Club des personnages
Hello ! Alors pour les personnages, j'aimerais que chacun.e fasse au moins 2 personnages et que ceux-ci soient dans des équipes différentes. Les équipes sont : - Nord - Sud - Est - Ouest Les personnages peuvent être entre 17 à 25 ans, puisqu'ils se sont entraînés pendant 5 ans. Sinon, s'il vous plaît, pas de personnages surdoués dans tout. J'aimerais qu'ils aient des petites faiblesses/failles. :)
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Endless Wonder
19 ans. Cheffe du Nord Elle fait partie de ceux qui parlent peu, mais dont la présence impose le silence. Sa froideur n’est pas un manque d’émotion, mais un mécanisme de survie forgé dans l'attente, la rigueur et de contrôle. Elle a appris très tôt que faire confiance aveuglément est une faiblesse, et que compter sur soi-même est souvent la seule option viable. Son enfance Endless a toujours été celle qui tenait debout malgré tout. Dès l’enfance, ces parents ont rapidement remarqué une résistance inhabituelle chez elle; elle était calme face aux situations de crise, lucide lorsque les autres perdaient pied, et performante là où on s’attendait qu’elle échoue. Ses parents ont fini par lui confier plus de responsabilités que les autres, sous prétexte qu’elle pouvait encaisser. Alors que les autres enfants pouvaient jouer et s’amuser, Endless devait aider ses parents face aux émotions et crises des autres. Elle a fini par grandir avec l’idée qu’elle n’avait pas le droit à l’erreur, qu’un faux pas de sa part aurait des conséquences bien trop graves. Personne ne lui a jamais demandé si elle voulait porter ce poids. On a simplement supposé qu’elle en était capable. Sa froideur À force d'observer ceux qui l’entouraient, elle a appris une leçon qu’elle n’a jamais oubliée : les émotions rendent imprudents. Elle a vu des liens se briser, des décisions irrationnelles être prises par peur de perdre quelqu’un, des gens pourtant compétents s’effondrer parce qu’ils tenaient trop fort à ce qu’ils pouvaient perdre. Alors, elle a vite compris qu’aimer, s’attacher, et faire confiance aveuglément était simplement une cause directe à la perte. Donc, elle a choisi la distance. Non par cruauté, mais par lucidité. Plutôt que de créer des relations profondes, elle a appris à bâtir des relations fonctionnelles. Plutôt que de chercher du réconfort, elle a privilégié l’efficacité. Elle ne rejette pas les autres, mais refuse de dépendre d’eux. Et si elle accorde sa loyauté, elle le fait en silence, sans promesses inutiles, sans démonstrations superflues. Son leadership & formation Lors des premières sélections, elle n’était pas la favorite. Trop dure, trop silencieuse, pas assez « humaine ». Elle a été mise à l’écart, sous-estimée, parfois volontairement mise à l’épreuve plus durement que les autres. Alors, elle continue de se démarquer et de démontrer qu’elle pouvait faire partie des équipes de voyageurs afin de quitter le vaisseau. Devenir cheffe n’était pas par un désir de pouvoir, mais une nécessité. Elle refuse de laisser ses choix, ou sa survie, entre les mains de quelqu’un qui pourrait faiblir sous le poids de l’émotion. Elle préfère porter seule la responsabilité plutôt que de risquer l’erreur d’un autre. Elle exige autant des autres que d’elle-même, parfois même davantage. Elle ne cherche pas l’approbation. Elle veut des résultats. Ceux qui restent à ses côtés ne le font pas par peur, mais parce qu’ils savent qu’elle les mènera en vie jusqu’au bout, même si le chemin est brutal. Sa difficulté à déléguer et à faire confiance crée parfois des tensions, mais personne ne peut nier sa capacité à prendre des décisions rapides et nécessaires lorsque la survie est en jeu.
