SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    LoulouTheKid
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    le 03/06/2013 à 14:16

    Présentation
    Modifié le 03/07/2013

    Hellooooo !!!! Welcome les geeennnnns !!!!! *fille trop contente d'avir des lecteurs* >0<

    Alors, ici c'est lhistoire de Pluche, alias Pénélope, amoureuse d'un garçon (normal), draguée par un autre (wooouuuuuuuh !!! ^^) et qui a de graves (et moins graves) problémes dans sa vie !!!!!

    Bon, vous avez pigé, c'est une fille comme les autres !!!!

    REGLES !!!!

    -Ceci est  MON texte donc no plagiat

    - J'accepte les commentaires, mais merci de ne pas être blessante et de respecter mon travail car c'est difficile pour moi de dévoiler ces textes !!!

    Fini ??? Ok, je balance le texte !!!!!

     


    Petite parenthèse ou Chapitre 1


    Tout était noir dans la pièce, et on ne pouvait distinguer  rien d’autre qu’un corps allongé, immobile, ainsi qu’une sorte de boîtier sombre. Ce « truc » avait un écran qui diffusait dans la pénombre quatre chiffres, comme un code. « 06 :40 ». Ces chiffres changeaient régulièrement et, tout d’un coup, la totalité des signes se métamorphosèrent  et l’étrange appareil émit un bruit aussi mystérieux que désagréable, comme un compte à rebours. A ce bruit ; le corps s’anima et une main s’abattit sur l’objet de notre attention. « Saleté de réveil ! » grogna  une voix. Il était sept heures moins le quart et pluche se réveillait.

    Chapitre 1 bis : Moi, ou comment l’Histoire commence

    J’aurai du l’éteindre. Même si ça fait partie des bêtises quotidiennes qu’on n’a pas le droit de faire. Saleté, saleté, saleté. Je HAIS les réveils .Si j’avais eu la sagesse (ou la bêtise) de l’éteindre, j’aurai été en retard, je me serai fait exclure (enfin, peut être) de cours, et je serai rentrée la tête basse. Ma mère aurai pris mon air dépité en compassion et m’aurai emmené faire les boutiques »pour me consoler. Tsssss. Satanée moi ! Quelle nouille je fais. Bon, de  toute façon, je suis repérée, et il m’est malheureusement impossible de faire la morte, sinon, grosse tempête de la reine mère. Et grosse tempête veut dire môman pas content. Et môman pas content…c’est bon, vous avez compris, il faut que je me lève ! Avec une lourdeur et un sommeil incomparables, je m’extirpe de ma couette moelleuse. Au revoir, douces rêveries ! Direction la salle de bain, La pièce confort de la maison, car, d’où son nom, elle abrite…la baignoire. Ladite baignoire m’attends, dressée sur ses pieds dorés façon louis XIV. Je lui lance un regard désespéré : « désolé ma belle, aujourd’hui, je suis pressée ! Dimanche, peut-être. »Alors la pauvre enfant  ouvre de grands yeux malheureux et me dit en reniflant que je vais lui manquer. Non, je rigole. Elle n’en a rien à cirer, l’ingrate. Dire que je l’astique à fond tout les samedis ménages ! Tant pis, je boude. Je me déshabille en frissonnant, c’est encore le matin et la pièce est grande. Une fois nue, je relève mes cheveux sur ma tête et les attaches. Puis je rentre dans la douche et démarre l’eau chaude qui se répand lentement sur mon corps. Je ferme alors les yeux et je laisse mes penser vagabonder vers ma meilleure amie, victoire, vers ses problèmes de couples avec son copain, et vers Léo. Léo, même si il ne le sait pas encore, c’est mon prince charmant, mon amour. Un jour, je lui dirai, mais d’abord, il faudrait qu’il de débarrasse de sa pouffe, une certaine Myriam.Grrrr.Maudite Myriam. Si j’avais une baguette magique, je lui mettrai de la bouse dans les yeux (à mon chéri, pas à Myriam ! Hé ho ! Vous ne croyiez quand même pas que j’allais lui faire profiter de mes pouvoirs !).Comme ça, il croira moi belle et l’autre idiote moche (même si c’est le contraire, malheureusement !)Mais, c’est évident, je n’ai ni baguette magique, ni marraine- la- bonne- fée- qui- exauce- tous- mes- vœux. Seulement une mère. Qui justement est en train de me crier quelque chose : «  Pénélope ! Tu me laisse de l’eau chaude et tu sors de la douche maintenant, s’il te plaît !

