SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
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    joulgoul
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    le 29/08/2014 à 23:03

    Présentation
    Modifié le 18/06/2015

    Bonjour, ou bonsoir, voici la suite de mon premier club "Club de textes et petits phrases ~", qui ne voulait plus afficher tous mes textes.. Je vais essayer de faire une présentation à peu près correcte maintenant..

     

    ~ Ne faites jamais le serment de ne jamais mentir. Le faire, c'est déjà le briser. ~

    ~Parce que ça va faire un an. Parce que ce jour-là, je vais tourner en rond, me remémorer, replonger dans le passé. Parce que dès maintenant j'y repense déjà. J'y repense, et ça commence à me consummer, déjà, encore, alors que je sais que ça va être pire. Un an, ça passe vite, finalement. Mais les cicatrices restent, et lancinent encore... Encore et toujours, voire peut-être bien plus fort... Parce que je savais que ça allait faire mal longtemps, que je n'allais jamais oublier ça. Mais p*tain, je ne pensais pas que ce serait si fort.. ça a pas l'air. Evidemment, ça n'a jamais l'air. Mais b*rdel... Je n'aurai jamais pensé. Et quand j'imagine, quand j'imagine que tu aurais pu ne plus être là... Quand j'y pense, je pleure. Je sais que ça ne s'est pas passé. Au contraire, tu as repris, tu es sur pieds, tu as repris ton boulot, ton boulot dans lequel je ne me lasserai jamais de te voir, c'est ta passion, ça se voit... Tu t'es largement rétabli. Plus que tant d'autres. Mais je n'arriverai jamais à me rentrer ça dans la caboche. Maintenant que je sais que tout, surtout le pire, est possible, comment est-ce que je suis censée faire ? Comment je suis censée supporter ça ? A chaque coup de fil, je repense à ce jour-là. A chaque coup de fil, je m'adosse contre un mur, essaie de me calmer, et écoute aux portes. A chaque fois qu'on sonne à la porte, pareil, bien que je sache que ça ne risque pas d'être pareil. A chaque fois que mes parents chuchotent... Une torture. P*tain, je sais que je suis devenue parano à cause de ça, mais qu'est-ce que j'y peux ?! Qu'est-ce que j'y peux, si ma vie a tourné au cauchemar... Mes rêves, mes espoirs. Tout a disparu, tout. C'était il y a un an... ♥ ~

    ~ L'essentiel, c'est que rien n'est important. ~ Syrano -               (Je dois retrouver la chanson désolée)

    ~ Je ne sais pas exactement si tu te crois drôle. Je ne sais pas exactement si tu veux faire ton intéressant. Je ne sais absolument pas pourquoi tu fais ça. Mais en tout cas, rira bien qui rira le dernier. Je n'ai pas l'intention de me faire piétiner par un immature tel que toi. Toutes ces personnes, qui veulent se faire remarquer, comme toi, au final, qu'est-ce qu'elles cherchent ? Un peu d'attention ? Permets-moi de te dire que ce n'est pas la bonne solution. Largement pas. Change de technique, ou la seule chose que tu réussiras à obtenir sera de te faire haïr. ~ #H

    ~ Je ne veux pas que vous vous en fassiez pour moi. Je ne veux pas que vous vous inquiètez. Occupez-vous de vous. Laissez-moi vous aider. Progressez sur la lente route du bonheur. Ainsi, peut-être que je réussirai à vous suivre. Je ne veux pas vous inquiéter. Je ne veux pas que vous pensiez à quelque chose de moins important que vous même. J'y pense déjà bien assez souvent. De toute façon, certains problèmes ne se resolvent pas comme ça. Certains, pour les comprendre, il faut être dans la peau de la personne concernée. Et ce serait un cauchemar, croyez-moi. Toutes ces choses enfermées, si elles venaient à être démasquées, toutes, je ne m'en rememettrais peut-être pas. C'est vrai que dedans, il y a beaucoup de poids lourds, dont je voudrais bien me débarasser. Un jour, ça arrivera peut-être. Mais en attendant... Ne cherchez pas à m'aider. Pensez simplement à vous. Et soyez heureux.. Essayez de l'être en tout cas ♥ ~