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Celeste Everly
21 ans Équipe : Est Elle n’a jamais été discrète, ni patiente. Elle sait qu’elle attire les regards et elle s’en amuse, convaincue que sa présence suffit à marquer un espace. Habituée à être au centre de l’attention, elle supporte mal de ne pas être écoutée ou prise au sérieux. Son franc-parler est tranchant, souvent teinté de mépris, et elle ne fait aucun effort pour adoucir ses mots. Son enfance Dès son plus jeune âge, elle a été une enfant admirée. On la complimentait pour son apparence bien avant de remarquer ses efforts ou ses réussites. Ses caprices faisaient sourire les adultes, qui préféraient céder plutôt que de la corriger. Très vite, elle a compris que le charme était une forme de pouvoir, et que hausser la voix ou pleurer assez fort suffisait souvent à obtenir gain de cause. Au sein du vaisseau, elle était “la jolie enfant”. Celle qu’on laissait passer devant, celle à qui l’on pardonnait plus facilement. Les règles semblaient s’adapter à elle sans qu’elle ait besoin de les contester. Ses parents l’exposaient fréquemment lors d’événements, de rassemblements ou d’annonces publiques. Elle a grandi sous les regards, conditionnée à sourire, à se tenir droite, à être présentable. Être vue est rapidement devenu synonyme d’exister. À l’inverse, être ignorée déclenchait chez elle une angoisse profonde, presque viscérale. Sa mère la regardait constamment avec admiration, parfois même avec une pointe d’envie, ce qui fit en sorte qu’elle projetait sur elle une jeunesse idéalisée, répétant qu’elle devait profiter, qu’elle attirait tous les regards, qu’elle avait quelque chose de spécial. Cette vision flatteuse s’est transformée en pression constante : elle n’avait pas le droit d’être ordinaire. Ses parents étaient également très attachés à leur image au sein du vaisseau. L’apparence passait avant le comportement. On corrigeait sa tenue, son attitude publique, son sourire, bien plus souvent que ses paroles ou ses actes. Elle a grandi en intégrant une règle simple : ce qui compte, ce n’est pas ce que l’on fait, mais ce que les autres voient. Popularité Avec les années, elle est devenue la fille qu’on aime autant qu’on craint. Invitée partout, toujours entourée, elle n’avait pas besoin d’élever la voix pour imposer sa place. Un regard, un soupir, un rire étouffé suffisaient à exclure quelqu’un. Elle ne dominait pas par la force, mais par la présence. On cherchait son approbation. Personne ne voulait être “contre elle”. Mais cette popularité n’a jamais reposé sur de véritables liens. Elle n’a pas appris à créer des relations profondes, seulement des hiérarchies. Sa valeur sociale, elle le savait, reposait sur quelque chose de fragile : l’attention, la beauté, le regard des autres. L’idée de devenir banale est devenue sa plus grande peur. Son lien avec la mission Celeste ne s’était pas présenté aux sélections par envie ni pour le soi-disant bien-être de l’humanité, mais plutôt par image. Elle savait que tout le monde parlerait d’elle et de son choix quant à cette mission, alors elle devait montrer qu’elle était légendaire. Cela renforcerait son statut. Ses parents ont aussi eu leur mot à dire quand à cette mission. Bien qu’ils ne voulaient pas qu’elles soient face à de la saleté ou à du danger, ils savaient que son choix reflétaient aussi leurs images à eux. L’entraînement de l’équipe de l’Est a été un choc brutal pour Celeste. L’humidité constante, le sel qui collait à la peau, les vêtements lourds et trempés… tout ce qu’elle détestait. Elle se plaignait ouvertement, dramatisait chaque inconfort, et exprimait haut et fort son dégoût pour les exercices physiques et les règles strictes. Là où les autres tentaient de s’adapter, elle resistait, refusant de voir cette formation comme autre chose qu’une épreuve injustice. Et pourtant, malgré ses performances discutables, elle restait. Surtout parce qu’elle refusait l’humiliation de l’échec. Et parce que abandonner aurait signifié disparaître des conversations. Elle n’était pas là pour apprendre à survivre. Elle était là pour être vue en train d’essayer.
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Aurore Mistwood
19 ans Équipe : Ouest Caractère Aurore est une jeune femme qui parait assez isolée aux premières impressions, mais c’est simplement l’habitude de l’environnement du vaisseau qui lui a montré un mode de vie assez calme. Le manque d’action et la routine qui s’est engendrée dans ce milieu a bien eu son effet à ses états d’âme, ayant eu l’habitude d’être seuls. Elle n’a aucun problème à discuter avec les divers membres de l’équipage, mais elle a de la difficulté à entamer une conversation et à l’entretenir. Le silence est devenu rapidement une zone de confort pour elle, alors que lorsqu’elle sort de celle-ci, elle garde en tête des craintes de jugement auprès des autres ou qu’ils ne l’apprécient point. De nature calme, elle aime beaucoup la méditation et la tranquillité. Ce sont deux activités qui s'agencent assez bien dans sa routine. De ce fait, elle est très patiente et peut rester dans la même position ou situation pendant une très longue période de temps. Lorsque la nouvelle d’une planète potentiellement habitable fut annoncée, elle n’avait aucune émotion propre par à cela. Oui, elle aimerait un jour pouvoir aller plus loin que les simples couloirs du vaisseau, mais elle n'aurait jamais cru un jour devoir faire partie de cette mission. Histoire Rien ne semble bien intéressant selon le passé de la jeune demoiselle. Ses parents sont des biologistes ayant un bon métier. C’est de cette manière qu’ils s’étaient rencontrés, et ils avaient montré toutes leurs connaissances à leur fille unique. Aurore passait souvent ses journées à la serre artificielle du vaisseau et c’est devenu rapidement une passion. À