SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    Andestria
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    le 21/09/2018 à 23:33

    Présentation
    Modifié le 24/09/2018

     [YOUNOKIZ est ma soeur, no multicompte]

     
    INTERDIT
    Musique d'ambiance 


     "Chemin du passé, Refrain érodé"





     Perdu dans sa vie et dans ses sentiments, Marcus s'engage dans un chemin interdit. 

    Comme un jeu du chat et de la souris, les deux êtres s'attirent et se rejetent, dans une spirale infernale. 

    Inspire, Expire. 
    L'odeur du désir. 
    Sentiment exquis.

    Mais alors qu'il renoue les liens avec les êtres oubliés, la moindre erreur pourrrait le faire chuter. 

    "Marcus, es tu prêt à tout perdre, te perdre ?"





       

     

                      

            

          

    Personnages



    Marcus Simons, 37 ans. 
    « La fainéantise est un vilain défaut, fils », c’est ce que lui répétait son père. 
    Alors, il avait travaillé avec acharnement, pour obtenir cette parcelle de fierté dans les yeux de son paternel. Ses études réussies, il avait été pris dans une Entreprise de grande renommée, lui permettant de devenir un jeune homme parfait en tout point. Jusqu’à sa mort, cependant, il ne lui avait offert que des airs réprobateurs : sourcils froncés, lèvres fermées, son père était un grand homme d’affaire, res-pectés par ses pairs, craint par sa famille pour ses excès de colère. 
    Pourtant, dans un sens, Marcus l’aimait. L’idéalisait.
    Jusqu’à suivre ses pas.
    Sa perte avait procuré un vide dans le cœur du jeune homme qu’il était encore, un vide qui ne se re-fermerait jamais.
    Alors, pour oublier, il avait travaillé encore plus dur, toujours plus dur. 
    A son tour, il était devenu cet homme respectable, tout en s’enfermant dans ce monde impitoyable, délaissant femme et enfant. Il ne comptait plus les heures supplémentaires, les nuits blanches, les coups de téléphone le dimanche. Mais aucune passion dans ses yeux.
    Il était devenu terne. 
    Bientôt, il avait fini par stagner, sans possibilité d’avancement. On le glorifiait pour la qualité de son travail, le respectait pour son pragmatisme, mais il n’entendait rien. Il était désespérément seul. 
    Incapable de comprendre et encore moins de témoigner ses sentiments, il s’était enfermé dans cette solitude, dans cette colère sourde. Il gardait tout pour lui. Aucun excès de colère, seulement des re-gards pleins d’amertume. Cette même amertume qui le rongeait depuis toujours. 
    Cette vie ne le suffisait pas, il en voulait toujours plus. Chercher l’approbation dans les yeux d’un mort. Hérésie. Douleur. « Chemin du passé, Refrain érodé ». 

    Pourtant, il avait tout pour lui. Sophie, sa femme, l’aimait toujours aussi éperdument malgré ces an-nées de tourments, ses soirées seules devant le repas servis. Ses nuits seuls, en serrant les draps froids. Marcus avait rencontré sa femme très jeune, alors qu’il cherchait encore l’approbation de son paternel. Elle était belle, venait d’une bonne famille, gentille et compréhensive. Effacée. 
    Ils avaient rapidement fondé une famille, et cet enfant qui entrait dans leur vie avait permis à Sophie, sa femme, de trouver une nouvelle voie, celle d’épouse et de mère dévouée.
    Mais Marcus était resté le même. Absent le jour de sa naissance, absent lors de ses premiers pas, ses premiers babillements, ses premiers mots. Son fils avait appris à l’aimer, puis rechercher éperdument son attention, pour finalement le détester. Ne restez qu’entre eux un fossé, ce même fossé que Marcus avait créé de ses propres mains. 