    ~ Je pense que tu peux te féliciter. Grâce à toi ma seule envie est de déserter les cours. Merci. Je ne sais pas quel est ton but, mais je finirai par le connaitre. Et ce jour là, ne t'attends pas à ce que je reste passive. Tu sais, je suis pas un jouet, je suis humaine, moi aussi. Alors stop. Tu finiras bien par arrêter de rire un jour. ~ #H

    ~ Pourquoi est-ce que j'ai une p*tain de boule au ventre ? Et pourquoi j'ai cette p*tain d'envie de chialer, coincée dans ma gorge et qui me fait mal, depuis quelque temps ? Pourquoi ? Pourquoi j'ai mal, pourquoi mes larmes se cachent, pourquoi j'ai envie de hurler, de me mettre à courir comme une folle tout à coup, pourquoi j'ai envie de m'enfuir ? Peut-être parce que je n'en peux plus de cette prison qui me renferme tous les jours.. Peut-être parce que j'ai tous les jours l'impression de moi-même m'enfermer à double tour dans une prison dont je ne sortirais que dans longtemps. Peut-être parce que j'ai l'impression d'avoir perdu ma vie depuis peu, parce que j'ai cette impression d'être redevenue un zombi. P*tain ça fait mal, et je sais pas pourquoi. Mais b*rdel, c'est pas la première fois e plus. Alors m*rde, pourquoi ça ne veut pas passer ? Pourquoi je peux pas m'y habituer, ne serait-ce qu'un minimum ? Non, je le sais bien, je n'en aurai jamais l'habitude... L'habitude de souffrir, on ne peut pas l'avoir. On ne devrait pas avoir l'occasion de la connaitre. Et pourtant.. Pourtant.. Je me sens affreuse à me plaindre comme ça. A dire que j'ai mal, alors que beaucoup d'autres souffrent pls que moi. Alors que d'autres en ont déjà fini avec leur douleur qui les consummait parce qu'ils n'en pouvaient plus. Vraiment plus. Moi non plus je n'en peux plus. Et j'ai perdu mes rêves depuis longtemps, maintenant. Je suis vide. Simplement vide. Pourtant, je continue de me battre. Inlassablement, je me bats, pour sourire, pour rire, pour paraitre normale. Parce que je ne veux pas voir les autres souffrir. Encore moins à ma place. Je ne veux pas que quelqu'un s'inquiète pour moi. C'est comme ça. ~

    ~ Parfois, il suffit de gagner de la volonté pour se battre, se battre contre ce poison qui ronge si facilement : le blues. Cette volonté est difficile à acquérir, mais c'est comme ça. Elle est nécessaire. ~

    ~ Elle était une fille qui vivait dans le passé. Il n'y avait pas un jour où Elle ne repensait pas à un évènement passé, un souvenir gravé dans sa mémoire. Elle aimait tout comprendre, c'est d'ailleurs pour cette raison que lorsqu'elle se souvenait de ses rêves, le matin, en se réveillant, Elle cherchait à les comprendre. Cependant, Elle avait la facheuse habitude dans ses rêves, de confondre anciens rêves et faits réels. Ce qui rendait la tâche plus dure. Elle était une fille sympatique. Parfois, en tout cas. Tant qu'Elle était avec ses amis, Elle souriait toujours. Une fois seule, les gens la touvaient taciturne. Elle s'en fichait. Tout ce qu'Elle voulait, c'était que ses amis ne la trouve pas étrange dans ses humeurs, qu'ils ne s'inquiètent pas pour Elle. Parfois, Elle se rendait compte qu'Elle était un peu égoïste à ce propos. Elle refusait de montrer ses sentiments à ses amis, alors qu'Elle voulait toujours qu'ils lui parlent de leurs problèmes. Mais en leur cachant tout, ça ne pouvait qu'agrandir l'inquiètude de ses proches, parfois. Elle détestait les disputes. Mais quand on insultait un de ses amis, un de ses proches, si on blessait quelqu'un qu'Elle aimait, Elle devenait tout autre que la petite fille innofensive qui reste toujours dans son coin et qui ne bronche pas. Elle pouvait paraître très calme, et pourtant bouillonner de rage en Elle. C'était comme ça. Jamais Elle ne montrait sa vraie facette. A personne. Mais que voulez-vous. Elle était comme ça. Et on n'allait jamais la changer. ~

