SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    rozalies
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    le 21/01/2014 à 20:29

    Présentation
    Modifié le 21/10/2015

    Salut tout le monde!

    Les règles sont simples, j'ai écrit le début d'une l'histoure, et vous devez écrire une suite (sans fin) et la personne d'après doit continuer, etc...

     

    Compris?

     

     

    Je vous demmande de ne PAS écrire des suites vulgaires ou/et avec des insultes ! S'il vous plait, c'est pratiquement la seul règle a respecter.


     

    L'histoire COMMENCE en 1860. Le personnage principal est un jeune garçon de 15 ans. Il se nomme Alexandre. Il s'agit de l'ainé (et donc l'héritier d'une grande famille d'aristocrate, la famille de Preissac. Son père est le duc d'Esclignac et de Fimarcon. (je vous laisse choisir si l'histoire va être fantastique ou pas, dans quel pays se passe l'histoire, si le personnage a des frères ou/et des sœurs, etc...). Lui comme son père pensent que le monde tourne autour d'eux, qu'ils vivent dans un monde parfait. Alexandre s'ennuie très souvent puisqu'il a toujours tout ce qu'il souhaite. (sa famille est une des plus importantes du continent). Pour lui (comme pour son père) les simple gens ne font pas partit de leur monde, ils sont inférieurs et on été désignés par Dieu pour servir les nobles.

     

     

    L'HISTOIRE : 

     

    ~ 21 Janvier 1860 - Mon nom est Alexandre de Preissac. J'ai 15 ans et je fais partit d'une importante famille d'aristocrate. Mon père est un duc d'Esclignac et de Fimarcon. Je suis le fils le plus âgée de la famille, se qui veux dire que j'en suis l'héritier. J'ai décider d'écrire ce journal toue simplement pour passé le temps. Je vis dans un monde vraiment ennuyant. Je ne comprend pas toue c'est personnes qui travaille dehors, et qui font toue est n'importe quoi pour que leur vie s’améliore. Je ne vois pas a quoi ça leur sert, mon père ma toujours dit que ils ont beau essayer ils n’entrerons jamais dans notre monde parfait. 
    Je m'ennuie... Rien ne change... Toue est toujours pareil... 

    Jusqu'au jour, ou une fille faisant partie de la race inferieur se démarquait parmis toutes ces filles. Elle avait beau etre pauvre, elle avait un je ne sais quoi qui la rendait differentes. Ses cheveux bouclés, noire sur le côté et sa peau était blanche, ses levres était de couleurs peche, ses yeux était noisette. Elle rougissait facilement. Elle était au banquet de mon pere, en guise de serveuse à ce que j'ai compris en demandant a mon pere ce qu'elle faisait là.

    Je ne comprenait pas vraiment pourquoi cette fille m'avait obsédé toute la soirée. Était-elle si étrange ? Ou était-ce le fruit de mon ennuis ? Après tout qu'importe. Je l'avais observer toute la soirée, elle était maladroite mais il se dégageait d'elle une certaine grâce, chose que je ne m'expliquais pas. Les jacasseries mondaines et autres modalité des banquets m’agaçaient autant qu'à l’accoutumer et cette noiraude, étrange et pauvre soit-elle, eu au moins le mérite de me divertir lors de cette ennuyeuse soirée.

    J'ésperais de tout coeur, que la prochaine soirée n'était pas avant longtemps hélas, on m'a appris il y a peu, que la prochaine serait demain. Quel dommage....Je me demande bien si il vas y avoir un peu plus de divertissement et si cette jeune demoiselle, serat la.

    ~ 22 Janvier 1860La soirée est pour ce soir. Pendant ce temps, sans savoir pourquoi cette serveuse ne voulait pas sortir de me tête. "Ou je suis devenu fou, ou cette ignoble fille de race inférieur est une sorcière !", voila ce que je pense à chaque fois que son visage apparaît dans ma tête. Allongé sur mon sofa j’écris ces pages. Je m’ennuie encore… Il est 10h du matin, QUE 10h ! Pourtant j’ai l’impression d’être allongé une éternité ! 

    J’ai la tête qui tourne, elle me fait mal… Si ca se trouve cette fille, ou plutôt cette gamine, j’ai bien vue qu’elle était plus jeune que moi. Elle devrait avoir enivrent 13 ou 14 ans. Enfin bref ! Si ca se trouve el ma jeté un SORT !!! Ou ma infecté d’une maladie ! MOI le futur Duc ! Certes, cela n’est pas impossible ! Après toue c’est qu’une campagnarde ! Si ca se trouve, elle ne se lave même pas et elle mange des insectes pour le dîné ! Ou peut être a cause de ca jalousie envers moi (et surtout de ma immense fortune, ainsi que de mon père qui est un grand ami du roi) elle m’a empoisonné ! 
    Bon… Il faut que je me calme ! Je commence à délirer !

