SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    le 02/06/2020 à 11:17

    Présentation
    Modifié le 02/06/2020

    [ Club Principal ]

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    [ Club Personnages 1 ]

     

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    | Kilari Grey - 17 ans |  (Kitty_San)

     


    "Ils sont partis , nous ont abandonnés juste parce que mon frère et moi ne sommes pas parfaits ou juste comme toutes les personnes de notre âge"

    Kilari Floyds en plus d'être dyslexique , elle est stupide.

    Savez-vous qu'il y a des personnes extrêmement stupides au point où tu peux te demander si leurs cerveaux ne sont pas remplacés par des cailloux par hasard .
    Kilari ne fait pas vraiment l'exception , elle est mignonne' mais n'a rien dans le cerveau , sa capacité à penser s'élève au niveau de celui d'une petite cuillère et le but de son existence se limite à vivre pour manger , rencontrer des nouvelles personnes et câlins .
    La jeune fille est extrêmement naïve , maladroite , quelque peu idiote et une gaffeuse du premier ordre.
    Sa naïveté , sa lenteur d'esprit en font d'elle une proie facile .
    C'est une personne ayant un gros appétit au point où on peut se demander si la grandeur de son estomac n'est pas égal à celle de la terre , elle aime manger , câliner ,manger , chanter , manger , danser et puis manger , manger , manger....encore manger .
    Contrairement à son frère jumeau , elle croit aveuglément aux autres et à la place d'arranger les choses ou régler un problème , elle ne fait qu'aggraver la situation.
    Elle est l'exemple parfait de la fille qui ne comprend et ne se rend compte de rien .
    Elle ne peut pas dire de méchanceté à quelqu'un même si ce dernier est horrible avec elle. Kilari pardonne toujours tout à tout le monde comme si de rien n'était . Elle se croit toujours dans le monde des licornes où tout est beau, tout est merveilleux , sans nuage à l'horizon. Elle donne l'image d'une personne qui a dû aller à une école d'un monde parfait.
    La jeune fille change d'avis comme de chemise , à une seconde c'était oui et quand tu dis d'accord , elle change d'avis et dit non.
    Malgré sa stupide , c'est une personne extrêmement positive , elle voit toujours le bon côté des choses et prête à illuminer n'importe quelle âme dans la tristesse ou dans la solitude.
    Bien qu'elle soit un peu enfantine , elle veut vraiment être considérée comme une femme.
    Kilari a l'habitude de mal comprendre et d'interpréter les situations même les plus évidentes.
    Très mauvaise à la cuisine mais très bonne aux sports.
    Elle préfère d'aimer plutôt que d'être aimée.
    Elle n'est nullement abattue par les échecs puisqu'elle croit toujours aux deuxièmes chances.
    Surnommée la naine par son frère jumeau à cause de sa taille en la voyant on pense directement qu'elle est la petite soeur de Grey plutôt que sa soeur jumelle.

     

     

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    | Letto - 20 ans |  (Andestria)

     

     

     

    Le garçon dans sa cage dorée

     


    « La lune rêve chaque nuit du soleil ».
    Letto, lui, ne rêve pas. Il ne songe pas, à ce qui était et ce qui sera.
    Sa peau brûle, pourtant tout son corps est froid. Corps couvert de cicatrices, redoutables mais salvatrices. Son père lui a répété, qu’il s’agissait du « prix de la vie » qu’il avait volé. Parce qu’il continuait de respirer, alors que sa génitrice avait succombé. C’est seulement dans les yeux de son père qu’il s’apercevait à quel point il pouvait lui ressembler, chaque fois que ces derniers ne cessaient de s’embuer, que son regard finissait par se détourner et ses épaules s’affaisser. Jamais il ne pourrait l’aimer.

    « Fait ce qu’on te dit, obéit », c’est ce qu’il lui avait dit. Et l’enfant obéissant était devenu un jeune adulte intransigeant. Suivre les règles sans s’écarter, parce que c’est ce que souhaite toute société. Parce que sécurité rime avec rigidité, les règles sont des murs qu’il faut constamment ériger. « Ne jamais se détourner », bien qu’il soit le premier à fuir la réalité. Ses cheveux argentés lui rappelle que chaque vie est sacrée, qu’il ne faut pas la gâcher en banalité et frivolité. Qui sait, peut-être demain rejoindra-t-il sa mère tant aimée ? Pourtant, son corps refuse de s’arrêter. Il est fort est entêté. C’est juste le coeur et l’âme qui ont cessé de fonctionner.