     ~ Elle, c'était une fille qui n'en pouvait plus d'entendre la phrase "Bon courage". Ces deux mots, oui. Vous vous demandez pourquoi ? Ces deux mots paraissent bien dérisoires n'est-ce pas ? Mais et si vous les employez dans le vrai sens ? C'est-à-dire sincérement, réellement, pas en rigolant ? Elle, Elle l'avait déjà entendue plein de fois. Mais seulement deux fois réelles. Et c'était déjà beaucoup. Car Elle, la première fois, c'était de la part de sa soeur. Sa soeur qui lui souhaitait "Bon courage.." à la place de lui dire "Bonne nuit.." pour rester avec leur frère, qui avait un peu trop bu sans doute. Est-ce une situation qui devrait exister ? Non, Elle n'était pas d'accord avec ça. Mais tant pis. Elle laissait faire. Alors Elle cacha ses larmes qui lui montèrent aux yeux ce soir là. Et monta se coucher. "Bon courage..". Elle détestait ces deux mots. Car Elle, la deuxième fois, c'était de la part d'un de ses professeurs. Il lui parlait de son camarade de classe assis à côté d'Elle, qui s'amusait à l'embêter. Mais Elle, avait de plus en plus de mal à le supporter. Surtout quand Elle ne savait pas si il parlait sérieusement ou en rigolant parfois. Mais Elle, ces mots du professseur, l'avaient anéantie. Parce que ces mots, Elle pensait que jamais un professeur ne pourrait les prononcer. Comme pour sa soeur. ça ne se dit pas. C'est tout. On trouve une solution, on fait quelque chose. Mais on ne dit pas ça à Elle. Elle souffrit ensuite de ces deux phrases, répétées par des personnes qu'Elle appréciait. D'autant plus sa soeur, car leur frère était aussi concerné. Mais aussi son professeur car son camarade ne la laissait pas tranquille. Seulement, par souci des autres, Elle refusa de se confier. Comme à son habitude. Alors Elle se renferma. Comme à son habitude. Et elle s'autodétruisit. Comme à son habitude..

    "Bon courage.." lui dirent les autres.. ~

    ~ Elle n'avait pas l'habitude d'être violente. Ni même d'avoir des pensées violentes, ou des pensées comme celles qu'Elle venait d'avoir : "J'espère qu'il s'en voudra. J'espère que si je lui dit quelque chose ça le vexera, le blessera." Elle voulait, pour une raison indefinie, pour un sentiment indescriptible, qu'il paie pour les moqueries et toutes les phrases qu'il avait dit à Elle. Elle lui en voulait. Terriblement. Elle y pensait tous les jours. Sans savoir pourquoi. Elle aurait voulu l'oublier. Elle aurait voulu ne plus avoir à se demander chaque jour si il allait être présent en cours et embêter encore une fois Elle. Elle aurait voulu arrêter de dire inlassablement "J'espère qu'il est pas là.." et avoir la même déception chaque jour de le voir arriver juste avant la sonnerie, juste avant qu'il soit loin d'Elle, avec ses mots, avec ses gestes, ses mimiques, ses habitudes. Elle redoutait principalement les matières durant lesquelles il n'était pas loin d'Elle. Mais Elle n'y pouvait rien. C'était comme ça. C'était tout. Les professeurs ne changeront pas d'avis, et leurs places non plus. Elle ne changerait pas vis-à-vis de lui, et lui ne changerait pas vis-à-vis de son comportement. C'était ainsi. Pour le restant de l'année dorénavant. C'était ainsi. Qui vivra verra. Et l'avenir lui dira. ~