    Maintenant il est 17 heure, je me prepare pour cette soirée. Mais mon cas ne c'est pas arrangé...Elle m'as jeté un sort ! J'en suis certain ! Si elle est à cette soirée j'irai m'expliquer avec elle. Et si elle m'a réellement jeté un sort, elle serat pendu ou brulé vive.

    ~ Je n'arrivepasale croire.... c'était la pire soirée de ma vie ! Je n'arrive pas a le croire. Après avoir fini de me prèparer, j'ai dèscendu les éscailler de ma maison et je suis entrée accompagnée de mon père, ma mère ainsi que mon petit fèreavec sa soeur jumelle. Les autres membres de ma famille son en voyage. Notres majordome nous prèsenta (comme d'habitude) a la grande foule de nobles. On descendis tous les éscailler qui ne resster afin de semèler a la foule. De mezs yeux je chercher cette fille de bas étage. Après avoir saluer des nombreuses comptesses, je l'ai enfin appercu. Je l'ai vu faire des yeux de miel et un sourir étaincelant a des nombreux homme aux quelles elle servait des boissons. Ca ma mis en rogne ! Cette sorcière essayer de jeter un sort aux invités de mon père ! Et en plus ces hommes l'accompagné de leurs regards dés qu'elle passer a côtés d'eux ! Comment ont ils pu se laissé faire ! Et comment ose t'elle ! Je voulais criée sur toute la salle. Je voulais partir auloin. Mais par obéissence a mon père je me suis retenu. Je vivais un vrai cochmar ! Pendant toute la soirée je la ragardé. Mon coeur me fait encore mal....

    ~ Il fallais que je guerrisse, pour ça rien de tel qu'un chaman, il saurait ce que j'avais et me guerirait pour un peu d'argent.

    Il est tard, la soirée est terminée et pourtant je n'arrive pas à dormir. Cette fille m'obsède toujours autant. Je sens que le sortilège est de plus en plus puissant. J'irai voir le chaman demain à l'aube.

    Je ferma les yeux et essaya tant bien que mal a m'endormir. Le sommeille arriva petit a petit. Je m'endormis. Environ, quatre heure plus tard, je me reveilla, je ne pouvais plus attendre. Il fallais que je voie ce chaman, maintenant. Je ne pouvais plus attendre. Tant pis si je le reveillerais. Je devais savoir ce que j'avais !

    ~ 23 Janvier 1860 - Il était 1h du matin lorsque le chaman arriva. Personnellement, je n'ai jamais apprécier ce genre de personnes. Ils donnaient l'impression de venir du passé. Je lui est raconter ce qui m'arriver, et cette homme ! Aussi laide, il osa rire de moi !

