SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    beautedulac
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    Date de création :
    le 11/11/2013 à 00:49

    Présentation
    Modifié le 27/05/2014

     

    Bienvenue dans la suite du club

    ~•~ Chronique d'une fille pas comme les autres °5° ~•~

     

    Partie 39  

     

    Partie 39 : 
    Le jour se lève, je n'ai casiment pas dormit de la nuit comme toutes les nuits depuis presque 2 mois. La dernière phrase que cette femme m'a dit m'intrigue vraiment beaucoup... C'est enfin vendredi, la journée la plus difficile car aujourd'hui, c'est le compte rendus en vie de classe car c'est presque la fin du 2° trimestre.
    Je me lève, m'habille et prend une tartine que je mange sur le chemin, je ne dit pas un mot pendant tous ce temps. Quand une main vient me tirer de mes pensées.
    Otaru, chuchotte pour que personne ne l'entende : Ça ne va pas Yuki ?
    Moi : Hein ?... Oh, oui, sa va... Merci
    Otaru fesait une tête qui montrait qu'elle ne me croyait pas, mais elle avait compris que je ne voulais pas en parler, pas maintenant.
    Otaru : Ces desrniers temps, tu es un peu dans les nuages...Tu me diras ce qui te tracasses tant quand tu te sentiras prête ok ?
    Moi, me jettant dans ses bras : Merci...
    --------- Dernière heure de cours de toute la journée --------- 
    Nous nous rendons dans la classe de notre professeur principale pour notre dernière heure, l'heure de vie de classe. A peine rentrés la prof nous demande de sortir de la classe car nous allons dans une classe où il n'y en a qu'une seule à côter. Celle de technologie qui se trouve au fond de la cours dans un petit batiment avec un petit hall. La prof avait l'air très en colère.
    On rentre dans la classe de technologie et la prof nous demande de nous assoir. Elle vas au bureau pour poser ses affaires puis revient avec un livre.
    La prof : Je le fait passer, chacun de vous va lire, un par un,  un article de ce livre. Qui veux commencer ?
    Une fille qui s'était assise à côté de moi lève la main.
    La prof : Theepa, tu vas lire.
    Elle lui apporte le livre. Theepa est srilanquaise arrivée il y a 6 ans. Elle est grande, fine, de grands yeux noirs et de longs cheveux noirs. Sa peau est bien entretenue et lisse. Elle est très gentille, aime ses amies et est prête à tout pour elles...
    Le livre est désormais devant elle, elle le regarde fait une grimace et me le passe sans me regarder. Je le lui redonne et aussi tôt, il est de nouveau devant moi.
    Moi, chuchotte : Theepa, c'est à toi de lire, pas à moi.
    Elle m'ignore. Je lui repasse le livre et elle me le re-passe. Ma patience à des limites et je commence a la perdre.
    La prof, encore plus furieuse qu'avant : Theepa! Tu lis !
    Theepa, reprennant le livre : Oui, madame...
    Theepa regarde l'article qu'elle doit lire et me repasse le livre. Je pers mon sang froid car je n'aime pas sa manière d'agir.
    Moi , chuchotte : Theepa, lit. Je t'aiderais si tu veux mais arrête sa !
    Theepa me regarde, prends le livre, le regarde et me le re-file. Je m'énerve! Je me lève brusquement sous ma forme d'immortelle. Mes longs cheveux argentés retombent sur mes fesses, mes yeux rouges écarlates regardent les noirs de celle qui est a côté de moi droit dans les yeux. Toute la classe laisse échapper un "Wow" ou un "Oh!". La prof à l'air surprise et je sens son angoisse s'intensifier.
    Je regarde autour de moi et je sais ce qu'il me reste à faire...
     Le jour se lève, je n'ai casiment pas dormit de la nuit comme toutes les nuits depuis presque 2 mois. La dernière phrase que cette femme m'a dit m'intrigue vraiment beaucoup...
    C'est enfin vendredi, la journée la plus difficile car aujourd'hui, c'est le compte rendus en vie de classe car c'est presque la fin du 2° trimestre.
    Je me lève, m'habille et prend une tartine que je mange sur le chemin, je ne dit pas un mot pendant tous ce temps. Quand une main vient me tirer de mes pensées.
    Otaru, chuchotte pour que personne ne l'entende : Ça ne va pas Yuki ?
    Moi : Hein ?... Oh, oui, sa va... Merci.
    Otaru fesait une tête qui montrait qu'elle ne me croyait pas, mais elle avait compris que je ne voulais pas en parler, pas maintenant.
    Otaru : Ces desrniers temps, tu es un peu dans les nuages...Tu me diras ce qui te tracasses tant quand tu te sentiras prête ok ?
    Moi, me jettant dans ses bras : Merci...
    --------- Dernière heure de cours de toute la journée --------- 
    Nous nous rendons dans la classe de notre professeur principale pour notre dernière heure, l'heure de vie de classe.
    A peine rentrés la prof nous demande de sortir de la classe car nous allons dans une classe où il n'y en a qu'une seule à côter. Celle de technologie qui se trouve au fond de la cours dans un petit batiment avec un petit hall. La prof avait l'air très en colère.
    On rentre dans la classe de technologie et la prof nous demande de nous assoir. Elle vas au bureau pour poser ses affaires puis revient avec un livre.
    La prof : Je le fait passer, chacun de vous va lire, un par un,  un article de ce livre. Qui veux commencer ?
    Une fille qui s'était assise à côté de moi lève la main.
    La prof : Theepa, tu vas lire.
    Elle lui apporte le livre. Theepa est srilanquaise arrivée il y a 6 ans. Elle est grande, fine, de grands yeux noirs et de longs cheveux noirs. Sa peau est bien entretenue et lisse. Elle est très gentille, aime ses amies et est prête à tout pour elles...
    Le livre est désormais devant elle, elle le regarde fait une grimace et me le passe sans me regarder. Je le lui redonne et aussi tôt, il est de nouveau devant moi.
    Moi, chuchotte : Theepa, c'est à toi de lire, pas à moi.
    Elle m'ignore. Je lui repasse le livre et elle me le re-passe. Ma patience à des limites et je commence a la perdre.
    La prof, encore plus furieuse qu'avant : Theepa! Tu lis !
    Theepa, reprennant le livre : Oui, madame...
    Elle regarde l'article qu'elle doit lire et me repasse le livre. Je pers mon sang froid car je n'aime pas sa manière d'agir.
    Moi , chuchotte : Theepa, lit. Je t'aiderais si tu veux mais arrête sa !
    Elle me regarde, prends le livre, le regarde et me le re-file. Je m'énerve!
    Je me lève brusquement sous ma forme d'immortelle. Mes longs cheveux argentés retombent sur mes fesses, mes yeux rouges écarlates regardent les noirs de celle qui est a côté de moi droit dans les yeux.
    Toute la classe laisse échapper un "Wow" ou un "Oh!". La prof à l'air surprise et je sens son angoisse s'intensifier.
    Je regarde autour de moi et je sais ce qu'il me reste à faire...

