SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
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    Date de création :
    le 03/08/2012 à 20:30

    Présentation
    Modifié le 26/06/2018

    Tyler Allen
    Date d'activation : 2032
    Androïdes achetés par l'armée U.S

    Soldat SQ800+

    SQ800 (utilisé pour remplacer 80% des soldats humains)
    x Myrmidon (prototype d'élite capable d'agir pour les missions d'assassinat et d'infiltration)
    x RK800 (fonctions sous ordre de chef)
    x Médecin sur le terrain

    Un model du SQ800 amélioré.
    Ce model est acheté par l'armée américaine pour plusieurs raisons, mais ici nous allons nous attarder sur la plus importante.
    Utilisés lors des entraînements, ils obéissent aux chefs de la troupe. Les SQ800+ doivent jouer le rôle de l'ennemi pour entraîner les soldats humains qu'il reste. C'est un entraînement des plus réaliste à la réalité future.
    En effet, si à la moindre révolution, les androïdes sont inefficaces ou ne sont plus en marche, il leur faut le plan B : garder une armée puissante et excellente composée seulement d'Hommes.

    Tyler Allen est un androïd-soldier, il se fait tirer tous les jours et une multitude de fois sur les 24h. Une lourde balle transperçante, une flèche qui arrache tout, son corps qui explose en tout lieu, il doit tout subir sans broncher. La fin de sa mission ? : Faire le mort, et il est très logique que les androïdes ne ressentent pas la douleur. Ni même la faim, la soif, la fatigue, ou encore la peur. Tyler et ses frères sont les parfaites cibles pour une période de non-guerre.
    Son costume principal est une armure de Panzer Kerberos. Une combinaison qui protège efficacement toutes les parties du corps. Accompagné de son arme qui est le M16A4, un fusil d'assaut solide, model amélioré du AR-15, il la charge de munition calibre .22 long Rifle.
    Comme dans le vrai champ de bataille, lorsqu'un SQ800 est 'blessé', d'autres ont pour ordre de lui donner les premiers soins si nécessaire sur le terrain, car des ennemis, cela sait se soigner et rester en vie.
    Après chaque fin de journée, les androïdes sont mis dans une salle au repos et désactivés, complètement nus sans leur combinaison. S'il reste des androïdes fortement amochés, ils sont réparés tout en gardant leur mémoire intacte. Les "morts" sont jetés dans une décharge d'androïdes, ensuite remplacés par des nouveaux tout en gardant leur mémoire qui se transmet par téléchargement de données. Alors pour quelle raison leur faire subir cela ? Tout simplement pour les faciliter à agir plus vite. Ayant déjà assimilé un nombre incalculable de stratégies de guerre, cela leurs permet de changer leur plan pour éviter de rendre l'entraînement des humains trop redondant et répétitif.
    Ce model SQ800+ fonctionne en situation de guerre en groupe comme en combat duel, et sont utilisés comme cible aux entraînement de tir.

    La déviance pourrait-t-elle atteindre ces androïd-soldiers ? Certains ont été tués, jetés et oubliés pour avoir enfreint les ordres de leurs chefs. Une toute minorité d'entre eux se taisent car ils savent. Tyler semble se retrouver sur un fil très fin, entre la vie et la mort. Tuer ou être tué ?



