SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    le 11/03/2014 à 01:34

    Présentation
    Modifié le 07/07/2014

    Hey ! Je souhaite devenir auteure de fictions, mais j'ai besoin de membres ! Voici une fiction, que j'invente de moi même. Chapitre, par chapitre... ;)

     



    Chapitre 1.

    ~~Une parade ?~~

     

    Je me présente. Je me nomme Joanny et j'ai 17 ans. Je suis une brunette au yeux bruns. J'ai mes qualités et mes défauts, comme tous. Je vis au sud des États-Unis dans la ville que je dit parfaite. Ma petite vie se déroule accompagnée de ma soeur de 12 ans, Élodie,(Où comme j'aime la surnommer, Petit Chou) blonde aux yeux bruns. Elle est ma copie conforme, du moins, son caractère et sa personnalités ressemblent aux miens. Il y a aussi mes parents, et mon lapin blanc, Cuty. Mon meilleur ami, sans lequel je ne serai pas là a écrire ma vie se nomme Derek, brun aussi mais aux yeux verts, il est assez charmeur, il est ma source de réconfort, et il est aussi âgé que moi. Bientôt, se sera Noel et comme la tradition dans ma famille le veut, nous irons à la parade de Noel ce soir. Bien sûr, je compte inviter Derek. Je met mes tiroirs à l'envers pour trouver ma robe et ma tuque de Noel. Introuvable ! Je soupire et me laisse tomber sur le lit. Je sens une bosse sous moi. Je me lève...Et mais ils sont là ! Je m'habille en cinquième vitesse, ramène mes cheveux en queue de cheval et dévale les marches menant à ma chambre. Je me rends à la cuisine, voyant ma soeur.


    Moi : Hé Petit Chou, arrête de boire du 7up et va te préparer, on part dans 20 minutes !

    Élodie : Mais j'ai pas envie d'y aller, et puis y'a une fête chez ma copine Cindy...!


    Je soupire. Depuis le temps qu'elle rêve d'aller à sa première fête entre copines...Je peut pas lui enlever cette chance ! Voilà, je vais aller la reconduire puis je reviendrais pour la parade.


    Moi : Ok Élo, je t'ammène chez ta copine.

    Élo : Ouais ! Merci Joa' !!!

    Moi : Ouais ouais c'est ça.


    Je prend mes clées de voiture, une petite coccinellebleue puis une petite veste, frilleuse comme je suis, ainsi que mon téléphone portable. Je sors dehors en criant à mes parents que j'allais reconduire Élodie. Je monte dans ma voiture, suivie de Petit Chou exitée comme un clown. Je démarre. Je roule, tranquillement et me retrouve sur une route inconnue. Il commence aussi à faire noir. Je sais pas ou je suis, je tremble un peu. Je continue tout de même de rouler.


    Élodie : Euh, Joa' t'es sûre d'être sur le bon chemin ?

    Moi : Oh, oui oui t'inquiètes pas.


    _________________________________________________________________________________________________

    Chapitre 2

    ~~Une nuit à la belle étoile~~



    Le chemin que j'empruntais m'avait l'air louche. Des arbres morts un peu partout, bref, une forêt lugubre. Je décide de m'arrêter sur le bord de la route, étant en panne d'escence. J'étais fachée, ce n'était pas du tout le moment !


    Moi : Élodie, je sais pas ou on est et ma bagnole n'a plus d'escence.

    Élodie : T'es sérieuse là ?!

    Moi : Et mon téléphone n'a plus de batterie..


    Ce qui m'enrageait. De 1, être prise la nuit sur le bord d'un chemin pas sûr, sans escence et téléphone qui marche. De 2, rater la parade.


    Élodie : On peut rentrer à pied ? Ou y'a une maison pas loin ?

    Moi : *Je regarde un peu partout* Non, on est perdues. On devra dormir à la belle étoile, dans cette forêt.

    Élodie : Beurk ! Pas question !

    Moi : Ok, alors tu dormiras dans la voiture et moi dehors, sa te va ça ?

    Élodie : Oui ! Bon moi je vais me coucher pour que le temps passe plus vite, bonne nuit.


