vides. Une âme perdue. Il faut que quelqu’un la sauve.

    On pourrait dire d’elle qu’elle est muette, innocente, triste en permanence, pensive. Si vous pensez cela ne serait-ce qu’un instant, c’est que vous ne la connaissez pas assez. En effet vous vous trompez.

    Yuu était rieuse, emplie d’une joie de vivre époustouflante, débordante d’énergie, d’un cerveau muri et intelligent, d’un sens de l’empathie incomparable, faisant preuve de ruse, d’agilité et d’adresse. Elle était si épanouie.

    Lorsque vous retirez à une fleur ses racines, elle se fane. 

    Tout es devenu obscurité, ténèbres angoissant et peur incessante. Son père à été tué. Sa mère à été emportée par les prédateurs qu’elle redoutaient tant. 

    Et notre petit poisson s’est retrouvé seul, abandonné.

    Le sourire de Yuu s’est effacé. A la place pleurs et indifférence. Elle est partie, sans que personne ne l’est jamais revue. 

    Parfois elle nage gracieusement, de sa queue turquoise flamboyante, parfois elle court, avec de douces et fines jambes. 

    Ne tentez pas de la stopper. Sinon l’eau s’enfuira, je vous l’ai déjà dit. Elle s’enfuira, encore plus blessée.



    Dis, quel âge elle a ? Ou plutôt quel âge j’ai ? Pourquoi je parle de moi à la troisième personne hein ? Parce que j’ai l’impression de ne pas être moi. La petite fille souriante. Non, je ne suis pas elle. Je ne suis pas la vraie Yuu. Je ne suis que son image détériorée par le temps qui passe, vieille par les années qui se sont écoulées.

    Alors j’ai 21 ans. 20 peut-être, ou 22. J’ai arrêté de compter quand ils sont partis. Quand mes racines ont été saccagées. Racines dont je n’ai aucun souvenir d’ailleurs, ne serait-ce peut-être une vois féminine et une étreinte brute. Je ne me souviens même pas de leurs prénoms, et encore moins de leurs noms. De mon nom.


    Je suis une ancienne photographie de moi-même, le sourire s’étant effacé de ses lèvres pêches.

     

    s

    Drôle

     

    Personne n'a comprit ce qui c'est passé. Comment des humains du jour au lendemain développèrent des pouvoirs magiques. Certains contrôlaient les cinq éléments d'autres pouvaient faire des sortilèges diverses. Les humains n'étaient plus ses êtres sans défenses victimes de ces monstres. Leur société évolua, les maîtres des éléments étaient appelés magiciens et les jeteurs de sortilège sorcier et malgré ce que l'on pourrait croire ils ont toujours vécu ensemble dans une harmonie presque parfaite. 

    C'est dans une famille de sorcier tout ce qu'il y a de plus banal que naquit Ael. Jeune de femme de vingt et un an. Banal, ce n'est pas vraiment le cas. Ael est née chez les protecteurs de la famille royal, les Raayid. Toute sa vie elle n'a été entraîné à une seule chose, être la machine de protection ultime. Leurs vies passent avant la sienne, elle ne doit avoir aucune attache aucun sentiment. Priorité à la reine Monika, tout ce qu'elle lui demande de faire doit être exécuté, sans plainte, sans avis personnel machinalement, tout doit juste être exécuté. Sans rien ressentir tel la petite machine de guerre que ses parents ont élevé, ils attendent des résultats après tout.

    Ne rien ressentir, c'est un rêve que jamais Ael n’atteindra. Elle ressent tout. La douleur, la culpabilité qu'entraîne le fait d’ôter une vie. Cette perpétuelle tristesse accompagné d'une agaçante colère d'eu à la mort son grand frère, tué par ces maudites nymphes. Cette frustration permanente du au fait que jamais elle pourra choisir son destin. Pourquoi, pourquoi devait elle subir cela? Mais qui en a quelques choses à faire des sentiments que peut ressentir une chair à canon? On lui demandait d'exécuter ce que la reine voulait alors elle le ferra.

    Sa personnalité? Le principe même c'est qu'elle n'en est pas, plutôt qu'elle devrait pas en avoir. Mais si vous faîtes attention vous pourrez voir une jeune femme impatiente, impulsive et irraisonnable. Toujours en colère car c'est la colère qui rythme sa vie.

    mp

    Nouvelles membres


    Discussions