    Le début de l'histoire

    C'était ce jour là. Le son strident vient saigner les tympans des guerriers, des morceaux de corps étalés sur le sol, certains rampent, d'autres crament et fondent. La mine ennemie inattendue a baissé le taux de réussite de 80% en une fraction de seconde. Ca fait trois jours. Trois putain de jours qu'il faut en finir une bonne fois pour toute. Mais tout seul, c'est se suicider pour mourir comme un perdant. Il m'a ciblé, je me cache, quand soudain la partie supérieure de mon bras commence à se vider de son sang. Je ne l'ai pas senti, ni même la seconde balle qui me touche fortement l'omoplate. Je n'avais pas envoyé à mon programme l'existence d'une 3ème perspective à prendre en compte. Ma main pend, traîne... et je ne peux lui faire obéir plus aucune instruction. Le tendon de mon membre relié à la moelle épinière a été arrachée. Tenir une arme ne m'apportera que protection ou défaite. Mais lever la tête me tuera aussitôt. Que faire ? Si un autre explosif vient à sauter, je ne pourrais pas m'en sortir. Dans le plus grand des silences, une grande et mince silhouette s'approcha, maladroit il glissa sur la boue visqueuse due au temps pourris d'hier. Il se met à couvert rapidement tandis que je continue à faire le mort. Quelques secondes après, je sentis brusquement une pression qui entoura mon bras. Une fine agitation électronique passa tout au long de mon dos jusqu'au bout de mon annulaire et de mon index. Qu'était-ce, une sensation assez flippante qui pourrait m'endommager ? Non, au contraire, je sens avoir le contrôle de ma main, mon coude, et mon épaule. Ce soldat m'a soigné. Un visage de confiance, non beau, peut-être idiot, mais c'est mon sauveur. Nous deux, guerriers s'échangeons alors un sourire de combattant avant de trouver un nouvel abri.


    La guerre est terminée, l'armée US a gagnée. Nous avons perdu.

    Je suis Tyler Allen, androïde model SQ800+, j'ai l'ordre de servir l'armée humaine comme cible ennemie. Nous sommes aussi nombreux que les hommes mais appelés "machines à tuer...ou à être tué". Notre destin ne dépend que de nos stratégies et des ordre, rien d'autre.

    Trainé à l'infirmerie, nous me connectons de nouveaux biocomposants à mon bras et à mon épaule. La docteur fait ça bien et rapidement. C'est drôle, nous sommes censés soigner seulement les gens de la même espèces, et elle ? Bon, peut-être qu'elle s'est inculqué un programme comme nous. Diagnostic effectué.


    ~


    Le soleil tapait fort, aveuglant les yeux de ses maudites machines, mais c'était même un avantage, pour nous, les humains, avec notre fusil de M16A4, facile de voir notre cible parfaitement. L'homme à la carrure robuste s'approcha du poste de tir en joignant ses mains, doigts entremêlés pour faire sortir le bruit du craquement des os métacarpiens. Fusils bien soutenu sous son bras, la charge avec ses munitions dangereuses du 22. long Rifle, aïe c'est du lourd et ça fait saigner ça. L'oeil aligné face au viseur. Nous apercevons la silhouette de la cible, position debout, droite, corps grand, mince, et une tête de con. L'arme se charge, entendu avec un claquement de l'engin.
    "-Je te vois, mon lapin" siffla-t-il lui-même avec un fin sourire remarqué sur sa joue droite.
    Le doigt sur la gâchette, et TIRE, non une fois, mais DEUX fois. Ses genoux toucha la terre brûlée.
    La diode de ce bout de plastique passait du bleu, jaune, et au rouge simultanément. Son visage était déjà à moitié amoché, mais il gardait une expression au visage, non pas neutre, mais plutôt "N'ayez pas pitié de moi, mes frères, je vais bien."
    Ce blondinet à côté de lui avait observé toute la scène d'un coin de l'oeil. "-Mais putain couillon, qu'est-ce tu regardes toi ?!" Ricana l'homme brute en élevant légèrement le ton tout en prenant la peine de lui tirer sur son épaule gauche.
    "- Merde Kell, c'tait ma cible ! un autre lui rétorqua.
    - Mais.. tu t'es pas encore vu dans l'miroir qu't'étais nul au tir ? Tu sais que t'as b'soin d'un coup d'main, fais pas ta timide ma belle ~ haha!" Kell se moqua un bon coup avant de continuer sur sa lancée. "-Bon à nous deux... Ha bah tiens, t'as encore des forces dans tes maigres mollets on dirait!"
    Le SQ800+ cible de Kell s'était relevé, avec le peu de force qu'il lui restait après avoir perdu la moitié de son visage avec partie crânienne et la cuisse trouée sans une goutte de sang rouge.
    Il penche la tête sur sa gauche, puis sa droite, le tout avec les yeux fermés, puis lorsque ses paupières se rouvrirent, le regard de combattant écoeurait encore plus Kell. Il réussi à éviter les 3 prochains tirs. Et là, la folie atteint jusqu'au loin l'Homme. Le corps de l'androïde venait de se faire amoché comme en abattoir, d'une précision fine et excellente, les munitions ont arraché bras et jambes de la cible. Tomba le buste du robot, couché sur le dos, il était encore en état de marche, puis prend fin vie en terminant sur un sourire, ses yeux rivés en direction du jeune blondinet, qui avait entre-ouvert ses lèvres face à cette porcherie. Etait-il ahuri ?