    Sur ce, je parti, barrai la porte de voiture, juste au cas ou... J'étais terrifiée à l'idée de passer une nuit dans la nature, une première pour moi ! J'entendis un bruit, une branche qui craque. Je me retourne furtivement et voit un écureuil. Mauvaise idée les nuits dehors. Rendue à la lisière de la forêt, je m'allongeais sur l'herbre froide. Mais je n'ai bizzarement pas eu froid, contrairement à mes habitudes...


    ~~~~~~~PDV ÉLODIE~~~~~~~~


    La voiture était confortable, assez pour y passer la nuit. Je jette un coup d'oeil à ma soeur, ne la voyant pas. <> C'est ma première excuse pour ne pas avoir peur. Je m'allonge sur la banquette arrière, et ferme les yeux. J'entends quelqu'un cogner a la vitre me séparant de dehors. Je me redresse rapidement et je vois Derek.


    ~~~~~~~~PDV JOANNY~~~~~~~~


    J'entends mon nom. Je me lève et voit ma soeur, à l'extérieur de la voiture avec Derek...DEREK !!! Je ne pouvais pas y croire ! Avec son chandail vert fluo, facile de le reconnaître ! Je cours, me rends jusqu'à eux. Je saute dans les bras de Derek.


    Moi : Comment tu nous a trouvées ?!!!

    Derek : Tes parents m'on dit que tu n'étais pas rentrer, je suis parti vous chercher...!

    Moi : Waa merciii !!

    Élodie : Je vais pisser dans les bois, je reviens.


    Pendant que ma soeur était dans les bois, moi je restait dans les bras, assez musclés de Derek. Il marmonna quelque chose que je ne compris pas et je levai la tête. Il m'embrassa. Je rougit, répondant à son baiser.


    Moi : D-Derek...Je...

    Derek : J'ai eu peur, c'est tout.

    Moi : Mais Derek...On est amis depuis la petite école, on peut pas....


    Je dois avouer que je l'aimais bien. Mais je n'ai pas envie de gâcher notre amitiée.

    Je me défait de son étreinte, mais j'étais vraiment bien. Je me suis tournée vers ma soeur qui venait d'apparaître, sortant des bois, pour éviter de revenir à moi et Derek. Je me tourne vers lui.







    Chapitre 3

    ~~Ma vie en débouli~~


    Moi : Bon, alors on y va ?


    Derek ne m'a pas répondu. Il a seulement ouvert la portière avec un regard un peu froid. J'entre dans sa voiture, assez chaude. Je lui jette un regard, et je me sens un peu triste pour lui. Élodie entre et s'assoit sur la banquette arrière, tandis que moi je suis du coté passager. Derek entre et s'assoit, met le contact et démarre.


    Élodie : Bah pourquoi vous parlez pas ?

    Moi : Écoute Élodie, tais toi.


    Et elle me jetta un de ces regard ! Elle tournai la tête vers la fenêtre et regardait dehors. La peur m'envahit. Peur de perdre mon meilleur ami, peur de "perdre" ma soeur, si on veut. Rendue devant notre maison, Élodie sorta très rapidement dans la voiture, nous laissant moi et Derek dans la voiture, dans une ambiance de malaise. Je me mordais la lèvre depuis que nous étions rentrés dans la voiture Derek. Il prit la parole en premier.


    Derek : Écoute Joanny, je ne voulais pas créer de malaise entre nous. J'avais besoin de t'avouer mes sentiments envers toi. Je détiens ce sentiment pour toi depuis beaucoup trop longtemps... Et je vois que ce n'est pas réciproque.


    Il me regardait, avec cet air de mépris. Je ne pouvais pas rester là, sans réponse. Je stressait.


    Moi : Si...Si ça l'est.


    Derek me regarda, avec un léger sourire se dessinant sur ses lèvres. Je l'embrassai, et il me répondais sans aucun doutes. Ce moment était parfait, j'aurais voulus rester là, avec lui et ne penser à rien d'autre. Mais je devais filer. Je m'arrêtai doucement pour ne pas le brusquer.


    Moi : Je...Je dois rentrer.

    Derek : D'accord. Appelle moi demain, s'il te plaît.

    Moi : Oui. Je t'aime.

    Derek : Moi aussi ^^


    Je sortai de la voiture, et me retrouvais sous la neige. Je jettai un dernier regard à Derek, puis me rendis au seuil de la maison. Ma soeur y était encore. Derek quittait l'entrée de ma maison, et Élodie me regardait avec un sourire narquois.


    Élodie : C'est rendu ton copain !!