    ~ Elle ne voulait plus être aimée. Et ne voulait plus aimer. Car quand Elle voyait les désastres que ce sentiment provoquait, Elle ne voulait plus en voir les victimes. Elle disait que l'amour était dévastateur, et que si c'était ça, ce n'était pas la peine de se faire souffrir inutilement. "On peut vivre seul", prétendait-Elle. C'était faux, évidemment. Elle s'en était rendu compte. Mais Elle avait refusé de l'admettre. "Si ce sentiment n'existait pas, il y aurait moins de larmes qui couleraient toutes les nuits", voulait-elle croire. Elle savait que c'était faux. Mais ne voulait pas l'accepter. "Moi, je peux vivre seule." C'est cette idée en tête qu'Elle a décidée de bannir l'amour de son esprit. Elle refusait d'y penser. Elle en avait déjà trop souffert, et surtout vu beaucoup trop de ses proches en pleurer. Elle ne voulait plus voir leurs larmes. Elle se disait qu'elle était lâche. Mais Elle s'en fichait. Car ce qu'elle voulait, c'était que ses proches soient heureux. Simplement. Mais Elle ne savait pas comment faire. Elle ne savait plus. Les personnes, en grandissant, devenaient difficiles. Trop, trouvait-elle. "C'est ça, la vie" soufflait une petite voix dans sa tête. Elle voulait faire taire cette voix, qui ne la laissait pas tranquille. "Si c'est ça, la vie, à quoi ça sert ? Si c'est juste fait pour souffrir ?" Elle posa la question, un jour, à quelqu'un. Qui lui répondit smplement que, dans la vie, même si il y a des passages durs, ils permettent de se forger, d'en ressortir plus forts, et de mieux profiter ensuite des instants de bonheur. Elle avait du mal à le croire. Mais elle fit semblant, comme d'habitude. Alors elle retourna s'enfermer dans son esprit. Seule. A l'abri des regards. En essayant d'être à l'abri des questions, toujours les mêmes : "Comment ça va ?" Elle ne les supportait plus. Alors elle les ignorait. N'y répondait pas, et contournait la question. Elle s'enfermait, petit à petit, et se coupa du moindre sentiment. Elle ne conserva que la solitude dans son esprit. Et une immense envie de liberté. ~

    ~ Elle voulait être libre. Etre seule, et libre. Elle se disait que si elle gagnait un peu de liberté, Elle pourrait peut-être être heureuse, ne serait-ce qu'un peu. Elle rêvait de s'nevoler, tel un oiseau, déployer ses ailes et partir, loin, à un endroit où personnes ne pourrait la rejoindre. Un endroit que seule Elle connaissait, dans lequel seule Elle pourrait décider de partir, pour revoir ses amis, ses proches. Car Evidemment, Elle se doutait que si Elle partait, ils lui manqueraient. Mais Elle s'en moquait. Ce qu'elle voulait, c'était ignorer, fuir ses problèmes. "De toute façon, quand on quitte sa famille, c'est qu'on cherche à fuir ses problèmes", avait-elle entendu un jour. La personne qui l'avait dit avait raison. Mais c'est comme ça. On n'y peut rien. Et Elle voulait s'enfuir. ~