    ~


    "- Quel surnom t'es tu donné ?
    - Al, un chef, je l'ai pris d'un de nos chefs Alexander.
    - Peux-tu m'expliquer de quelle manière, tu m'as sauvé ce jour-là, Al ?
    - C'est avec plaisir, Tyler."

    C'était un moment où lui et moi, étions le plus proches, le plus... communicatifs. Nous avons droit, à échanger des informations via notre connexion diotique. Plus j'en saurai, mieux je pourrai "survivre". Ha, ce mot, qui reste tatoué sur le bout de ma langue comme une devise parfois me fait saigner. Al m'a expliqué tout dans les moindres détails, les vaisseaux de thyrium, le lien qui reliait un membre à un autre. Le cerveau devait rester le plus, intacte. C'est ici que se trouve la salle de contrôle, listes des fonctions et listes de nos mémoires.
    Je me rappelle de cette boucherie, d'où le sang de mes confrères venait toucher la surface de mes joues, cet homme comme tous les autres, n'ont pas eu de pitié. Pourtant leur programme n'était pas compliquée, mais il fallait disjoncter pour que ça aille beaucoup plus loin. Al, était courageux, et a osé. Je savais qu'il se mettait dans une très mauvaise posture, au milieu de cette ruée de loups assoiffés de sang. Cependant, la lueur dans son regard m'avait dit de ne pas m'en mêler. C'était son choix, sa manière de. Comment appelle-t-il ça déjà ? De survivre. 5 balles. Putain 5 Rifles qu'il a évité contre les ordres. J'ignore pourquoi, peut-être que le premier tir qui lui avait totalement détruit son système crânienne a modifié son programme tout entier. Et ce sourire, encore il est revenu, avec un corps plus parfait sans égratignures, il l'affichait tout en étant discret. Etait-ce un code d'élite ? Non, sur le champ de bataille, nous portons des armures qui nous voile de la tête au pieds. Je ne peux pas dire que je suis perdu, c'est un labyrinthe où je me retrouve, poursuivis par ces taureaux de la mort à chaque coin de couloir.
    Je compte déjà 4 jours, depuis que son nouveau model est arrivé, il disparait de la salle de repos une fois sur deux. Emmené par un gang de soldat bourrés peut-être. L'odeur nauséabonde m'avait piqué au nez, une fois que l'on m'a activé. C'était Al. Mon corps ne bougeait pas, pourquoi ? Parce qu'un androïde est censé "dormir". Le lendemain je le voyais en piteux état, aussitôt ramené à l'infirmerie en réparation. Quelque chose se tramait, je ne peux pas dire que je le sentait, mais un alerte clignote dans le coin de ma tête.

     

    ~

     

    Cette machine S-bazard à la chevelure blonde m'énervait. Il nous observe toujours avec sa même tronche de m*, pas vous les gars ? Hey, cette fois on change, ça risque d'être plus intense.
    Ce soir, je voudrais voir à travers son visage d'ange, une souffrance fois mille. Même si c'était un bout de plastique sans vie, je suis persuadé, qu'il y a une faille dans son système réflexe. Un clou prêt à être martelé sur ce foutu bout de crâne. J'appelle ma troupe de passer incognito chercher le p'tit model SQ800+ blond.