    Partie 40 :

    Je vais leur effacer la mémoire. Cela va me demander beaucoup d'énergie mais je vais le faire. Je crée une barrière pour que personne ne sorte, ni ne rentre.

    Je commence par Theepa. Je m'assoit sur la table, pose sa tête sur ma poitrine et met ma main sur sa tête afin de commencer. Tout le monde regarde, sa m'angoisse un peu... Une fois fini d'avoir effacer cette partie de la journée de sa mémoire, elle s'évanoui et dort. Je continue avec une autre fille, et ainsi de suite. Je commence par les filles car je crain le passage aux garçons...

    Toutes les filles ont cette partie de la journée effacée. Je remarque que Quentin me regarde avec un regard qui me fait peur. Il y a de la determination, de la perversion et de l'envie dans son regard... Je doit le faire ! Pour préserver mon secret !

    J'avance vers un garçon, le plus gentil de tous et le moin pervers. Celui qui m'as retirer de la foule un jour : Damon (voir partie 22). Il semble qu'il n'écoutais pas le cours. Il me voit arriver, je ne lit aucune peur dans ses yeux. Je m'assoit sur la table, le regarde, prend sa tête délicatement et la pose sur ma poitrine. Je lui lâche un léger "pardon" et je l'entends dire "fait ce que tu doit faire". Je commence à lui effacer la mémoire. Avec lui, je suis gentille car il est mon ami et il a confiance en moi. 

    Une fois fini, je me dirige vers Quentin qui me regardait toujours avec ce regard qui fait froid dans le dos. Pour lui faire face, je ne lui montre pas ma peur et le regarde avec un regard glacial. Je m'assois sur sa table, prends sa tête et la cogne un peu avant de la mettre sur ma poitrine pour ne pas qu'il ait les idées claires pour me "les" toucher. Je fini au plus vite puis passe aux autres garçons pour enfin arriver au dernier. Jordan. Le gars avec les pensées les plus dégueulasses qui puisse exister, même Jackson n'est pas aussi pervers que lui... Je ne prends pas la peine de m'assoir sinon, il risque de m'enlacer et de ne plus me lacher. 

     

    Je suis face à lui et "cogne" sa tête contre ma poitrine pour qu'il n'aie pas le temps de réagir et lui efface la mémoire le plus vite possible. Sauf que, lorsque j'avais mit ma main sur sa tête, il en avait profiter pour poser les siennes sur ma poitrine. Je commence à lui effacer la mémoire mais il me fait de plus en plus mal avec ses mains... Je perds le controle et je lui efface, sans le faire exprès, la mémoire de toute cette semaine... Une fois terminer, c'est les larmes aux yeux que je demande pardon à la prof et sort en courant de la salle de technologie en brisant la barrière...