    Mais comme la guillotine qui s’abat sur le condamné, la vie de Marcus avait été chamboulée en ce jour de pluie, alors que lettre de licenciement trônait entre ses doigts tremblants. 
    Il avait atteint ses limites, on ne lui en demanderait pas plus, c’est ce qu’on lui avait dit. 
    Une vengeance cruelle du destin, alors qu’il retournait à son domicile, plein de colère. 
    C’était la première fois qu’il parlait de son travail, la première fois qu’il brisait le mur. La première fois qu’il pleurait. Evacuer, toute cette pression. Désormais sans emploi, Marcus se retrouve devant ce miroir, usé par le temps, pour voir son propre visage, son propre corps, lui aussi usé par les années de travail, la peur de ne pas être assez fort. De ne pas contrôler, sa propre vie. Et cette douleur sourde, qui lui martèle le cœur. 
    L’amour docile de son épouse, l’indifférence de son fils, sa propre colère, incontrôlable.
    Et ce jeune homme, qu’il n’avait jamais vraiment eu l’occasion de côtoyer, pourtant le seul être qui semblait faire rayonner la maison familiale. C’était avec lui que sa femme riait aux éclats, avec lui que son fils semblait s’épanouir. Avec lui que Marcus se surprenait à entrer dans un jeu du chat et de la souris. A la fois chasseur et proie, les deux êtres se jaugeaient, se cherchaient. 
    Un jeu dangereux, auquel il aurait souhaité ne jamais participer. 



    jjjj
    Joshua CLAVEL (surnommé Josh), bientôt 18 ans. Il ne connaissait pas son père. Il ne connaissait pas vraiment sa mère non plus, même s’ils vivaient tous les deux sous le même toit. Il était un accident, un « imprévu », pour être plus doux.
    Il avait grandis sans affection.
    « -Je n’ai pas le temps de m’occuper d’un gamin. », lui répétais depuis toujours sa mère. 
    Elle ne le haïssait pas, mais ne l’aimait pas non plus, comme une mère pourrait aimer son enfant.
    Il avait pleuré, la première fois qu’il entendit ces mots. Il avait fuis la maison, anéantis, âgé alors de 7 ans.
    Il était juste…là. Un humain parmi tant d’autre. Un père inconnu, dont sa mère ne savait pas elle-même qui il était.Treize heures après sa fugue, la police le trouva dans un des parcs de la ville, recroquevillé sur lui-même, perdu et affamé.
    Quand ils le ramenèrent chez lui, sa mère le calcula à peine. Elle s’était simplement excusée par respect auprès des policiers pour le « dérangement ».

    Elle ne l’avait pas disputé, elle ne l’avait pas pleuré. Rien. Elle était tout simplement retournée à ses occupations après cela.
    Il prit conscience à ce moment-là, que sa mère ne serait que sa « mère», et non sa « maman ».
    Sa mère s’occupait quand même de lui. Elle le nourrissait, le logeait, mais c’était un peu comme un animal dont on doit s’occuper, parce-que l’abandonner, c’est mal.
    Pendant quelques temps, il pleurait, il se sentait horriblement seul. Il enviait ses camarades qui avaient de la famille aimante et attentionnés. Il finissait même par les jalouser. Mais au fil des années, ces sentiments de solitude, de tristesse et de jalousie se dissipèrent, enfin, se camouflèrent… Il avait fini par se dire que chacun avait sa propre vie, qu’il y avait pire que lui et qu’il fallait faire avec, même si cela était douloureux. Il grandit dans le manque d’affection, d’attention, dans la froideur et l’ignorance. 

    Assez triste vie n’est-ce pas ? Comme il aimait se dire de temps en temps, pauvre sourire sur le visage.