    Moi : Ouais ouais c'est ça, aller rentre, il fait froid


    Elle se mis à rire. Elle entra, et sous le regard de papa et maman elle stoppa net son rire. Je m'arrêtai aussi de sourire, les regardant. Ils n'avaient vraiment pas l'air contents. Et comme d'habitude, maman se mit à pleurer et papa à nous engueuler. Je pris la main d'Élodie et l'emmena en haut, dans notre chambre. Elle avait quelques larmes au bord des yeux. Je la pris dans mes bras, essayant de la réconforter. On resta entrelacées ainsi durant plusieurs minutes, et on finit par s'endormir en même temps.


    Le lendemain, je me réveillais plus tôt qu'elle. Je me levai sans faire de bruit. Il était 5h30 du matin. Je savais que Derek étais aussi réveillé à cet heure. Je vais l'appeler. Je pris mon portable, et entrait son numéro. Le son du sonnement résonna plusieurs fois à mes oreilles avant qu'il ne décroche. Et il a fini par décrocher.


    Derek : Salut Joa' ! Bien dormie ?

    Moi : Salut...Oui, j'ai très bien dormie, et toi ?

    Derek : Pas si mal. une engueulade entre mes parents, mais c'est tout.

    Moi : Tu fais quoi aujourd'hui ? J'ai l'impression que j'ai besoin de sortir.

    Derek : Je ne suis pas occupé aujourd'hui. Un film, sa te dit ?

    Moi : Je suis pas fanne de film... Et si on ...

    Derek : Non. J'ai une surprise pour toi. Arrive chez moi vers 9h00...

    Moi : D'accord.. À plus ! Bisous

    Derek : Bisous.


    Sur ce, je raccrochai. Je me recouchai dans mon lit jusuqu'a que 7h30 sonne. Et là je me levai. Je me coiffai, et m'habillai vite fait. Et là, j'entend une drôle de respiration venant de ma soeur... Sa crise d'asthme ! Je pris rapidement sa pompe, cachée dans la pharmacie de notre salle de bain. Je me rendis en courant dans sa chambre, tombant. Je me relevai et arriva à ses cotés, et lui mit la pompe dans la bouche. Elle le pris toute seule. Je lui carressais le dos, et elle se remis à respirer normalement.


    Élodie : Merci. Pourquoi t'es habillée comme ça, si tôt ?

    Moi : J'ai un rendez-vous..

    Élodie : AVEC DEREK !?

    Moi : Baisse le ton ! Oui...

    _____________________________________________________________


    Chapitre 4

    Une merveilleuse rencontre..



    J'attendis que 8h30 passe et sorti dehors, rapidement. Je n'étais pas pressée, j'avais au contraire tout mon temps. Je montai dans ma voiture. Ah, oui, c'est vrai. Toujours en panne. Je ressortie, gelée par le siège et l'ambiance de mon auto. Je parti a pieds chez Derek. En chemin, je ne vis personne, les rues complètement désertes. Ça me foutait la trouille, surtout qu'il faisait encore un peu sombre ! Devant la maison de Derek, il y avait sa voiture et une autre voiture, qui me semblait familière...Intriguée, je montai les marches, et j'arrivai au seuil de la porte. Je n'eu même pas le temps de cogner, que Derek m'ouvrit la porte, un large sourire aux lèvres.


    Derek : Salut Joa' ! Allez, entre.


    J'entrai chez lui. Ce n'était pas la première fois, mais j'avais l'impression que quelque chose avait changé. Sûrement que c'est l'odeur de la cigarette, car sa mère fume, et je crois qu'elle a arrêtée. Je regardai autour et senti une présence dans le salon. Un sourire se dessina dans ma figure, pendant que j'enlevai mes bottes et mon manteau. Je rangeai mon manteau sur un support et j'entrai. Et j'y vis Anaelle, ma meilleure amie que je n'avais pas vu depuis plus de 10 ans.


    Moi : ANAELLE !!!

    Anaelle : Joanny !!!


    Je lui fonçai dessus, la faisant presque tomber en riant et elle fit de même. Derek me regarda, et il avait l'air satisfait de son coup. Anaelle devait bientot partir vivre en Algérie, avec son père et elle tenait à me dire aurevoir. Je ne pû la laisser sans lui faire ma super-étrainte, qui a durée au moins 5 minutes. Lorsqu'elle fut partie, Derek vint s'assoir à coté de moi.