    Partie 41

     

    Je cours les larmes aux yeux et une fois devant un arbre, le premier qui se trouve a 10 mètres des toilettes des garçons (où sur un des murs, se trouve un banc), j'utilise un de mes pouvoirs déjà maîtriser qui me permet de combiner ma nature de néko et celle d'imortelle. 
    Mon physique reste le même que lorsque je suis en immortelle mais des oreilles et une queue blanches avec les pointes noirs apparaissent. 
    Je m'apprète à sauter quand j'entend une voix qui ne m'est pas inconnue qui me dit : 
    ... : Pourquoi cours-tu, Yuki ?
    Je me retourne et je voit contre le mur en brique, Kaname qui me regarde, un pied appuier contre ce mur, les mains dans les poches. Je ne réfléchit pas et je me précipite dans ses bras pour pleurer. Pourquoi ai-je eu le reflexe de courir vers lui sans hésitations ? 
    Il renferme ses bras sur moi et me console. Je revient sous ma forme d'imortelle. 
    Il me lâche et vas s'assoir sur le banc en me fesant signe de le rejoindre. Je m'assoit donc auprès de lui.
    Kaname, gentilment : Tu ne veux pas te reposer un peux, comme sa, tu m'expliqueras mieux ? Reposes-toi sur ma jambe si tu veux.
    Je ne dit aucun mots et m'allonge. Ma tête est posée sur sa jambe, il me caresse les cheveux, d'un certain côté, sa me rassure.
    Kaname: Raconte moi tout Yuki...
    Moi, les larmes reviennant à mes yeux, je les fermes : Je me suis transformée devant toute la classe et j'ai dû effacer leur mémoire. Et tu sais que...Pour utiliser au mieu ce pouvoir, il me faut  poser la tête de la personne sur ma poitrine afin qu'elle ne puisse pas m'échapper...
    Mes larmes s'intencifièrent , elles coulaient à flot.
    Moi, cachant ma poitrine avec mes mains, la voix qui tremble : Et, y'en a un qui en a profiter pour me les pelloter... ! 
    Kaname, me carressant toujours les cheveux : Je voit. Regarde moi maintenant.
    Je le regarde, il y avait de la tendresse dans sa voix et dans son regard.
    Kaname, m'essuyant mes larmes qui perlèrent ma peau pâle : Laisse le, il ne mérite pas que tu pleurs pour un minable pareil... Ne pleur pas, je suis là pour toi, j'irais plus tard te venger mais je ne veux pas que tes magnifiques yeux soyent humide  par sa faute.
    Kaname fesait preuve d'une tendresse qui reflétait son amour profond pour moi...
    Moi, ferme les yeux, prend une grande inspiration puis sourit : J'ai pris ma décision. J'accepte de ressortir avec toi.
    J'ouvre les yeux. Il me regardait, émerveillé, heureux. 
    Je me redresse, m'assoit sur ses cuisses pour me retrouver face-à-face à lui, il ne pouvait pas s'empêcher de me prendre mon visage avec ses mains douces mais fermes à la fois. Il se raprochait de moi, je sentais son soufle sur mon visage. Nous avons fini par nous embrasser...