    -Oui, attends deux minutes ! »Pénélope. N’importe quoi. Pourquoi pas Athéna ou Cléopâtre, tant qu’elle y est ! J’éteins l’eau et je prends le gel douche, j’en mets un peu dans ma main et je me frotte tout le corps énergiquement. En me rinçant, j’ai un frisson de délice. L’odeur du gel douche (amande douce héhé, j’ai le goût des bonnes choses) se répand dans toute la salle de bain, ça en devient envoûtant. J’aime tellement quand ma peau sens la même odeur moelleuse et sucrée que le savon ! Ca fait penser aux croissants aux amandes de la boulangerie. J’ai presque envie de me croquer le bras. « Pénélope ! Deuxième fois ! 

    -Oui, oui ! »Il faut vraiment que je sorte. Avec un soupir de regret, j’éteins l’eau et je sors de la douche. J’attrape une serviette et j’enveloppe mon corps ruisselant. Puis je me hâte vers ma chambre, mon nid, mon cocon ! Je décide qu’aujourd’hui, je vais être belle. Plus belle que Myriam. Aujourd’hui sera une belle journée. Je choisis une jupe, ma préférée, celle en liberty avec des fleurs blanches et bleues. Top noir, ballerines. Je prends ma brosse et j’entreprends de me faire un chignon. Puis j’enchaîne mécaniquement les gestes : laque, mascara, eye liner, crayon ; tout y passe, les flacons, tubes, et autres pots me tombent sous la main sitôt que j’en ai reposé un. Enfin, je mets la touche finale avec mon parfum à la fleur d’oranger. Tout d’un coup, dans un éclair de lucidité, je me rends compte de l’heure. Il est huit heures moins vingt cinq et je dois prendre le métro dans…dix minutes ! J’arrive en trombe dans la cuisine, je prends deux tranches de pain je les mets à griller, je les beurres et je bois mon chocolat en vitesse. Puis, tartines à la main, je cours chercher mon sac, je mets mon gilet, je balance un court « A ce soir, mman’ »et je sors de l’appart. Je prends en courant les escaliers et, arrivée dans le hall de l’immeuble, je sors dehors. Dans la rue, la course n’est pas terminée, et il est moins vingt ! Je dois encore rejoindre la station de métro, à deux rues d’ici. Pourvu que j’arrive à temps ! Je commence à courir et, au panneau « Métropolitain », je prends les escaliers et je m’enfonce sous terre. Dans la station, c’est bondé. Des hommes et des femmes d’affaires, des hordes d’enfants avec leurs parents, des élèves comme moi, des étudiants, tout le monde est mélangé, pressé, et s’agite dans tout les sens. On dirait une fourmilière. J’arrive juste à tant, la rame de métro vient d’arriver. Je m’engouffre à l’intérieur et je m’apprête à m’assoir à coté d’un inconnu quand j’entends des cris. « Pénélope ! Houhou ! Pen ! Avec un grand sourire, Victoire me fait de petits signes

    -Vic ! T’es là ! »Je me faufile parmi les passager et m’assois à coté d’elle. Alors elle se lance dans un grand récit à base de week-end d’enfer, d’hôtels géniaux, etc. Je n’ai pas besoin de vous faire un dessin, ma meilleure amie est bourrée de fric. Je ne suis pas jalouse, mes parents ne sont pas non plus à plaindre, mais quand j’entends les vacances auxquelles elle a droit, j’avoue que j’ai des soupçons d’envie. Au bout d’un moment, on arrive à la station du collège.On sort en bavassant, et on rejoint le lieu maudit. Maud nous attends devant le portail. Elle est bronzée, je ne sais pas comment elle fait, en plus elle ne chope jamais de coup de soleil ! On dirait qu’elle passe ses week-ends à Malibu ou Tahiti ! En plus, elle est superbe, tout les mecs la regardent, c’est à vous dégouter d’être une fille quand elle est à coté ! Nous la rejoignons à grands pas. Elle nous saute dessus, ravie que nous arrivions enfin, et nous explique comment sa mère s’est dégoté un nouveau mec. Mais tout d’un coup, j’oublie la conversation. IL vient d’arriver.LUI. Léo. Il est beau, oh ! Beau comme un dieu, magnifique, superbe ! A faire tomber les anges. Il sourit. Un superbe sourire, qui me fait fondre comme une glace au soleil, un iceberg sur la banquise ! Mon dieu, qu’il est beau ! J’imagine que c’est à moi qu’il sourit, que c’est moi qu’il est en train d’embrasser, de serrer dans ses bras...aaah ! Je suis en train de m’imaginer à la place de Myriam ! Quelle horreur ! «  Euh, Pen, tu nous écoutes, là ?c’est Victoire.