    cette conversation ne m'a vraiment pas plus :
    -" Ha ! Ha ! Ha ! Ha ! Ha...
    - De quoi rigoler vous, cher monsieur ? - je lui demanda très calmement et et avec politesse, comme un noble se doit.
    - Monsieur ? Ha ! Ha ! Ha ! Ne m’appelle pas comme-ça jeune homme ! Mon nom est Jack ! appelle moi comme ça ! Ha ! Ha ! Ha ! -
    Ignoble ! Ignoble ! comment ose t'il me parler si familièrement ! Ma colère ne finissez pas, j'ai malgré tout garder mon calme. Je voudrais pas nuire a ma famille.
    - Soit monsieur Jack. Quelle est se sortilège que cette sorcière, pardon JEUNE FILLE, ma jeter ? 
    - Eh bien... Eh bien... Tu n'es vraiment qu'un gamin ! Oui GAMIN ! Cett...
    - Pardon, cela est très impolie de dire une tel chose que "gamin"...
    - C'est est encore plus impolie de couper la parole a quelqu'un ! - depuis qu'il est venu, c'est la première fois qu'il leva sa voix. Cela m'a en effet un peu surpris.
    - Je vous présente mes plus sincère excuses. En effet, mon comportement était vulgaire. Je vous pris de me pardonner. - C'est ça vieux chnoc ! c'est toi qui aurais du me présente tes excuses ! Tu ose lever la voix sur un noble ! ORDURE ! (je ne l'ai pas dis a haute voix bien sure... Mais je l'ai pensé très fort !!!
    - C'est pas si grave mon garçon ! Ha ! Ha ! Ha ! Bien je vais te dire ce qui ne vas pas. Tu es tout simplement tomber AMOUREUX de cette fille !
    - Amoureux ?!? Moi !?! Cher chaman je crains que vous ne vous trompiez ! E je vous ai demander de me soigner, mon cher. Et non pour me raconter des bêtises ! Je rajoute aussi que depuis ma naissance, je suis fiancer a Lady Belleau, héritière de a famille Belleau !
    - As tu au moins vu une fois dans ta vie celle que tu appelle t'as FIANCER ?!?! 
    - Afin de répondre clairement a votre question, non en effet je ne l'ai jamais vus. J'ai entendu dire qu'il s'agit du'une jeune fille un peu plus jeune que moi, mais d'un beauté incomparable ainsi que d'une intelligence horoptère !
    - Mon dieu ! Je te plains jeune homme ! La fierté qui est la tienne d’être un noble v'a te faire perdre un jours. Soit, si tu veux tellement guérir de cette "maladie" je vous conseille de suivre mes indication. Toue d’abord, sans que d'autres personnes a part ta famille la savent, tu dois vivre dans le village en tant que villageois pendant 7 moi, 2 semaines et 1 jours. Je ne te demande pas de travailler comme eux, mais simplement de vivre parmis eux. Rapproche toi de cette "sorcière" et fais un sort qu'elle tombe amoureuse de toi. une fois fais, tue la ! Et t'as maladie disparaîtra !
    - Ce que vous me dite me choc !
    - C'est le seule moyen jeune homme.
    - Soit j'en informerais mon père et je ferais ce que vous me dite. Mais gare a vous si vous me mentez ! - si facile ! Dans ce monde il y a aucune fille qui me resicte !
    - Bien je me retire et n'oublier pas de bien vous déguiser si vous voulez pas vous faire reconnaître et perdre votre honneur ! 

    http://last48hours.com/wp-content/uploads/2011/06/chanman.jpg

    Une fois que ce chaman partie, je m'empressa d'aller voire mon pere. Je toqua a ce chambre, celui ci m'ouvris et me regarda;

    - Pour quelle raison me faites vous une visite nocturne ? 
    - Pere ! J'ai une nouvelle très importante
    Mon pere m'invita a m'assoir dans un salon privé et je lui raconta tout , de ma rencontre avec cette sorciere, de la visite au chaman. 
    Il me regarda d'un air incredule
    - Si tu la tue, si on sait que c'est toi, l'honneur de la famille sera bafoué. 
    - Non ! On ne sauras pas que c'est moi. Je vous en supllis pere laissez moi le faire.
    - D'accord. Prepare tes baggages. Tu vas vivre comme un paysans.

    ~ 24 Janvier 1860Je parti emprunter des vêtements à notre garçon d'écurie. Il ne demanda pas pourquoi. Après tout ce n'était qu'un serviteur, je n'avais pas d'explications à lui fournir.

    Je me changeai donc et mis dans un sac quelques provisions et une bourse pleine de pièces d'or. Ce n'est pas parce que j'allai vivre comme un pauvre que je devais réellement l'être. Pour ne pas être reconnu, je me coupai les cheveux et me décoiffait. Ainsi, j'était vraiment méconnaissable!
    J'arrivai au village quelques minutes après l'aube. Bien qu'il soit tôt, il y avait beaucoup de monde sur la place car c'était jour de marché. Il fallait absolument que je trouve cette fille! La moitié du village semblait être au marché. Peut-être était elle là elle aussi. Je la cherchai donc parmi la foule qui se bousculait telle un troupeau d'animaux. Je scrutais les visages mais il y avait tellement de monde que je ne pouvais pas tous les voir. Peut être était-elle passée à côté de moi sans que je la remarque?

    http://www.routard.com/images_contenu/communaute/Photos/publi/018/pt17165.jpg

    Je scrutais les visages, sans la voire. Peut etre , elle n'y étais pas. Je m'avança vers un stand de pain, la principal nourriture des pauvres. Je sortis ma bourse, pour payer, quand un enfant miserable, d'environ cinq ans, me la pris des mains. "Halte ! " hurlais-je , je me mis à lui courire après, nous passâmes dans des ruelles plus sombres les unes que les autres, il commençait a fatiguer. J'allais récuper ma bourse quand l'enfant alla se cacher deriere une jeune femme, pas n'importe la quelle, celle que je devais retrouver, celle que je devais tuer.