    Partie 40 :
    Je vais leur effacer la mémoire. Cela va me demander beaucoup d'énergie mais je vais le faire. Je crée une barrière pour que personne ne sorte, ni ne rentre.
    Je commence par Theepa. Je m'assoit sur la table, pose sa tête sur ma poitrine et met ma main sur sa tête afin de commencer. Tout le monde regarde, sa m'angoisse un peu... Une fois fini d'avoir effacer cette partie de la journée de sa mémoire, elle s'évanoui et dort. Je continue avec une autre fille, et ainsi de suite. Je commence par les filles car je crain le passage aux garçons...
    Toutes les filles ont cette partie de la journée effacée. Je remarque que Quentin me regarde avec un regard qui me fait peur. Il y a de la determination, de la perversion et de l'envie dans son regard... Je doit le faire ! Pour préserver mon secret !
    J'avance vers un garçon, le plus gentil de tous et le moin pervers. Celui qui m'as retirer de la foule un jour : Damien (voir partie 22). Il semble qu'il n'écoutais pas le cours. Il me voit arriver, je ne lit aucune peur dans ses yeux. Je m'assoit sur la table, le regarde, prend sa tête délicatement et la pose sur ma poitrine. Je lui lâche un léger "pardon" et je l'entends dire "fait ce que tu doit faire". Je commence à lui effacer la mémoire. Avec lui, je suis gentille car il est mon ami et il a confiance en moi. 
    Une fois fini, je me dirige vers Quentin qui me regardait toujours avec ce regard qui fait froid dans le dos. Pour lui faire face, je ne lui montre pas ma peur et le regarde avec un regard glacial. Je m'assois sur sa table, prends sa tête et la cogne un peu avant de la mettre sur ma poitrine pour ne pas qu'il ait les idées claires pour me "les" toucher. Je fini au plus vite puis passe aux autres garçons pour enfin arriver au dernier. Jordan. Le gars avec les pensées les plus dégueulasses qui puisse exister, même Jackson n'est pas aussi pervers que lui... Je ne prends pas la peine de m'assoir sinon, il risque de m'enlacer et de ne plus me lacher. 
    Je suis face à lui et "cogne" sa tête contre ma poitrine pour qu'il n'aie pas le temps de réagir et lui efface la mémoire le plus vite possible. Sauf que, lorsque j'avais mit ma main sur sa tête, il en avait profiter pour poser les siennes sur ma poitrine. Je commence à lui effacer la mémoire mais il me fait de plus en plus mal avec ses mains... Je perds le controle et je lui efface, sans le faire exprès, la mémoire de toute cette semaine... Une fois terminer, c'est les larmes aux yeux que je demande pardon à la prof et sort en courant de la salle de technologie en brisant la barrière...Partie 40 :Je vais leur effacer la mémoire. Cela va me demander beaucoup d'énergie mais je vais le faire. Je crée une barrière pour que personne ne sorte, ni ne rentre.Je commence par Theepa. Je m'assoit sur la table, pose sa tête sur ma poitrine et met ma main sur sa tête afin de commencer. Tout le monde regarde, sa m'angoisse un peu... Une fois fini d'avoir effacer cette partie de la journée de sa mémoire, elle s'évanoui et dort. Je continue avec une autre fille, et ainsi de suite. Je commence par les filles car je crain le passage aux garçons...Toutes les filles ont cette partie de la journée effacée. Je remarque que Quentin me regarde avec un regard qui me fait peur. Il y a de la determination, de la perversion et de l'envie dans son regard... Je doit le faire ! Pour préserver mon secret !J'avance vers un garçon, le plus gentil de tous et le moin pervers. Celui qui m'as retirer de la foule un jour : Damien (voir partie 22). Il semble qu'il n'écoutais pas le cours. Il me voit arriver, je ne lit aucune peur dans ses yeux. Je m'assoit sur la table, le regarde, prend sa tête délicatement et la pose sur ma poitrine. Je lui lâche un léger "pardon" et je l'entends dire "fait ce que tu doit faire". Je commence à lui effacer la mémoire. Avec lui, je suis gentille car il est mon ami et il a confiance en moi. Une fois fini, je me dirige vers Quentin qui me regardait toujours avec ce regard qui fait froid dans le dos. Pour lui faire face, je ne lui montre pas ma peur et le regarde avec un regard glacial. Je m'assois sur sa table, prends sa tête et la cogne un peu avant de la mettre sur ma poitrine pour ne pas qu'il ait les idées claires pour me "les" toucher. Je fini au plus vite puis passe aux autres garçons pour enfin arriver au dernier. Jordan. Le gars avec les pensées les plus dégueulasses qui puisse exister, même Jackson n'est pas aussi pervers que lui... Je ne prends pas la peine de m'assoir sinon, il risque de m'enlacer et de ne plus me lacher. Je suis face à lui et "cogne" sa tête contre ma poitrine pour qu'il n'aie pas le temps de réagir et lui efface la mémoire le plus vite possible. Sauf que, lorsque j'avais mit ma main sur sa tête, il en avait profiter pour poser les siennes sur ma poitrine. Je commence à lui effacer la mémoire mais il me fait de plus en plus mal avec ses mains... Je perds le controle et je lui efface, sans le faire exprès, la mémoire de toute cette semaine... Une fois terminer, c'est les larmes aux yeux que je demande pardon à la prof et sort en courant de la salle de technologie en brisant la barrière...

     