    ~ Elle n'en pouvait plus. Elle ne savait plus quoi faire, pour arrêter ce sentiment dévastateur qui la détruisait petit à petit de l'intérieur. Elle ne savait plus, n'avait même jamais su. Même après tout ce temps. Elle se disait à chaque fois que ça allait passer, comme d'habitude. Mais en attendant.. Elle était perdue. Seule, perdue, dans un sentiment qu'elle ne comprenait pas. Etait-ce de la mélancolie ? De la solitude ? Simplement de la tristesse ? Elle ne savait pas. La seule chose qu'elle savait, c'est que ça la détruisait. Et elle n'y pouvait rien. Elle n'arrivait pas à lutter. Alors elle se laissait submerger. Elle plongeait la tête sous l'eau, et essayait de respirer encore un peu jusqu'à ce que ça passe. Elle ne comprenait pas. Et surtout Elle n'en pouvait plus. ~

    ~ Comment est-ce que tu peux penser que tu tiens à moi si moi-même j'y tiens pas ? Pourquoi tu dis qu'tu m'aimes alors que moi-même j'me déteste ? Pourquoi t'es là, pourquoi tu restes. ~ Voyou - Fauve.

    ~ Elle se disait que si elle cachait ses sentiments, ses peurs, ses larmes, peut-être que cela enlèverait un poids sur les esprits de ses amis. Elle ne voulait pas les voir souffrir. Alors Elle essayait de les consoler comme Elle pouvait, quand ils n'allaient pas bien, mais ne leur parlait jamais de ses propres ennuis. Jusque là, Elle se disait que c'était bien, comme ça. Que jouer le rôle de la fille qui va toujours bien était bien, car comme ça, ils n'avaient pas à s'inquiéter pour Elle. Mais vient le jour ou sa meilleure amie lui en fit le repproche. Elle se dit alors que peut-être que son déguisement n'était pas si fiable que ça. Que finalement, Elle avait peut-être tort : à cacher ses problèmes pour ne pas en causer à ses amis, Elle les faisait s'inquièter plus qu'autre chose. ça lui fit mal. Mais même en s'en étant rendue compte, Elle ne pouvait pas se résoudre à arrêter. Parce qu'après avoir commencé, Elle ne pouvait plus arrêter. Elle ne supportait pas de se faire plaindre. Alors Elle continuait. De toute façon, Elle se disait qu'Elle n'avait pas le droit d'aller mal. Parce qu'il y avait des personnes qui avaient des raisons bien plus importantes de déprimer, mais qui pourtant gardaient la tête haute. Et puis, c'était aussi pour sa mère. Elle avait eu droit à trop de vagues dans l'adolescence de son fils, donc le frère d'Elle, et Elle se serait sentie coupable de la faire encore une fois aller mal. Surtout après la phrase qu'elle lui avait dite, après une plaisanterie d'Elle qui disait en rigolant que telle chose la faisait déprimer : "Ah bah non attends, si toi aussi tu t'y mets hein !" Elle s'était obligée à garder le sourire, à en rire. En réalité, Elle aurait voulu en pleurer. Sa mère ne savait pas que la veille, Elle l'avait passée à pleurer. Mais c'était un secret, c'était caché, discret. Et Elle voulait que ça le reste. Alors Elle se taisait. Chut.. ~

     

    ~ Elle avait décidée de vaincre le blues. De vaincre la dépression qui s'était écrasée sur Elle depuis plusieurs jours. De vaincre ces larmes qui coulaient chaque jour sans vouloir s'arrêter, ces larmes qu'Elle s'efforçait tant bien que mal à cacher quand même. Elle ne voulait plus afficher ce faux sourire perpetuel. Alors Elle a décidé un beau jour de ne plus se laisser écraser ainsi. C'était dur, tous les jours, sa motivation tremblait. Cet état d'esprit ne tenait qu'à un fil. Tous les jours, Elle devait lutter contre cette voix, dans sa tête, qui ne faisait que la critiquer, qui ne faisait que lui rappeler toutes les choses les plus noires de sa vie, du moment, de l'état de ses proches, du monde, de tout. Du passé, même. De son absence de rêves pour le futur. De certaines décisions qu'Elle allait devoir prendre. De tout. Elle ne voulait pas partir, cette voix. Mais Elle luttait, Elle luttait. Elle avait remporté la première manche, déjà : la volonté d'y arriver. Maintenant, il allait falloir remporter les manches suivantes. ~

