SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    _NIRVANA
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    le 18/12/2020 à 18:11

    Présentation
    Modifié le 18/12/2020

     

     

    J'ACCEPTE NI LES DEMANDES DE CADEAU ET DE VOTE, NI LES PUBS, NI LES DDA ; DDA = BOUTON "AJOUTER"

     

    J'ACCEPTE NI LES DEMANDES DE CADEAU ET DE VOTE, NI LES PUBS, NI LES DDA ; DDA = BOUTON "AJOUTER"

     

    J'ACCEPTE NI LES DEMANDES DE CADEAU, NI LES PUBS, NI LES DDA ; DDA = BOUTON "AJOUTER"

      

      

     

     

     

    Laïla / 17 ans

     

    Je vais me présenter, vite fait:

     

     


    - J'aime la musique. J'écoute surtout des trucs du siècle dernier. Les seuls artistes modernes dont je suis réellement fan sont Melanie Martinez et Chris. Oh et j'aime bien Billie Eilish.

     

     

     

    - Je joue de la guitare éléctrique.

     

     

     

    - Les sciences humaines sont passionnantes.

     

     

     

    - Jparle couramment anglais, un peu espagnol et je maîtrise les bases du russe et de l'arabe.

     

     

     

    - Je suis franco-marocaine, mais quand tu vois ma gueule tu te dis que je suis une bonne grosse babtou française de souche.

     

     

     

    - Jsuis agnostique.

     

     

     

    - Je me demande souvent si je suis pas folle, si j'ai pas un problème mental. J'ai peur d'être folle, de devenir folle, de perdre le contrôle et de bousiller les gens autour de moi. Jcrois que ça s'appelle la phobie d'impulsion.

     

     

     

    - La phobie d'impulsion est un TOC. D'ailleurs en parlant de TOC, je les cumule. C'est le seul problème mental que je suis sûre d'avoir.

     

     

     

    - J'ai de gros problèmes de colère. Sois je l'étouffe, sois je la déchaîne. Etouffer sa colère revient à noyer un poisson. Tu peux juste pas. Mais je l'ai toujours fait. Maintenant, quand je m'énèrve, c'est absoluement terrible. J'ai tellement pris sur moi que quand je pète un câble, je pète un câble pour toute la colère accumulée, et pas juste pour la frustration du moment. Donc c'est violent. Très violent.

     

     

    - Jdeviens la version humaine de Némésis. Je veux détruire celui / celle qui m'a fait du tort.

     

     

     

    - Mais jme retiens car je sais que la colère est mauvaise conseillère. Mais ça n'enlève pas celle-ci. Du coup je me sens mal intérieurement. Pleine d'amertume.

     

     

    - Mes accès de colère ne sont pas fréquents du coup, mais quand ça arrive, cours loin, trèèès loin.

     

     

     

    - A la base je suis très gentille. Mais l'amertume grangrène ma gentillesse. Les gens ont trop abusé de moi et continueront si je ne me mets pas de barrières. Du coup je cherche à devenir plus dure, quitte à être intransigeante et dure tout court. Et en même temps je ne veux pas être sans coeur.

     

     

     

     

    - Plus ça va et moins ça va. Je ne sais pas si je suis dépressive. Ou si je suis en train de le deveinr. Je sais pas ce que je suis. Ni ce que j'ai. Y'a des jours avec et des jours sans. Askip c'est courant à l'adolescence. Mais en même temps, l'argument "C'EsT rIEN C'Est L'ADoLeSCENcE" on nous le balance à toutes les sauces.

     

     

     

    - Je pense trop. Un dces 4 je me noierai dans mes pensées.

     

     

    - Je suis auto-destructrice. Mais jme soigne. Y'a des jours où je crois en moi, où j'ai envie de m'en sortir, de me rendre heureuse. Et d'autres où je me sens vide. Où je me demande pourquoi on vit. où, même si je sais que je m'en sortirai, putain de merde c'est dur. L'auto-sabotage est ancré en moi. Je suis maso, d'un pdv émotionnel. Je ne pense pas mériter le bonheur, je ne me pardonne rien, si je fais un truc de mal je vais me punir éternellement.

     

     

     

    - Je me méfie de tout le monde, je fais confiance à personne.

     

     

     

    - J'ai des problèmes avec le rejet et l'abandon.

     

     

     

    - Ca fait que jamais mes amitiés ne durent pas plus de quelques années. Je finis par me lasser. Me barrer sans même le vouloir. C'est pas contre toi t'inquiète. C'est juste moi.

     

     

     

    - Je ne suis jamais sûre de moi face aux gens. Je fais genre que je m'en fous de votre regard, je rigole beaucoup, je blague beaucoup. Parce que jveux faire rire. Parce que jveux qu'on m'aime. Parce que jveux qu'on se dise que je suis drôle et formidable, et que passer du temps avec moi c'est cool. Comme ça on ne m'abandonnera pas.