    Mais avant de la tuer, elle devait tomber amoureuse de moi. Je n'avais aucune idée de la manière dont on doit faire la cour à une femme. Je restai devant elle, immobile cherchant quoi dire. Finalement c'est elle qui brisa le silence:

    -Je suis vraiment navrée qu'il ai pris votre bourse.
    J'avais complètement oublié cet enfant et ma bourse, trop occupé à penser à cette fille. Ne sachant pas quoi dire, je la regardai en silence.
    -Pour me faire pardonner, venez manger chez nous.
    -Ne vous sentez pas obligée de...
    -J'insiste!

    ~ Elle m'a conduit a un orphelina. Au début je croyer qu'elle semoquer de moi:

    - C'est ma maison, efin... Notre maison a tous. Cette orphelina m'a recueillit lorsque j'avais 10 ans. J'ai décider de rester aider. Allez y, je vous en pris entrer...
    C'étais signistre, le sol fesait du bruits, les murs tennaient a paine. Par tout il y avait une odeur de moisisure. Tout était fais en bois, mais inpossible de prèdire le siècle de ca construction, et encore moin l'anné. Toue était ancien, si pauvre, si miserable, si... Si... DEGOUTANT ! Et... a la fois pitoyable. 
    L'orphelinat recueillait 14 filles et 10 garcons, en tout 24 enfants, plus 5 soeurs de l'église et cette sorcière.
    Elle m'a fait monter des escailler, j'ai crue a chaque instant que le sol aller s'éfondre... Chaque marche ressembler a un pas en avant vers les échafaux. On est rentrée dans une pièce petite, sans lumière, ou se trouver 5 femmes, 5 soeurs... A ma vue une d'entre elles poussa un cris. Dominique... Il s'agissait de la soeur qui vennait s'occuper de moi lorsque j'étais encore enfant, mais un jours elle a démissioner. Je l'aimer beaucoup, mes parents n'avaient pas le temps de s'occuper de moi donc je passais mon temps avec elle. lorsquelle a démissioner, je me sentais trahit, abandonner ! 
    J'ai réussis a garder mon calme, et vite j'ai mis mon indexe devant ma bouche, de la facon a ce qu'elle seule le remarque:
    - Qui y a t'il ma soeur; demanda la sorcière; que vous arrive t'il ? Pourquoi crier vous ?
    - Ce n'es rien mon enfant, c'est jouste m'a surprise de te voir amener un homme dans notre orphelinat.
    - Oui, soeur Dominique a raison, qui est ce jeune homme qui t'accompagne ma chère Angel.
    "Angel" donc voila son nom, c'est marrent, un nom d'ange pour un démon...
    - Soeur Louise, je comprens votre intrigue, mais ne vous meprenner pas, notre chere Lucas a essayer de voler la bourse de monsieur, et pour me faire pardonner je l'ai inviter a dinner.
    - Je vois... Je m'entretiandrais avec Lucas afin de éclairsir ceci. Et vous monsieur, je m'excuse du comportemment de notre protèger. Je suis désoler, nous n'avans pas beaucoup de choses a vous proposer pour le repas, mais cela est mieux que rien. Je me prèsente, je m'appelle Louise, la soeur qui vien de crier c'est Dominique, celle qui se tien près de la fenêtre se nomme Christine, celle a côté de la table c'est Caroline, et enfin celle a mes cotes c'est soeur Clara. La fille qui vous a amener dans notre orphélina ce nomme Angel, et l'enfant qui vous a voler la bourse et viendra plus tard s'éxcuser c'est Lucas. Soyer le bienvenu !
    - Votre nom c'est ?
    demanda la soeur Clara.
    Je n'avais pas prèvu ceci ! Je n'aller comme même pas leurs donner mon vrai nom!
    - Eh bien... je... je... m'appelle...
    - Je vous écoute, ne soyer pas timide.
    - C'e..c'est... A... Axel. Oui c'est Axel !
    J'ignore si un tel nom éxiste mais j'ai déplacer les lettrre de mon vrai. Espèront qu'elles ne vont pas se douter de quelque chose...
    - Ah ! monsieur Axel ! Je suis ravis de vous rencontrer.

    Je l'avais echappé belle. Il fallait que je trouve un truc a dire. Mais quoi ? 

    - Vous connaitriez une auberge n'ayant pas des frais trops élevés ? demandais-je.
    - Restez dormir ce soir, proposa Angel

    Super, ça m'avance dans mon plan.

    -Je ne voudrais pas gener
    - Vous nous generais pas Axel, allez venez, insista Soeur Dominique

    Cela faisait si longtemps que j'avait pas entendu sa voix, apres manger je lui demanderais pourquoi elle est partie.

    -Si vous insistez, je resterais.

    ~ - Comment pouvez-vous dire cela ? Vous êtes partis d'un jour à l'autre et maintenant vous dites que vous pouvez rester . Ceci est absurde !