    Lui : Tu vas t'ennuyer d'elle ?

    Moi : Mais oui bien sûr !

    Lui : Je me demande...

    Moi : Quoi ?!

    Lui : Ta soeur, elle le sait ?

    Moi : Ouais..


    Il rit brièvement et m'embrassa. Ce fût un baiser doux et chaud que j'ai énormément apprécié. Je lui ai répondu à son baiser ton en mettant ma main sur sa joue, et il fit de même. On termina par un bisou Eskimo, et une idée me passa par la tête.


    Moi : Et si...On allait faire les boutiques ?

    Lui : C'est pas moi qui traîne les sacs!

    Moi : *en riant* Mais non, je ne suis pas si flemmarde, tu dois apprendre à me connaître !


    Sur ce, on s'en alla main dans la main jusqu'au supermarché. On faisait le tour rapide des magasins, mais rien d'intéressant nous importunait. On repartit, mais on s'avait au moins bien amusé à regarder les gens se prendre en photo ! De vrais enfants, quoi ! Et quand j'y pense, demain on a cours. Heureusement, Derek est dans la même classe que moi. Ça va faire changement de ne plus être amis, mais on restera proches l'un de l'autre. Rendu chez lui, on s'embrassa durant de longue minutes. Il était rendu tard.. Quand je sortai, il y avait une "surprise" a l'air mécontant de me voir là. Mon coeur fit trois tour dans ma poitrine quand j'ai aperçu une voiture de police, avec mon père qui m'attendaient. Mon père parlait à la police.


    Moi : Papa ?! Qu'est qu'y a ? QU'est qui se passe ?

    Lui : Il se passe qu'on t'a cherché toute la matinée et tout l'après-midi !

    Moi : Mais j'était juste ici..

    Lui : Et t'avais pas prévenu ton absence ! Aller hop à la maison, et privé d'objets électroniques et de sortire pendant au moins 2 semaines !


    Je soupirai. Je ne pourrai pas voir Derek hors des heures de cours, ni lui texter. La colère en moi s'est presque déclanchée, mais j'ai décidé de rester calme. Inutile de présicer à quel point je me sentais mal, et en colère envers mon père ! Je rentrai à la maison et alla direct au lit, ordre de maman. Si ils voulaient que je joue la rebelle, c'est ce que j'allais faire...


    ______________________________________________________________


    chapitre 5

    Moi, en rebelle...


    Il y a à peine quelques jours, on m'a privée de tout. Cela fait désormais 2 semaines que je pourri dans ma chambre, façon de parler. Je ne sort même pas pour aller manger, je sort seulement pour aller me doucher ou aller aux toilettes. Quand je me levai, un papier effleura ma main, et me coupa un peu. Je stoppai mon mouvement et pris le papier. Qu'un simple brouillon de dessin. Je le jette. Je n'en pouvais plus de rester enfermée ! Je jetai un coup d'oeil du haut de ma chambre, par la fenêtre et frisson parcouru ma colonne. Si je voulais sortir, je devais passer par là.


    Je file jusque dans la salle de lavage, ou je prend des vêtements pour environ 4 jours. Ma soeur qui passait par la me regardait drôlement, et je m'arrêtai net, stressée puis alertée par la suite.


    Élo : Joanny, qu'est que tu fais, dit moi ?

    Moi : Élodie remonte en haut s'il te plaît ce ne sont pas de tes affaires.

    Élo : Tu vas fuguer ?!

    Moi : Mais non, patate !


    Je fis un semblant de rire pour lui prouver que tout allait bien et que je ne quitterai pas cette maison. Je détestait lui mentir, surtout dans de pareilles circonstances. Lorsqu'elle fini par remonter, elle avait toujours un expression froid face à mes actes. Je remontai à toute vitesse avec ma pile de linge -qui était lourde- dans ma chambre. Je trouvai un sac qui me permetteras d'y ranger la totalitée de mes affaires. Et j'entendis cogner à ma porte de chambre. Prise de panique, je rangeai mon sac dans ma garde-robe en 4ème vitesse et alla ouvrir la porte. Devinez donc qui était là ? Maman...


    Maman : Joanny...Je sais que la punition que l'on t'a infligée est longue et très lente mais ce n'est pas une raison de t'enfermer et de nous faire croire que tu n'exsiste pas, ma chérie..