l’entente de la création des équipes d’explorations, ses parents ont insisté pendant des semaines pour qu’elle en fasse partie. Elle n’en avait pas du tout envie, ayant bien plus peur qu’autre chose, mais elle ne savait pas comment dire non à ses parents. Ils ont beau être très gentils et à l’écoute de sa fille, ils n’étaient plus capables de rester dans cette boîte de conserve. Sa mère, Thalia, avait déjà fait deux tentatives de suicide, n’étant plus apte à passer ses journées ici. Son père était très présent pour elle, et ensemble, ils avaient fait court de chantage pour pousser leur fille à trouver une possibilité pour eux de quitter sainement ce vaisseau. Sa formation à l’Ouest L’entraînement déchaîné pour montrer ses aptitudes fut extrêmement difficile pour Aurore, n'ayant pas une grande force pour attaquer ni défendre, mais elle était très rapide et ses connaissances au niveau des plantes et de la biologie l’ont grandement aidé pour être choisies. Elle était la seule qui en avait connaissance, donc elle devenait un atout pour l’acquisition des données d’analyses sur les plantes de la planète, sur celles qui sont mauvaises, etc. Elle était consciente que plusieurs ne comprenaient pas comment elle pouvait avoir sa place au sein de cette mission, mais elle n’en avait pas tant de choix à la fin de la journée. Malgré sa nature calme et silencieuse, elle adore analyser les différentes interactions autour d’elle. Elle est consciente de ceux qui se détestent, ceux qui s’adorent en cachette, les petits secrets qui se répandent au sein du vaisseau…
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Eliora Evens
18 ans Équipe du Sud Caractère Eliora est une jeune femme qui raffole d’aventure et de nouveauté. Sa vie au sein du vaisseau lui a porté des bâtons dans les roues pour succomber à sa soif de choses nouvelles, mais elle trouvait toujours quelque chose pour y remédier. Que ce soit la lecture, des courses dans les couloirs ou des fêtes qu’elle organise en cachette dans son petit appartement, elle avait besoin de spontanéité dans sa vie. Ce mode de vie lui a permis d’apprendre ce qu’est l’indépendance, ayant compris qu’elle ne pouvait pas attendre pour que quelque chose arrive sans le réaliser soi-même. Elle préfère faire les choses de son propre gré, mais elle reste tout de même à l’écoute des autres. Il est rare pour elle de rester seule dans son coin, adorant être entourée. La jeune femme peut paraître parfois impatiente, n’aimant pas attendre que quelqu’un fasse quelque chose ou que tout soit trop calme autour d’elle. Lorsque la nouvelle qu’une planète potentiellement habitable était en vue, elle sautait de joie. Elle se porta rapidement volontaire afin de sortir de sa routine qui, malgré tous ces efforts, était monotone. L’entraînement acharné lui donnait l’opportunité de montrer tout ce qu’elle était capable de faire, et elle avait plus que hâte de sentir le soleil sur son corps et l’air libre à l’extérieur. L'équipe du Sud et sa formation Intégrer l’équipe du Sud a été pour Eliora une expérience à la fois exigeante et stimulante. Dès les premières semaines d’entraînement, elle revenait à la maison remplis de bleus sur le corps ou des douleurs atroces aux jambes. Par contre, elle n'eut aucune idée à quel point la chaleur qui pourrait l’entourer pouvait lui couper autant le souffle, ou que les simulations des sables mouvants pouvaient autant monter le cortisol. Mais, cela venait mettre un sens opposé à la vie au vaisseau, et elle commençait enfin à sentir le sentiment de mouvement et d’intensité qu’elle recherchait depuis toujours. Elle a fini par apprendre à s’adapter, malgré que son impulsivité fait face très rapidement, lui faisant recevoir quelques regards noirs des autres. Sa famille La jeune femme ne trouve pas qu’elle a un passé particulièrement intéressant. Ses parents travaillaient tous les jours, et elle avait donc la liberté de faire ce qu’elle voulait. Elle n’avait pas une relation très profonde avec ses parents en raison des absences et des interactions manquantes, mais ils faisaient partie intégrante de sa vie. Sa mère n’a jamais été heureuse d’être sur le vaisseau, se sentant isolée et à l’étroit. Cette image fut reflétée au cours de la jeunesse de la jeune femme, mais elle l’a retournée à son avantage. Elle préfère rester optimiste et vivre à la minute plutôt que de se soucier du reste. Son père ne savait jamais comment prendre soin des peurs de sa femme ou de la spontanéité de sa fille, alors il se refoulait sous l’alcool. C’est de cette façon qu’Eliora a eu la main facile pour la boisson, mais elle ne voulait jamais être comme ses parents. Elle les aimait, mais elle était sa propre personne. Elle sent tout de même un niveau de responsabilité auprès de ses parents lorsqu’elle est présente avec eux, souvent réalisé après les situations de conflits et de motivation. Quand elle leur a fait part de sa présence dans l’équipe des jeunes aventuriers, ils étaient contre l’idée. Celle-ci était sûre qu’ils ne réalisaient même pas son départ ni son absence au vaisseau, mais un froid était placé entre eux. Déjà qu’ils ne la voyaient pas, depuis les cinq dernières années, ils ne voulaient même pas connaître ni ses progrès ni ses compétences pour la mission. Ils sont ses parents, et ils croient connaître mieux que personne comment elle doit vivre, mais elle continuera toujours à faire ce qu’elle veut. Traits personnels Malgré son côté aventurier qui lui a permis de s’évader loin des différences familiales, elle adore la lecture et l’écriture. Ces formes d’art lui permettent de retrouver son calme avant qu’elle ne devienne une tempête vive d’émotions. Son sens de l’humour aussi viens jouer comme fin mécanisme de défense, ayant parfois un sarcasme bien à elle.
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