    - Tu as raison ma chère enfant... Vois-tu, cet orphelinat est celui qui ma recueillit et élevé lorsque je n'étais qu'une simple fillette et érrais seule dans les rues, sans rien à manger... À mon tour j'ai toujours voulu lui venir en aide, et lorsque la femme qui c'est occuper de moi, soeur Isabelle à quitter ce monde, j'ai décidé de déménager ici et de m'y consacrer à plein temps. Toi mon chère enfant tu es déjà asser grand et il faut que tu commences à prendre soin de toi-même, car moi-même je disparaîtrais de ce monde un jour...

    Après cela, un grand silence régna dans la pièce, jusqu'à ce qu'un gamin de 8 ans entra. La tête baisser il s'approcha de moi. C'était Lucas, l'enfant ignoble qui a osez-me voler ma bourse. Une minute passée il commença a parlé.

    - J... J... Je s...suis des...sol...er d...de vous avoir vvvolller vvvotres bourrrssse.

    L'enfant était au bord des larmes, je l'ai regardé un moment et l'image qui m'est apparu en tête c'est celui de mes 7 ans, lorsque dans le château de mon père en Espagne j'avais cassé un vase de grande valeur... Cela était difficile à admètre, mais j'avais exactement la même expression, la même hesitation dans ma phrase... À cette époque mon père ma encore plus réprimander de mon comportement du quand je suis venue m'excuser que d'avoir cassé le vase. Il m'avait dit: " cela n'est pas digne pour un noble d'hésiter dans ça phrase ! Et encore moins de se rabaisser ! Comment ose-tu regarder le sol !? Tu es un noble ! Lorsque tu parles ne baissent jamais les yeux ! Se rabaisser de l'in sorte est le devoir de ces misérables insectes qui existent afin de nous servir ! Si un jour tu dois te rabaisser c'est uniquement devant le roi en personne ! ". Je ne pouvais pas dire à cette enfant la même chose ce n'était pas un noble, et j'étais trop fatigué pour crier sur quelqu'un....

    25 janvier 1960 -   Cher journal,

    Hier soir, sœur Dominique, m'as montré ma chambre et je me suis couché et directement assoupie. Aujourd'hui, j'ai une mission des plus importante, gagner le cœur de la sorcière. Ce sera du gâteau, personne ne peut résister au grand Alexandre de Preissac. Ce matin, je suis sorti, et j'ai acheté chez le boulanger du pain. Puis j'ai été chez le fermier et j'ai acheté du lait. Tout cela en assez grande quantité pour l'orphelinat. La sorcière, succombera a ma gentillesse. Et je prétexterai que j'ai acheté tout cela pour les remercier de leurs hospitalité. Espérons juste que Dominique ne fasse pas tomber ma couverture, sinon le plan est fichu.

    - Merci beaucoup de votre hospitalité, dis-je en tendant le pain et le fromage que j'avais acheter.

    Hospitalier était un bien grand mot pour décrire cet orphelinat miteux. Je souris néanmoins pour faire croire que j'avais apprécié mon séjour. J'avais mon sac sur l'épaule, prêt à partir.
    - Vous partez déjà... se désola Angel. Vous resterez bien encore un jour ou deux...
    Ma ruse avait fonctionné! Cette sorcière était tombée sous mon charme et ne voulais que je parte. Ma mission se révélait plus facile que prévu.
    Je fis semblant d'hésiter et acceptai de rester.

     Elle me sourit. Mon coeur fit un bond. 

    Que m'arrivait-il encore ? Il fallait que ça cesse. Elle avait accentué le sort. Je n'avais plus rien en tête à part son visage entourée de ses cheveux noirs, lui donnant un aspect angélique. Je me plaisais à m'imaginer dans ses bras. A déposer un tendre baiser sur ses lèvres. Je m'imaginais, arpentant les rues avec elle. Je m'imaginais...C'en était trop...Vraiment trop ! Tout cela devait s'arrêter. Je devais au plus vite, la faire tomber sous mon charme. 
    - Alors ? 
    Ce mot me tira de mes pensés. C'était Angel, la belle...Ah non, on ne repars pas la dessus ! C'était l'abominable Angel qui avait parler. Je lui lançai un regard interogateur et elle s'empressa de répeter sa phrase
    -Ca vous dirais de m'accompagner faire le marché ? 
    J'acceptai. Après tout passer une après-midi avec cette ange envoyé par Dieu...Non, sorcière, c'est une sorcière. Il ne faut pas que j'oublie. C'est une sor-ci-ère.

    .


    PS: Je suis désolée pour les fautes d'orthographe, je suis polonaise et dislexique.

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