    Je me sentai un peu honteuse, et la fois triste. Je me mordais discrètement la lèvre inférieure, pour qu'elle puisse comprendre que ce n'était pas le moment de parler. Elle soupira puis reparti en bas, me jettant un dernier regard sans émotion. Et ça a fait mal. Ça m'a pincé le coeur. Je ressorti mon sac, et m'arrêtai entendant un bruit de fond, venant du rez-de-chaussé. Ma mère pleurais. Puis je sortit en douce, et fila dans la chambre de mes parents, dans le but de trouver mon portable, qui me manquait, et je voulais tellement voir le nombres de messages que j'avais loupée ! En entandant quelqu'un monter les escaliers, je me stoppa. Ce devait probablement être ma soeur, qui s'en allait se doucher. Et j'avais raison. Je recommença ma fouille, et découvrit mon portable dans le tiroir de........... de sous-vêtements de ma mère ! Elle était sérieuse là ?


    Ayant enfin terminée mes valises, en ayant pris soin de rajouter de la nourriture au cas-ou et ayant répondu à tout mes messages -j'en avait manqués 25- je m'asseyais sur le rebord de ma fenêtre pour visualiser ma descente. Je vis Derek sur le seuil de ma porte, cogner. Bien sûr, c'est mon père qui ouvra et refusa de lui donner la permission d'entrer. C'en était trop ! J'ouvris ma fenêtre, et Derek étais sur le point de partir ..


    Moi : D-Derek ! Attends moi, j'arrive !

    Lui : Mais.. Joanny ? Que fais-tu ?

    Moi : Attrape mon sac que je vais te lancer, puis je sauterai en bas.

    Lui : Mais t'es malade ! Tu vas te blesser !!!

    Moi : Derek, fais moit confiance pour une fois, s'il te plaît. Et ne me prends pas pour un délinquante.

    Lui : D'accord...Mais si tu te blesses c'est moi qui prend l'entière responsaabilitée !


    Je lui fis un léger sourire et lança mon sac, qu'il attrapait de justesse. Je m'apprêtai à descendre.



    ~~PDV DEREK~~


    Mais qu'est qui lui prenait ?! S'enfuir de chez elle n'était pas son genre pourtant ! Je la vis qui s'apprêtais à sauter. J'étais stressé pour elle.. Elle s'élança mais... Quelque chose la retint.. Heureusement, je ne souhaitait pas qu'elle se blaisse ! Je levai la tête pour m'apercevoir que sa soeur ne la laisserais pas partir...Merde...



    ~~PDV JOANNY~~


    Je me retournai vivement en apercevant ma soeur qui me retenait. Mes joues devinrent rouges de colère, sentiment que je n'avait presque jamais éprouvé.


    Élodie : Joanny !! Tu fugues !

    Moi : C'est pour une bonne cause ! Lâche moi je n'ai pas envie de te blesser !

    Élodie : Je vais pas te laisser partir...Sinon je me ferai engueuler, puis interroger par la police !


    Et c'est maintenant que je regrettai d'avoir une soeur. Sans réfléchir, devant elle, je me levai et j'était imposante, dominante. Je la frappa et elle tomba au sol en un seul coup, en gémissant.

    ______________________________________________________________

    Chapitre 6

    -La vie d'une fugueuse.-


    Je ne suis plus chez moi, maintenant. Je repense au moment ou ma soeur est tombée au sol, ayant reçu un coup venant de ma part. Derek est parti, ne sachant plus quoi faire.


    Moi, je suis restée là à regarder ma soeur, ayant pris un petit moment pour la regarder et me sentir mal. Très mal. Je l'ai aidée à se relever et elle m'a foudroyée du regard. C'est là que je compris que je venais de perdre ma soeur, elle ne m'aimerais plus, du moins ne va pas se réconcilier avec moi avant un bon délai de temps.


    En ce moment même je me demande sans cesse, dans le métro ou je suis, ce que sera ma vie à mon retour. Et comment mes parents se sentent en ce moment même. Cette pensée me mis mal à l'aise, je frissonna. D'un bond, je me levai, sachant que mes parents de tarderaient pas a envoyer la police me trouver. En marchant, un adolescent d'environ 18-19 ans me stoppa :


    Lui : Hé..! Mais que fait une si jolie fille ici à une telle heure..?