    Partie 42 : 
    Il me lâcha pour me regarder dans les yeux.
    Kaname : Yuki, tu en es sûre ?
    Moi : Oui.
    Kaname, sourit comme un gamin: Je suis... heureux!
    Kaname sourit et me fit allonger de nouveaux sur sa jambe. C'est ce que je fit.
    Kaname : J'entends quelqu'un, fait semblant de dormir.
    Il y avait la prof et un surveillant. Ils trouvèrent avec surprise moi, allongée avec la tête sur une des jambes de Kaname.
    La prof : Marine, réveille toi, ne reste pas là !
    Kaname, ferme et froid : Elle dort... Ne la réveillez pas...
    Certainement que Kaname s'adresse à elle car elle n'a pas bouger d'un poil quand je me suis faite... enfin voilà quoi...
    La prof : Et vous êtes ?
    Kaname : Kaname Ayusawa, son copain.
    La prof , rire puis elle devient sérieuse : Foutaises! Vous allez me dire qu'une gamine de 14 ans va sortir avec un gars de 18-19 ans ?
    Kaname, commence un peu a hausser le ton : Et alors, vous avez quelque chose contre ? Nous sommes totalement conscients et nos parents aussi. Ne vous melez pas de ce qui ne vous regarde pas...
    Elle s'aproche, je la sens me regarder. Elle me prends par le poignet. Je me retient d'ouvrir les yeux. C'est la prof la moin renseignée sur moi de toute l'équipe pédagogique bien qu'elle soit mon prof principale. Même le surveillant en sait plus sur moi qu'elle. 
    Je ne me sens pas bien, ma tête tourne... Je... tombe. J'ai... Vidé toute mon énergie quand j'ai... effacer la mémoire de tous ceux de ma classe...
    Kaname, se lève et me ratrappe pour ne pas que je me cogne la tête: Marine, Marine, réveille toi...
    Il regarde la prof puis me prends dans ses bras.
    La prof : Quesqu'elle a celle la ?
    Kaname, me porte comme une princesse : Elle a utiliser trop d'énergie pour pouvoir effacer la mémoires de vos élèves. Je l'enmène chez elle sur le champs.
    Il commence a avancer quand j'arrive a ouvrir faiblement mes yeux.
    Moi, faiblement : Ka-name... Merci
    Apres ses mots, je me suis endormie mais avnt de fermer mes yeux, je vis un doux sourir se dessiner sur les lèvres de Kaname.
    Nous sommes enfin arriver chez moi. Je tient faiblement debout mais je peux marché, donc, j'ai demander à Kaname de me laisser au portail (qui se touve à 100 mètres de la porte d'entrée)...
    Partie 42 : 
    Il me lâcha pour me regarder dans les yeux.
    Kaname : Yuki, tu en es sûre ?
    Moi : Oui.
    Kaname, sourit comme un gamin: Je suis... heureux!
    Il sourit et me fit allonger de nouveaux sur sa jambe. C'est ce que je fit.
    Kaname : J'entends quelqu'un, fait semblant de dormir...
    Il y avait la prof et un surveillant. Ils trouvèrent avec surprise moi, allongée avec la tête sur une des jambes de Kaname.
    La prof : Marine, réveille toi, ne reste pas là !
    Kaname, ferme et froid : Elle dort... Ne la réveillez pas...
    Certainement que Kaname s'adresse à elle en colère comme ça car elle n'a pas bouger d'un poil quand je me suis faite... enfin voilà quoi...
    La prof : Et vous êtes ?
    Kaname, un sourir au coin : Kaname Ayusawa, son copain.
    La prof , rire puis elle devient sérieuse : Foutaises ! Vous allez me dire qu'une gamine de 14 ans va sortir avec un gars de 18-19 ans ?Kaname, commence un peu a hausser le ton : Et alors, vous avez quelque chose contre ? Nous sommes totalement conscients et nos parents aussi. Ne vous melez pas de ce qui ne vous regarde pas...
    Elle s'aproche, je la sens me regarder. Elle me prends par le poignet.
    Je me retient d'ouvrir les yeux. C'est la prof la moin renseignée sur moi de toute l'équipe pédagogique bien qu'elle soit mon prof principale. Même le surveillant en sait plus sur moi qu'elle. 
    Je ne me sens pas bien, ma tête tourne... Je... tombe.
    J'ai... Vidé toute mon énergie quand j'ai... effacer la mémoire de tous ceux de ma classe...
    Kaname, se lève et me ratrappe pour ne pas que je me cogne la tête: Marine, Marine, réveille toi...
    Il regarde la prof puis me prends dans ses bras.
    La prof : Quesqu'elle a celle la ?
    Kaname, me porte comme une princesse : Elle a utiliser trop d'énergie pour pouvoir effacer la mémoires de vos élèves. Je l'enmène chez elle sur le champs.
    Il commence a avancer quand j'arrive a ouvrir faiblement mes yeux.
    Moi, faiblement : Ka-name... Merci...
    Apres ses mots, je me suis endormie mais avnt de fermer mes yeux, je vis un doux sourir se dessiner sur les lèvres de Kaname.
    Nous sommes enfin arriver chez moi. Je tient faiblement debout mais je peux marché, donc, j'ai demander à Kaname de me laisser au portail (qui se touve à 100 mètres de la porte d'entrée)...