    -T’as l’air carrément dans les vapes! Rigole Maud.

    -Tu es encore sur Léo ? Laisses tomber, il ne vaut rien, en plus il ne larguera jamais sa pouffe pour toi, rêve pas ! » Ouah. Super encourageant. La première qualité de Victoire, c’est sa finesse. Je pousse un soupir et me tourne vers elle, mais  elle est déjà loin. Daniel, sans doute. Maud me souris et m’entraine vers le collège.

    Quand j’en sors, la journée a été mauvaise, plus que prévu. Que citer en premier ?Victoire, qui, à force de jouer avec le feu(et les sentiments) s’est fait larguer pour la première fois de sa vie ? Maud qui s’est pris la pire-et seule-mauvaise note de son existence ?En entrant dans une rame de métro bondée, je songe que pour moi, la journée n’a pas été si mauvaise. Léo a daigné me sourire deux fois. Et quels sourires ! Puis les mots de ma meilleure amie me reviennent en tête : « Rêve pas ! ».

    Elle a raison. Je suis pathétique, à baver sur lui, à compter ses mots et ses sourires !Il faut que je me calme !Cinq minutes après, je suis dehors, sous une petite pluie fine qui ne tombe que le printemps. L’air est humide est se rafraichit. Je vais me dépêcher aujourd’hui. Malgré mes effort je suis encore dehors lorsque la pluie se met à tomber sérieusement. J’ai beau me mettre à courir, je suis trempée et dégoulinante quand je pousse la porte de l’immeuble. Alors que je pose un pied sur la première marche des escaliers, une voix m’interpelle :

    « -Bonjour mademoiselle  Renaud ! Comment allez vous ?Je me retourne et aperçois Mme Gilion qui me sourit. C’est la concierge de l’immeuble. Elle est très lourde, mais  maman pense qu’il vaut mieux bien s’entendre avec elle. Je me rapproche d’elle et lui souris de toutes mes dents : -Bonjour Mme Gilion ! Je vais bien merci, et vous ??? ^^’

    -Oh ! Si vous saviez ! Ma fille vient d’accoucher ! J’ai du la mener à l’hôpital hier en catastrophe !Et au milieu du chemin, j’ai du faire le plein d’essence avec elle qui criait dans la voiture ! Vous vous rendez compte ! Le père est parti en voyage avec sa sœur alors qu’elle était enceinte jusqu’au coup !!moi je lui avait dit, à ma Sophia : Attention ! Tu vas accoucher qu’il sera même pas là !Mais elle n’en a fait qu’a sa tête comme d’habitude et elle l’a laissé filer ! »Mme Gilion s’agite dans  son monologue. Elle me soule, mais comment lui dire sans la blesser ? Elle est un peu comme une gamine qui ne comprend pas qu’elle soule les gens…

    Bref ! Blasée, je prends mon souffle et dit d’une traite, sans respirer : « OOOOOH madame vous avez une vie passionnante mais je dois préparer mon oral  d’anglais vous savez, la troisième, c’est plein de trucs comme ça ! Au revoir ! » Et je cours dans les escaliers sans attendre de réponse.

    Une douche, trois exo de maths et une révision d’anglais après (soit environ 1h30), je suis allongée sr le canapé à regarder une émission débile quand j’entends une clé tourner dans la serrure « Salut !! Il y a quelqu'un ??, fait ma mère du fond du couloir.

    -Tu rentres bien tard, je réponds

    -Tu connais madame Gillon !! En plus…

    -…Je sais, sa fille vient d’accoucher ! Dans la voiture ! Comment s’appelle le bébé ? j’ai pas écouté !

    - Je ne sais pas j’ai moi aussi quitté cette chère Mme Gillon avant la fin ! Comment s’est passé ta journée ?

    -Victoire vit son premier chagrin d’amour, inintéressant pour toi !

    -Quoi d’autre ?

    - 14 en maths !

    - Ca, ça m’intéresse ! » Elle souris, me pose un baiser sur le front et se dirige vers la cuisine, puis s’attelle à la préparation du repas. Un quart d’heure plus tard, elle  s’assoit à coté de moi, posant devant ma place un plateau fumant. Des pates bolognaises ! Ce qu’il me fallait pour décompresser !  Tout en mangeant, je discute vivement avec ma mère. Je crois que c’est l’une des personnes que j’admire le plus.

     

     

     




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