    Letto, dans sa belle cage dorée, avait ainsi choisi de s’enfermer. Travailler, travailler, travailler, travailler, travailler. Sous ce soleil qui le faisait agoniser. S’efforcer de toujours améliorer, ce paradis au milieu du chaos décharné. C’est pourtant dans l’obscurité qu’il aurait voulu pouvoir se cacher, panser ses plaies. Solitaire, il est de ceux que l’apocalypse n’avait pas épargné. Tout son corps était synonyme d’impureté, même ses yeux pâles avaient tout pour troubler. Il choisissait cependant de continuer à tout supporter, par fierté mais également parce que c’est ce qu’on lui avait ordonné. Petit soldat, pour qui jamais ne sonnera le glas.

    Il n’a jamais fait autre chose que ce qu’on lui a demandé, ordonné. Tout a été banalisé, accordé, organisé. Petit soldat, incapable de faire ses propres choix. Il a fermé les yeux bien trop de fois. Sauf pour « elle », celle pour qui désormais il se bat, alors pourtant qu’ils ne se connaissent pas. Lauraly, dont le corps semblait sur le point de s’effondrer, tandis que son coeur à lui menaçait de totalement sombrer. Leurs maux se sont compléter, et c’est lorsqu’il a vu son père une nouvelle fois la brutaliser qu’il a fait le choix de tout abandonner.

    Mais est-ce uniquement pour elle qu’il a décidé de tout quitter et se jeter dans un monde prêt à le dévorer ?


     

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    | Lauraly - 18 ans |  (Andestria)

     

     

    La fille aux ailes brisées

     


    Dans son logis, pas un seul cri. Tout est harmonie. Tout est beau et resplendit. Alors pourquoi son visage est salis par toutes ces larmes de suie ? « Ils » sont là. Rodant, attendant l’instant. Non, aucun monstre caché sous son lit, les siens s’agitent dans ses cauchemars jusque tard la nuit mais n’ont pas peur du jour qui éblouie.

    Elle est la seule à voir leurs visages monstrueux, maintenant que sa grand mère a rejoint les cieux. Elle lui avait dit, « ma chérie » « même autrefois, il y avait des petits êtres comme toi. Abandonnés à toute cette férocité. Malmenés et sans personne pour les protéger ».
    « ma chérie, je ne suis qu’une vieille femme condamnée. Mais je crois, oui je crois, que ce monde tout là-bas, peut encore t’offrir ce que tu n’as pas » , « et quand tu en auras la force, tu partiras ». Et sa grand mère lui conta jusqu’à sa mort tous ses exploits. Exploratrice et innovatrice, elle avait été tout ce que Lauraly n’était pas.

    Lauraly, que son propre corps ne supportait pas. Borgne lors d’un accident malheureux, elle semble toujours couverte de bleus. Parfois même, il lui manque quelques mèches de cheveux…. Mais quel maléfice que cette apocalypse....

    De constitution fragile, Lauraly n’en reste pourtant pas moins gracile. Ses pas sont mesurés, étudiés...comme si elle se sentait épiée...Comme si un prédateur était toujours prêt à venir la dévorer...Impossible de s’échapper... Mais dans ce monde bleu et radieux, qui pourrait penser à s’évader ? Qui pourrait être à ce point tourmentée ? « C’est sa grand mère qui l’a trop fait rêver » « Mais Lauraly, ici, tu es en sécurité » « Dehors, il n’y aura aucun refuge dans lequel te cacher »

    Mais ce n’est pas le « dehors » qui l’a faisait frissonner. Parce qu’ici aussi, il n’y avait nul part où se cacher. Famille aux aspects lisses et sans vices, un père vaillant et souriant, une mère attentive et soumise, deux grands frères, qui ont tout pour plaire. Ils étaient forts et braves là où Lauraly était faible et misérable...Il suffisait seulement de détourner les yeux pour qu’arrive l’inévitable... Et qui serait suffisamment attentif pour entendre ses cris dans toute cette cacophonie ? Qui serait suffisamment attentif pour apercevoir ses larmes, dans ces torrents de pluie ?

    Aussi, face à tout ce dénis, personne n’a jamais compris pourquoi elle était soudainement partie, avec ce garçon au visage meurtris, celui grâce à qui allait changer sa vie.

     

     

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