     

    Partie 43 : 
    J'ouvre la porte avec quelques difficultées. Une fois chez moi,  je m'évanoui dans le hall. Ma mère, aillant entendu un bruit, s'aproche doucement, avec un rouleau de cuisine au cas ou c'était un cambrioleur. Dès qu'elle m'avait vu étendue là, sur le sol, elle lacha aussitôt le rouleau, couru vers moi, affolée.
    Maman, affolée : Yuki ! Yuki ! Yukiiiiii !!!
    Moi, dort : Zzzzzzzzzzzzzzz...
    Elle me pris dans ses bras et me monta dans ma chambre.
    ---------- 3 heures plus tard ----------
    Je me reveille. Je suis dans ma chambre encore sous ma forme naturelle. Je pense que j'ai retrouver toute mon energie et que je peux de nouveaux utiliser mes pouvoirs et me tenir debout. Je me lève, tout à l'air d'aller mieux mais quand je pose mon pied devant l'autre pour avancer, une faille me fis tomber par terre. 
    Ma mère, aillant sans doute entendu du bruit dans ma chambre, monte et ouvre ma porte. Elle me porte jusqu'au salon où elle m'allonge sur le canapé. Environ 10 minutes plus tard, elle revient avec un récipient remplit d'eau avec une petite éponge de bain. Elle trempe l'éponge dans l'eau, l'essore et me tamponne délicatement le visage pour qu'il reste frai. Elle le refait 3 fois puis elle se lève, prends le téléphone et appelle le médecin de famille.
    Le médecin de la famille arrive. Il m'examine.Je suis inconsciente mais j'entends.
    Le médecin : Bien, madame Hanazono, votre fille n'a rien de grave, elle a trop utilisé d'énergie et elle est à bout, il ne faut surtout pas qu'elle sorte de la maison pendant 3 jours et que pendant ce temps, elle ne doit fournir aucun effort physique.
    Maman : C'est d'accord monsieur. Je vais de ce pas appeller son college pour l'en informer de son état. Merci beaucoup pour vous être déplacé !
    La porte se referme, j'ouvre, avec difficultées, mes yeux et je voit ma mère penchée sur moi.
    Maman, inquiète : Sa va ma chérie ?
    Moi : O-oui... Je suis juste... très fatiguée...
    Maman : Repose toi bien, tu vas rester à la maison pendant trois jours, et il ne faudra sous aucuns prétextes que tu fasses d'efforts quelquonques.
    Moi, blasée : Ok...
    Partie 43 :
     
    J'ouvre la porte avec quelques difficultées.
    Une fois chez moi,  je m'évanoui dans le hall. Ma mère, aillant entendu un bruit, s'aproche doucement, avec un rouleau de cuisine au cas ou c'était un cambrioleur. Dès qu'elle m'avait vu étendue là, sur le sol, elle lacha aussitôt le rouleau, couru vers moi, affolée.
    Maman, affolée : Yuki ! Yuki ! Yukiiiiii !!!
    Moi, dort : Zzzzzzzzzzzzzzz...
    Elle me pris dans ses bras et me monta dans ma chambre.
                                                                        ---------- 3 heures plus tard ----------
    Je me reveille. Je suis dans ma chambre encore sous ma forme naturelle. Je pense que j'ai retrouver toute mon energie et que je peux de nouveaux utiliser mes pouvoirs et me tenir debout.
    Je me lève, tout à l'air d'aller mieux mais quand je pose mon pied devant l'autre pour avancer, une faille me fis tomber par terre. Ma mère, aillant sans doute entendu du bruit dans ma chambre, monte et ouvre ma porte.
    Elle me porte jusqu'au salon où elle m'allonge sur le canapé.
    Environ 10 minutes plus tard, elle revient avec un récipient remplit d'eau avec une petite éponge de bain. Elle trempe l'éponge dans l'eau, l'essore et me tamponne délicatement le visage pour qu'il reste frai.
    Elle le refait 3 fois puis elle se lève, prends le téléphone et appelle le médecin de famille.Le médecin de la famille arrive.
    Il m'examine.
    Je suis inconsciente mais j'entends.
    Le médecin : Bien, madame Hanazono, votre fille n'a rien de grave, elle a trop utilisé d'énergie et elle est à bout, il ne faut surtout pas qu'elle sorte de la maison pendant 3 jours et que pendant ce temps, elle ne doit fournir aucun effort physique.
    Maman : C'est d'accord monsieur. Je vais de ce pas appeller son college pour l'en informer de son état. Merci beaucoup pour vous être déplacé !
    La porte se referme, j'ouvre, avec difficultées, mes yeux et je voit ma mère penchée sur moi.
    Maman, inquiète : Sa va ma chérie ?
    Moi : O-oui... Je suis juste... très fatiguée...
    Maman : Repose toi bien, tu vas rester à la maison pendant trois jours, et il ne faudra sous aucuns prétextes que tu fasses d'efforts quelquonques.
    Moi, blasée : Ok...