    Moi : Euh....., je me demandais ce qu'il me voulait.


    Lui : Viens, suis moi, je t'en prie !, dit-il avec un ton assez bizarre. Je ne souhaitait pas le vexer mais je ne le conaissais pas.


    Moi : Euh, non désolée, ai-je essayé de dire poliment.


    Lui : Tu viens..., son ton commençais à être un peu plus sévère.


    Moi : Je suis désolée, mais..., je n'eu pas le temps de terminer ma phrase qu'il me prit violemment par le poignet .


    Lui : Oui, tu viens !


    Moi : Arrêtes !, mais il me trainait déjà, me tenant très fort. Il sortit du métro et alla dans une ruelle reculée et sombre.


    Lui : Maintenant tu ne vas pas te plaindre, et tu vas rester silencieuse.., il me regardait et me plaquait contre le mur.


    Moi : Ça suffit...!, et il m'embrassa pour me faire taire, je suppose. Je me débattai de toutes mes forces, luttait contre lui, sachant ce qui allait se passer et sur qui j'était tombé ; Un pervers.



    La suite fut absolument désagréable. J'ai cru qu'il allait me violer, mais au lieu de ça il m'a seulement regarder très longtemps à des endroits..



    Police : Hé, vous là !, il braqua une arme. Un frisson me parcouru, et le pervers me lâcha immédiatement.


    Lui : Euh, je .... Je fais rien.., pris de panique, il leva les mains et s'éloigna de moi.


    Police 2 : Mais oui., il s'avança vers lui et lui passa les menottes, pendant que je m'en allait en 5eme vitesse, prise de honte. Et parmis le groupe de policiers et policières, quelques un me reconnurent comme étant recherchée et s'avancèrent vers moi.



    Je n'avais plus mes affaires, je les avait oubliées là bas. Je ne pouvais pas retourner chez moi, pour de rien au monde ! La seule pensée présente dans ma tête était : <<Cours.>> Je suivi mes pensées et partie en sprint, suivie de 4-5 policiers. Je courus pendant plusieurs minutes jusqu'à ce que les policiers perdent ma trace, je ne savait plus ou j'était, j'avais faim et j'avais froid. J'était perdue.



    ____________________________________________________________


    Chapitre 7

    ~~Un refuge pour ados ?~~

     

    Après quelques minutes de marche, -qui pour moi, semblaient être des heures- je mis fin à mon trajet en parvenant devant un boisé. Longue hésitation, je ne savais pas si je pouvais entrer. Peut-être qu'il y aurait un pommier, qui sait. Je meurs de faim ! Je montai la petite colline qui menait en à l'entrée du boisé, et j'y entrai. Il n'y avait presque pas de soleil, ce qui n'avançait pas à ma situtation. Morte de fatigue, je m'installa sous un arbre aux feuilles oranges flamboyantes. La tête accotée contre le tronc de ce dernier, je regardai défiler les rayons de soleil qui tentaient de passer à travers le peu d'espace que les feuilles lui laissait. Après que les oiseaux aient fini de chanter, ce fut le silence.. jusqu'à ce que j'entende des voix. Je tournai la tête et vit un groupe avancer vers moi.



    Fille : Hé ! Toi !

    Moi : M-Moi ? J'étais un peu surprise.

    Fille : Bien sûr, qui d'autre !, et elle se mis à rire.

    Moi : Bah quoi ?



    Elle se rapprocha de moi, suivie d'un groupe d'environ 6 gars, et le même nombre de filles. Je me levai.



    Fille : Qu'est que tu fais ici ?

    Moi : J'ai.. fugué.

    Fille : Comme nous tous.., dit-elle, un sourire étampé aux lèvres.

    Moi : Et alors ? Je suis supposée faire quoi là dedans ?

    Fille : Moi je suis Emy. On est tous fugueurs et fugueuses, on a une genre de camp à nous seuls. On se demandais si tu voudrais nous accompagner.



    Je restai figée pendant un moment. Je n'eu pas le temps de penser ce que tout cela voulait impliquer, mais j'ai tout de suite accepté. J'étais consciente que je devais aller prendre mes affaires chez moi. J'ai pensé à Derek.


    Moi : Emy, je peut emprunter ton portable ?

    Emy : Bien sur !


    Elle me l'a tout de suite donné. Après un moment de réflexion, j'ai composé le numéro de portable

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