    Oui et non enfaite.
    Joshua avait tout de même était une personne qui attirait les gens.
    Malgré qu’il ait grandi dans la froideur et l’indifférence, le jeune garçon a toujours eut son « lui profond ». C’était enfaite un garçon gentil, souriant et intelligent qui avançait malgré les obstacles, même si on sentait qu’il cachés souvent son jeu, son airs souvent malicieux ne trompait personne, mais c’est ce qui faisait son charme. Les gens l’appréciaient et parfois l’admiraient. Il possédait une forte personnalité et un fort charisme qui attirait malgré lui. Evidemment, il lui arrivait de se quereller pour des broutilles, n’oublions pas qu’il restait un ado malgré tout.
    Joshua était le garçon qui était le « pote » de tout le monde. Ils le connaissaient tous, discutaient tous avec lui, mais tout en restant camarade. Il n’était pas vraiment proche des autres. C’est lui qui donnait cette impression inaccessible, c’est lui, qui posait une barrière face à eux. 
    Mais il eut tout de même, meilleur ami, le seul, qu’il rencontra au collège, durant son année de 5e.
    A l’époque, celui-ci était un jeune garçon, plus âgé de quelques mois à peine. Retrouvés côte à côte à la rentrée, ça avait de suite collé entre eux. «-Je m’appelle Shaun ! » lui avait alors dit le garçon avec un grand sourire aux lèvres, lui serrant frénétiquement la main comme un idiot. Joshua en resta quelque peu perplexe sur le coup, n’ayant pas l’habitude qu’on l’accoste aussi familièrement, du moins, pour un étranger et surtout à cette période de son enfance, où il était assez renfermé sur lui-même.

    « -Joshua… » Avait-il simplement répondu. Shaun était le fils d’un grand homme d’affaires, reconnu et respecté dans son milieu, et d’une femme de bonne famille.
    La famille parfaite…, avait sur le moment pensé Josh. Mais c’est un peu plus tard, qu’il apprit que ce n’était pas vraiment le cas…
    Leurs personnalités assez similaires, les avaient rapidement rapprochés et nouaient un lien fort. Très vite, les deux jeunes garçons devinrent inséparables. Ils étaient devenu le duo de l’école, à tel point que si on pensait Josh, on pensait Shaun, et inversement.
    Une grande amitié était née. Joshua trouvait agréablement le soutien et l’affection dans Shuan qu’il n’avait jamais eu. Il était pour lui, le frère qu’il n’aurait jamais, et petit à petit, il se retrouva régulièrement chez son ami, où il fit la connaissance de ses parents.
    Sophie, la mère de Shaun, était une très belle femme. Elle était compréhensive et gentille et abordait toujours un visage souriant face à lui.
    Pour Josh, elle jouait le rôle de sa mère à la place de la sienne. Un petit bout de femme qui vous réchauffait le cœur. Elle semblait tout aussi attaché à lui qu’il semblait attaché à elle.
    Aller chez Shaun, était comme aller chez lui, en mieux.Toujours accueilli à bras ouverts, le sourire aux lèvres par les membres de cette famille, il était un peu comme le second fils de la famille Simons. 
    Enfin du mois, pour deux des membres.

    La famille Simons, bien qu’elle semblait épanouis de l’extérieur, possédait aussi ses peines. Le père de famille, Marcus, se faisait rarement présent, toujours enfermé dans son travail, négligeant sa propre femme et son propre fils. Shaun lui parlait souvent de lui comme un père raté.
    Pourtant, quand Joshua avait eu les rares occasions de discuter avec lui, il lui paraissait plutôt bon, froid certes, assez intimidant et dur à percer mais, bon. Enfaite, avec lui, il avait une sa sensation de similitude… Cet homme avait un foyer mais ne semblait pas y faire réellement parti. Il semblait être dans son monde.
    Joshua l’admiré. Il inspiré le respect et la réussite. Un homme qui semblait si…parfait ? 
    Joshua se surpris à s’intéresser à lui. Cet homme qui semblait fermer. Inatteignable. Un peu comme…lui ?
    Il voulait le connaître, être témoins de ses réussites et de ses défaites. Le suivre dans ses démarches.
    La curiosité de son âge et son caractère malicieux le poussait à accoster cet homme qui l’attiré étrangement. Il voulait réussir à devenir proche de cet homme, comme il l’était devenu naturellement avec son ami et la mère de celui-ci. 
    Il voulait…le connaître.

    jjefShau
    gShaun
     Shaun, l'enfant prodige.
    Gentil et jovial, il se renferme en présence de son père. 
    Il joue de différents instruments de musique et voudrait monter un groupe avec lui et...lui. Bout en train, il plaisante surt tout et n'importe quoi et ne voit que rarement le mal chez les autres, sauf chez son paternel qu'il a appris à détester autant que les épinards. 
    Gentil 



    ggg





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