SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    KiimChii
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    Date de création :
    le 06/10/2013 à 15:18

    Présentation
    Modifié le 16/11/2014

     
      

        NIGHTMARE.
    fiction futuriste.


                                             
    prologue.
    Prologue.

    m « Est-ce donc ton incapacité à aimer qui te maintient en vie ? »

    m Le haut de son visage était dissimulé dans les ténèbres de la forêt, comme toujours et probablement pour l'éternité. On ne pouvait seulement distinguer ses lèvres qui s'entrouvaient chaque fois qu'il prononçait une phrase de sa voix roque. Sa bouche donnait un indice de la beauté qui se trouvait, un peu plus haut et la jeune fille devinait sans mal qu'il devait être beau à en couper le souffle. Son corps, quant à lui était immobile et si l'on ne voyait pas la fumée opaque s'échapper d'un emplacement précis — celui du nez —, on aurait pu jurer qu'il ne respirait. La jeune adolescente secoua la tête et s'apprêta à répliquer lorsque tout ne devient que mirage et illusion. Suite à cet arrêt soudain, la vision de la jeune fille devint net et elle distingua ces habituels visages penché au dessus des neoplates tandis que leurs mains appuyaient çà et là.
      m — Je vous remercie de votre coopération, annonça la femme à la chevelure rousse, détournant le regard de l'écran.
     m L'adolescente hocha la tête avant de se lever de l'énorme plateau de fer et sortir du bloc. Les néons du couloir ne cessaient de clignoter et donnaient un aspect sinistre à l'endroit. Elle longea le grand couloir tandis que la porte du bloc rapetissait au fur et à mesure que la fille avançait, le regard droit devant elle.  Elle s'arrêta finalement devant une porte sur laquelle une plaque de fer, gravée des mots « Paige Agnes, S42 », était posée.


    Chapitre 1.

         « La lumière claire et bleutée filtrait à travers la fenêtre barrée qui séparait la chambre de Paige de l'extérieur. Paige avait l'habitude de s'imaginer que cette lumière provenait de la Lune. La Lune, un satellite qui n'avait plus jamais refait son apparition depuis des années lumières. Certains racontaient qu'elle était belle. Que sa lumière éclairait la Terre d'une jolie lueur claire et pure. La jeune adolescente reposait toujours sur son imagination, sur les belles histoires qu'on lui avait autrefois contées ; dans son monde à elle. Elle avait tout perdu et cela depuis son enfance. Rien ne la raccrochait au réel qu'était ce cruel monde. Et contrairement à tous les pensionnaires logeant dans ce refuge, Paige était restée seule, depuis le début et jusqu'à la fin, s'était-elle jurée. En effet, elle n'aimait pas les humains et encore moins ces adolescents qui erraient dans ce bâtiment avec elle. La solitude que lui offrait cette chambre était comme une bénédiction.
         « Rêverie. Médicament. Rêverie. Test. Rêverie. Voilà ce à quoi se résumait sa misérable vie. Paige ne faisait pas grand chose de ses journées et restait cloitrée en permanence dans cette maudite pièce à pourrir et devenir une pauvre folle dépourvue de logique. Enfin, c'est ce qu'elle espérait devenir. Elle voulait en finir une bonne fois pour tout, sans souffrir. Du moins, jusqu'à ce jour. Quelqu'un était venu toquer à la porte de l'adolescente. Les coups contre le fer dur et froid résonnaient dans toute la pièce malgré que l'occupante de la chambre ne les entendait que comme dans un lointain souvenir. Paige se contenta de grommeler des mots incompréhensible qu'elle-même ne comprenait pas, afin de prévenir son invité qu'elle était bel et bien là — comme toujours —, bien qu'elle ne soit pas d'humeur à parler — comme toujours aussi —. La porte s'ouvrit dans un grincement qui lui aurait arracher un juron, si elle ne s'y était pas habituée. Quand la porte fut grande ouverte, une silhouette s'y dessinait, montrant clairement que c'était une jeune fille de son âge qui se présentait à elle.
    — C'est bien Paige Agnes ?, demanda la fille d'une voix douce bien qu'elle soit un peu grave.
    — Malheuresement,  répondit Paige dans un murmure. 
    Cela faisait si longtemps que des mots clairs et net n'étaient pas sorti d'entre les lèvres de Paige que sa bouche lui sembla pâteuse. La fille à l'entrebaillement de la porte prit une inspiration et se racla la gorge.
    — Je ..., commença-t-elle d'une voix hésitante. Je m'appelle Edith. Edith Forwaith.
    — Et qu'est-ce que je peux y faire ?, dit-elle d'un ton désintéressé.
    La fille secoua la tête et fit semblant de ne pas avoir entendu.
    — Je me disais que tu avais peut-être un peu marre de la ..
    — Non, tout va bien. Laisse moi dans mon monde, répliqua sèchement Paige.
    — Ton monde ?
    — Tu ne peux pas comprendre, soupira la malheureuse.
    Paige, qui s'était relevée tantôt pour converser avec Edith s'était laissée tomber à nouveau sur le matelas dont les ressorts en sortaient presque à présent. Edith avait l'air perdue. Paige avait sans doute raison : Edith ne comprenait pas. Elle se ressaisit puis secoua encore une fois la tête.
    — Tout compte fait, il y a un rassemblement dans la grande salle, reprit Edith d'une voix assurée.
    — Dis leurs que je ne viendrais pas.
    — C'est obligatoire.
    Dans un dernier soupir, l'adolescente se leva péniblement  du vieux matelas et se redressa en grommelant. Elle s'approcha lentement d'Edith pour la suivre à travers le couloir. Un pas. Deux pas. Trois pas. Quatre pas. Une main lui aggripa soudainement l'épaule. Surprise, Paige ne réagit d'abord pas mais, lorque qu'un métal froid vint se poser sur le cou de celle-ci, son esprit se réveilla et elle essaya de se dégager de la poigne de fer. La main ne bougea pas, ne serait-ce que d'un millimètre. Elle tenta de donner un coup de pied qui finit malheureusement contre le dur fer de la porte. Un juron s'échappa de ses lèvres tandis que le petit objet froid dans son cou s'enfonçait un peu plus. Après maintes tentatives, elle comprit que le fait de résister ne la conduirait nulle part, encore moins à la liberté. A chaque coup, la prise se renforçait, lui broyant l'épaule. L'adolescente abandonna toute résistance et l'objet s'enfonça à nouveau dans sa peau dans un petit « clic ». Paige s'effondra au sol et les derniers mots qu'elle entendit durent « Désolée ».

    Fin du chapitre 1.
    Désolée, le chapitre est vraiment, nulle à faire caca — pour pas être familère, éhé. —. Mais fallait obligatoirement passer par là. Je pense le réécrire, quand l'inspiration me viendra parce que je me l'imaginais dix fois mieux et je m'en pense capable. Enfin, faudrait aussi que je l'allonge et je suis à peu près sûre d'avoir louper quelque chose. Bref, c'du caca et j'suis désoléée.

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