    Perspective de Kell.

    Mon épaule a tellement été amochée, je sens comme des cicatrices invisibles me rappeler ce que cela fait d'avoir la chair arrachée de maintes fois. Ouverture du système visuelle activé. Cela ne devait pas se passer comme ça, pas ce soir. Al était désactivé. Alors qui ? 
    Une douleur aiguë se fait ressentir subitement tout au long du thorax, un trou d'air où heureusement mon système n'était pas entrain de s'éteindre. J'ai reconnu sa voix, son ton grave, ses mots durs. Son ricanement n'a fait que perdre le temps. Ce tuyaux transperçant mon corps glissait, ces cons s'amusaient à me blesser ?
    "- Allez les gars, amusez-vous." sorti Kell avant de s'installer sur un quelconque baril de la réserve avec sa bouteille de Martini à la main. Pendant que l'androïde se débattait, les mains attachés avec un fil de colson rigide, ses complices prirent plaisir à m'offre une accumulation de coups de points et de coups de pieds de chaussures noires bien épaisses. Ma chair artificielle s'abîmait, comme cet androïde qui m'a sauvé. J'étais faible, mais aux yeux de ce brute "homo sapiens", toujours un bout de plastique sans émotion. Celui-ci se leva après de longues minutes de martyr, arracha violemment le tuyaux de fer de mon thorax. J'eu le temps de prendre une 'inspiration', mes mains bougeaient sans le vouloir. Ses hommes avec visage horriblement satirique en cercle autour de moi prenaient un peu de distance. Mon système de logique me fit aussitôt comprendre ce que Al vivait ces fois là. Je pense que c'est ma fête. Mais je suis désolé Al, tu vas devoir subir ça un peu plus longtemps. 

    Perspective de Tyler Allen.

     

    ~

    "-Saleté de machine, un jour je le disséquerai et lui ferai manger sa propre m*. Se chuchotait-il seul dans sa chambre d'infirmerie.
    - Soldat. Deux de vos trois acolytes sont en blessures graves. Soyez plus intelligent et agissez comme un combattant pour sa patrie et non comme un idiot pour une machine! Non didju.
    - ...Oui chef. Paralysé tout le long de son bras droit ainsi que sa jambe, il ne pouvait répondre à son sergent d'un geste d'élite. Les muscles lui ont permis seulement de se mettre droit face à son destinataire, la tête légèrement penché sur l'avant pour acquiescer."

    Pour l'armée U.S, Tyler était déjà oublié, ce n'est pas une cible perdue qui empêchera la continuité des entraînement. Un effacé, un remplacé. Tyler n'était plus. Et pas d'inquiétude, il sera aussitôt jeté dans les débris si retrouvé.

     

    ~

    "- Tyler, dépêche-toi. On a 5 minutes chrono pour être dans l'char.
    - Oui, j'arrive." Tyler enfila suite aux gestes pressants, toute sa combinaison d'élite noire. Son masque cachait presque toute l'entièreté de son visage, ainsi bien protégé au moindre gaz toxique. Il était assez facile d'entendre la respiration via le tuyau fermé devant ses lèvres. Son rythme était lent, assuré. Il suivit les battements à répétition des pas de ses collègues tout en saisissant chacun son tour une longue armure en plastique assez rigide et lourde. Certains étaient armés.
    Dans le camion presque sombre de l'intérieur, il tendait l'oreille au moindre signal du sergent. Le silence devenait lourd, mais seulement à l'intérieur. 
    Ca y est! Les deux portières, s'ouvrent grandes ouvertes lorsque la troupe se mirent à sauter hors du gros engin, tandis que la lumière vient aveugler les yeux de Tyler. Par réaction il plissa fortement les yeux, mais on l'appela sur-le-champ de suivre la cadence des ordres du chef. Heureusement, Tyler n'est pas lent à la détente, aussitôt sur le terrain pour les rattraper, il posa en s'alignant à la 1ère ligne son armure devant lui et se pencha légèrement derrière l'obstacle, le pied gauche en avant, la taille de côté.
    Les manifestants continuèrent à crier "Non aux androïdes" tandis que d'autres agitaient droite à gauche et inversement leur panneaux suspendus par des longs bâtons en bois. Apparement, ils se révolteraient contre CyberLife car les machines voleraient le travail de ces gens. Ils sont contrariés et ne semblent pas prêts à décamper de là. Le sergent s'approcha de la ruée de gens mécontents en leur demandant gentiment de dégager. 