     

    Partie 41 : 
    Je cours les larmes aux yeux et une fois devant un arbre, le premiers qui se trouve a 10 mètres des toilettes des garçons (où sur le mur latéral, se trouve un banc), j'utilise un de mes pouvoirs déjà maîtriser qui me permet de combiner ma nature de néko et celle d'imortelle. Mon physique reste le même que lorsque je suis en immortelle mais des oreilles et une queue blanches avec les pointes noirs apparaissent. Je m'apprète à sauter quand j'entend une voix qui ne m'est pas inconnue qui me dit : 
    ... : Pourquoi tu cours, Yuki ?
    Je me retourne et je voit contre le mur en brique, Kaname qui me regarde. Je ne réfléchit pas et je me précipite dans ses bras pour pleurer. Pourquoi ai-je eu le reflexe de courir vers lui sans hésitations ? Il renferme ses bras sur moi et me console. Je revient sous ma forme d'imortelle. 
    Il me lâche et vas s'assoir sur le banc en me fesant signe de le rejoindre. Je m'assoit donc auprès de lui.
    Kaname, gentilment : Tu ne veux pas te reposer un peux, comme sa, tu m'expliqueras mieux ? Reposes-toi sur ma jambe si tu veux.
    Je ne dit aucun mots et m'allonge. Ma tête est posée sur sa jambe, il me caresse les cheveux, d'un certain côté, sa me rassure.
    Kaname : Raconte moi tout Yuki...
    Moi, les larmes reviennant à mes yeux, je les fermes : Je me suis transformée devant toute la classe et j'ai dû effacer leur mémoire. Et tu sais que...Pour utiliser au mieu ce pouvoir, il me faut  poser la tête de la personne sur ma poitrine afin qu'elle ne puisse pas m'échapper...
    Mes larmes s'intencifièrent , elles coulaient à flot.
    Moi, cachant ma poitrine avec mes mains : Et, y'en a un qui en a profiter pour me les pelloter !
    Kaname, me carressant toujours les cheveux : Je voit. Regarde moi maintenant.
    Je le regarde, il y avait de la tendresse dans sa voix et dans son regard.
    Kaname, m'essuyant mes larmes qui perlèrent ma peau pâle : Laisse le, il ne mérite pas que tu pleurs pour un minable pareil... Ne pleur pas, je suis là pour toi.
    Kaname fesait preuve d'une tendresse qui reflétait son amour profond pour moi...
    Moi, ferme les yeux, sourit : J'ai pris ma décision. J'accepte de ressortir avec toi.
    J'ouvre les yeux. Il me regardait, émerveillé, heureux. Je me redresse, m'assoit sur ses cuisses pour me retrouver face-à-face à lui, il ne pouvait pas s'empêcher de me prendre mon visage avec ses mains douces mais fermes à la fois. Il se raprochait de moi, je sentais son soufle sur mon visage. Nous avons fini par nous embrasser...

     