     

     

     

    - Mais je remets toujours en question ce que je dis ou fais, si j'ai eu la toute petite impression de t'avoir ennuyée, jme dit "ça y est, je l'ennuie. Elle en a marre de moi. J'ai plus qu'à me casser". Et je me barre. Petit à petit. Comme au fond je pense être vouée à être rejetée je me casse et me dit que je t'ennuie avant même que tu ne sois vraiment ennuyé par moi.

     

     

     

    - Au cours de ma vie j'ai beaucoup été rejetée, beaucoup été un bouche-trou, beaucoup été harcelée, ou juste humiliée de temps à autres, pour faire rire, ou sdéfouler. On a tous besoin d'un bouc-émissaire dans la vie. Ca expliquerait bien des choses.

     

     

     

    - J'ai le syndrôme du sauveur. Je veux sauver tout le monde. Dans le fond c'est moi que je veux sauver. Et en sauvant les gens, quelque part, je veux que cette personne me soit redevable et me sauve à son tour, me donne tout ce que je lui donne.

     

     

     

    - Mais plus tu donnes et moins tu reçois. Je ne reçois rien, ou en tout cas jamais autant que ce que je donne. C'est frsutrant bordel.

     

     

     

    - J'ai énormément d'empathie et je suis hyper compréhensive. Y'a pas que moi qui le dit, y'a tous les gens à qui j'essaye de faire du bien qui le disent.

     

     

     

    - Le truc c'est que j'en ai trop par rapoort au gens que je côtoie. Je ne me sens jamais, jamais, jamais comprise. Alors que je comprends les autres.

     

     

     

    - Ca crée un décalage.

     

     

     

    - Je me sens tout le temps décalée.

     

     

     

    - Y'a des jours où jvoudrais crever. Juste pour voir à qui je vais manquer. Juste pour voir ce qu'on dira de moi. On dira sans doute que jsuis une personne formidable partie trop tôt. Les gens t'adorent, pleurent pour toi, te louent quand tu n'est plus là. Alors jveux crever pour recevoir toute la reconnaissance que j'ai jamais reçue. Dont je manque continuellement. Je suis le Tantale de l'amour et de la reconnaissance.

     

     

     

    - Je suis narcissique. Je pense tellement aux autres, ou bien j'ai tellement plus pensé aux autres par rapport à ceux qui ont pensé à moi, que j'en suis devenue narcissique. Eh, faut bien compenser.

     

     

     

    - Je te parle ici de mes problèmes parce que c'est tellement plus facile que dans la vraie vie. Dans la vraie vie, jveux pas t'embêter. Mes amies sont encore plus dépressifs et suicidaires que je ne le suis, ou que je ne le serai jamais. Ils ont déjà beaucoup à gérer. Et mes darons ne m'écoutent pas. Mon père préfère s'illusionner, n'écoute que ce qu'il veut entendre, minimise sans cesse la souffrance. Pis il va mal, lui aussi. Et ma mère n'a pas le temps. Et les murs ont des oreilles. Jveux pas que mon frère m'entende. Et mes rdv chez ma psy sont trop rares.

     

     

    - On crache tous à la gueule des gens en recherche d'attention mais nous sommes nombreux à en être un.e. On crache sur eux soi-disant parce qu'ils font semblant d'aller mal, mais, à partir du moment où tu es tellement désépéré et que tu es prêt à t'inventer des problèmes ou à les amplifier pour montrer que tu vas mal, c'est que ça va déjà pas. Parce que ça veut dire que tu te sens pas écouté, pas aimé, pas important, pas existant. Et c'est un problème. Mais comme on a déjà refusé de voir ta douleur, que quelque part, on l'a niée, bah tu vas en faire des tonnes. POur être vu.e. Ca te rassure, qu'on te voie, qu'on te donne de l'attention, qu'on te plaigne. Car c'est dans ces rares moments que tu te dit " au moins on en a quelque chose à foutre de moi, et peut-être qu'on m'aime un peu, vu qu'on se soucie de moi" Dans le fond on a tous besoin d'attention. Moi la première. Dans le fond j'ai toujourd été en recherche d'attention, vu qu'on ne m'en a donné que peu.

     

     

     

    - Et jte parle de mes problèmes surout parce qu'au final, on se confie toujours à moi et rarement l'inverse. Et quand jle fait je minimise un peu ma souffrance. Jveux pas qu'on me dise que j'en fait trop, que jsuis une attention-seeker. J'ai peur de ce qu'on pensera de moi. Et surtout j'ai peur que tu te serves de ce que je vais te dire pour me faire du mal. On sait jamais.

     

     

     

     

     

     

     

    - Je suis poète. Mais je ne publie rien sur le net parce que j'ai peur qu'on me vole mes poésies, ou qu'on s'en inspire et qu'après on fasse plein de compliments au plagieur alors qu'il est juste bon à copier. Mais en même temps je veux percer, qu'on me dise que je fais des choses bonnes, que tu t'identifies à mes écrits, comme ça je me sentirai moins seule et toi aussi.

      

          

     

     

     

     

     

     

     


     

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