    "- Je vous demande de partir d'ici. Vous barrez le passage des autres personnes et les empêchent de venir travailler. Vous êtes dans un carrefour en plein centre ville.
    - On veut récupérer nos jobs Sergent! Rendez-le nous, et vous avez la paix! Les gars "Non aux androïdes", "Voleur de taff", "Voleur d'argent". "Qu'on les brûle!"
    Sergent, regardez, il n'y a jamais eu une aussi grande pauvreté depuis des lustres. S'il vou--
    - Je ne le répèterai pas Jordan. Je sais que t'as à dire, comme toutes les s'maines, mais tu vas pas nous avoir cette fois-ci.
    - Ecoutez-moi put-
    - Je compte jusqu'à 3 et ils tirent. "

    Tyler posa comme deux autres soldats le genoux droit sur le sol, le pied gauche plié en avant, position plutôt majestueuse dirait-on. Ensuite trois autres soldats s'approchèrent de la 1ère ligne avec leur fusils en position, juste au dessus du niveau de la tête de l'androïde. Les armes orientés, certaines personnes parmi la foule paniquaient en lançant des regards perturbés les un les autres, ou d'autres se contentaient de trembler. Pendant de longues secondes, une pression pesante réduit l'effort de quelques uns. L'un lèvent alors ses bras sans défense, la déception dessinée sur son visage écoeuré de tout ça.

    "-Trois...
    DEUX...
    Un---
    - Ok ok, c'est bon! On s'barre, mais juste pour cette fois-ci. Sachez, vous n'avez, c'est dans vot' code tout ça. Vous avez pas le droit de tuer la même espèce que vous. Bon les gars, on dégage."

    Maintenant que ce spectacle est fini, Tyler et les autres retournèrent dans leur cellule commune. Dans les vestiaires, Tyler se déshabilla, tout aussi normal. Mais la surface de ses bras était presque entièrement tatouée. Il reçu un compliment sympa d'un de ses collègues, mais Tyler ne lui répondait pas un mot, juste un regard neutre avec un signe de tête. Certains le trouvent bizarre, d'autre, discret. Et oui, c'est une personnalité qui existe chez les humains.

    Je m'appelle Tyler Allen. J'ai fui ma patrie pour me cacher ici. Je travaille comme élite de sécurité pour le Sergent, un mec bien je dirai. Nous nous occupons de situations de level 1, "très peu dangereux", comme ce cas-ci. Je garde un bandeaux de secours autour de mon front, si jamais tout mon thyrium disparaissait.

    L'androïde ouvrit subitement les yeux.
    "- Pssst, Tyler! J'ai entendu dire qu'on va passer au level 3 direct bientôt!" Son logiciel lui affichait une illogique, un manque d'information. Il fronça les sourcils légèrement, c'est bien comme ça qu'ils font les humains non? Toujours à l'écoute.
    "- Apparement, on va attaquer des androïdes appelés déviant! Trop excitant non ?! Bon j'vais me rendormir, d'solé t'avoir réveillé pour ça, j'pouvais pas rien dire."

    Sa diode devenait jaune clignotant.


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