    Partie 44 :
    3 Jours. 3Jours à rester enfermée à la maison ! Je doit  dire que ce fut très long !
    Ce matin, je me prépare pour retourner au college. Je me douche, m'habille je brosse les dents puis descent prendre une tartine et une brique de lait.Je m'assoit sur une chaise et commence a prendre mon petit dejeuner. Ma mère rentre encore en nuisette dans la cuisine, à moitié endormie. Elle met à chauffer de l'eau, prend une tasse, met un sachet de thé a la rose, l'un de ses préférés le matin. Elle verse l'eau dans la tasse et vient se joindre à moi.
    Maman, baille : Alors, tu es prête pour y retourner ?
    Moi, prend une bouchée de ma tartine : Oui...
    Une voiture venait de claxoner juste devant la porte, je regarde par le visiophone et voit avec surprise Kaname avec sa magnifique voiture juste devant ma porte.
    Kaname : Yuki, dépèches-toi ! Tu vas être en retard !
    Je regarde l'heure et il est 7h50 ! Je commence les cours a 8h10 et il me faut au moin 25 minutes à pied!
    Maman, apres avoir bu une gorgée de son thé : Ah oui, j'avais demander a Kaname de venir t'accompagner et te ramener, au cas où...
    Je me dépèche, je prend mon sac, ma veste en cuir, sans oublier mes magnifiques mitaines roses en cuir, et j'ouvre la porte.
    Moi, pressée : A ce soir maman !
    Je n'eus pas le temps d'entendre sa réponse que j'avais déjà fermé la porte. Je me retrouve face à Kaname.
    Moi, génée : Euh... Salut !
    Kaname, sourit : Salut! Allez, monte, sinon tu seras en retard !
    Je me dépèche de monter dans la voiture et referme la portière. Kaname fit de même et il démara aussitôt. En 5 minutes, j'étais déjà devant la grille du collège. Je me retourne avant d'ouvrir la portière et remercia Kaname : 
    Moi : Merci beaucoup !
    J'allais pour ouvrir la portière quand Kaname me retenait mon poignet.
    Kaname, sourit : Et mon bisou ? Nous sommes un couple maintenant...
    Moi, un peu génée : Un... bisou? Là, devant tout le monde ?
    Kaname : On est dans la voiture.
    Moi : bon...
    Je raprochais mon visage de sa joue et lorsque mes lèvre sentirent un contact, je constatas, à ma plus grande surprise, que Kaname avait tourner la tête afin d'obtenir un bisou sur la bouche. Je recula, rougis et bafouilla : 
    Moi : Euh...Ah ce soir...
    Je sort de la voiture et marche vite, très vite jusqu'au hall du collège... 
    Partie 44 :
    3
    Jours. 3 Jours à rester enfermée à la maison ! Je doit  dire que ce fut très long !
    Ce matin, je me prépare pour retourner au college. Je me douche, m'habille je brosse les dents puis descent prendre une tartine et une brique de lait. Je m'assoit sur une chaise et commence a prendre mon petit dejeuner.
    Ma mère rentre encore en nuisette dans la cuisine, à moitié endormie. Elle met à chauffer de l'eau, prend une tasse, met un sachet de thé a la rose, l'un de ses préférés le matin. Elle verse l'eau dans la tasse et vient se joindre à moi.
    Maman, baille : Alors, tu es prête pour y retourner ?
    Moi, prend une bouchée de ma tartine : Oui...
    Une voiture venait de claxoner juste devant la porte, je regarde par le visiophone et voit avec surprise Kaname avec sa magnifique voiture juste devant ma porte.
    Kaname : Yuki, dépèches-toi ! Tu vas être en retard !
    Je regarde l'heure et il est 7h50 ! Je commence les cours a 8h10 et il me faut au moin 25 minutes à pied !
    Maman, apres avoir bu une gorgée de son thé : Ah oui, j'avais demander a Kaname de venir t'accompagner et te ramener, au cas où...
    Je me dépèche, je prend mon sac, ma veste en cuir, sans oublier mes magnifiques mitaines roses en cuir, et j'ouvre la porte.
    Moi, pressée : A ce soir maman !
    Je n'eus pas le temps d'entendre sa réponse que j'avais déjà fermé la porte. Je me retrouve face à Kaname.
    Moi, génée : Euh... Salut !
    Kaname, sourit : Salut ! Allez, monte, sinon tu seras en retard...
    Je me dépèche de monter dans la voiture et referme la portière. Kaname fit de même et il démara aussitôt. En 5 minutes, j'étais déjà devant la grille du collège. Je me retourne avant d'ouvrir la portière et remercia Kaname : 
    Moi : Merci beaucoup !
    J'allais pour ouvrir la portière quand Kaname me retenait mon poignet.
    Kaname, sourit : Et mon bisou ? Nous sommes un couple maintenant...
    Moi, un peu génée : Un... bisou ? Là, devant tout le monde ?
    Kaname, sourit : On est dans la voiture tu sais ?
    Moi : Bon...
    Je raprochais mon visage de sa joue et lorsque mes lèvre sentirent un contact, je constatas, à ma plus grande surprise, que Kaname avait tourner la tête afin d'obtenir un bisou sur la bouche. Je recula, rougis et bafouilla : 
    Moi : Euh...Ah ce soir...
    Je sort de la voiture et marche vite, très vite jusqu'au hall du collège... 

     

     

    Partie 45 :
    Je marche jusqu'au hall quand le surveillant de la dernière fois m'arrete dans ma lancée en se mettant devant moi.
    Le surveillant : Marine, marine... Ah la la... Tu sais que tu nous a fait une belle peur?
    Moi : Désolé...
    Le surveillant, sourit : Mais bon, ta mère nous a appellé donc sa va, t'inquiète pas va ! Allez, vas faire s'que tu voulait faire avant que je ne t'arrete.
    Il s'écarte du chemin et tout de suite après, je recommance à marcher vite. J'ai un mauvais présentiment par rapport a cette journée...
    J'arrive enfin devant mon casier. Je l'ouvre et prends mes affaires des 2 premières heures de la matinée. J'avait... Technologie et Svt... Super, matinée de ouf... M'enfin, je m'apprete à fermer mon casier quand Quentin, Jordan et 2 autres garçons apparurent juste derrière moi. Grace à mes facultée féline, je les avais sentis mais je fesait comme si de rien n'étais. Je ferme mon casier, respire un bon coup, ouvre les yeux et me retourne en face d'eux. J'écarte Quentin quand celui-ci me ratrappe par le poignet et me tire vers lui.
    Quentin : Alors, tu nous a manquer et c'est comme sa que tu nous salut...
    Moi, essayant de garder mon sang froid, r<

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