    ~ Elle commettait probablement la pire erreur de sa vie. Elle le savait très bien. Mais Elle n'y pouvait rien. Aimer ce garçon, ce n'était pas un crime, non. Seulement une profonde douleur de le savoir loin d'Elle, avec d'autres filles qu'Elle, d'autres personnes qu'Elle ne connaissait pas. Elle savait qu'Elle faisait une erreur. Mais Elle ne pouvait plus ignorer ses sentiments. Il lui manquait trop. Elle l'aimait. Et Elle venait de s'en rendre compte. Et Elle souffrait. Sûrement pour longtemps. Elle avait déjà mal, de toute façon. Elle pleurait déjà. Cela les faisait souffrir tous les Deux. Mais tous les Deux n'y pouvaient rien. A part essayer de se soutenir, s'aider, à surmonter cette épreuve que la vie leur avait faite. Cette mauvaise blague. Ce cauchemar. La vie, Elle la haïssait. Mais simplement pour Lui et pour ses autres Amies, Elle ne pouvait qu'ignorer les multiples piques que la vie lui plantait dans le dos, Elle ne pouvait que vivre. Vivre, et survivre. Pour un jour peut-être, pour un jour enfin, revoir leur sourire se dessiner sur le visage de chacun. ~

    ~ Les rêves, c'est beau. La réalité, l'est tout de suite moins. ~

     ~ Il y a des soirs, finalement, ou je me sens bien. Preuve que je suis sur la bonne voie.. ~ Merci ♥

    ~ Plus aucune motivation. Pourquoi est-ce que ça a tant changé depuis hier soir ? Hier soir ou je me sentais presque "heureuse" ? Où je me sentais bien, pour une fois. Pourquoi est-ce que ça a changé en deux pas, en cinq minutes ? Peut-être parce que c'est en ces deux pas, et en ces cinq minutes que sa joie a quitté la maison. Deux jours. Deux jours sans, ce n'est rien. Bientôt ce sera une semaine. Et encore après, ce sera six mois. Plus tard, ce sera quasiment tout le temps. Mais pour l'instant, j'ai besoin d'elle, j'ai besoin de sa bonne humeur, de sa vie, de tout. C'est la première fois que je m'en rend compte à ce point. J'ai besoin d'elle, j'ai besoin de son rire, son sourire pour avancer. Ses larmes me brisent, son rire est contagieux, ses colères me mettent en rogne, mais ses délires me font voler. Merde, c'est ma soeur, quoi. Je peux rien sans elle. ~

    ~ Ma vie tourne en rond, elle fait des bulles, elle revient en arrière, elle fait des tourbillons. C'est fatiguant, au bout d'un moment. Quand on croit qu'on va mieux, mais que quelques secondes après, le moral s'écroule, sans raison. C'est épuisant. Quand tout à coup le ciel est bleu, puis se couvre de nuages d'orage. Quand on passe du rire aux larmes qui coulent sans plus vouloir s'arrêter. Quand de chansons joyeuses, on change de disque et retourne sur des chansons déprimantes. Quand la douleur, au plus profond du coeur, se décide à ressortir sans raison. Puis ça recommence. Le ciel s'éclaircit à nouveau, les chansons ne sont plus étudiées pour y trouver de la douleur, mais du rythme, de la joie. Tout ça pour s'enrayer encore. Et recommencer, recommencer, recommencer. Ma vie est comme ça. Ma vie tourne en rond, ma vie fait des bulles, elle revient en arrière, et fait des tourbillons. ~

    ~ Cette douce ironie qui s'est emparée de moi ce soir là, mon regard tombant sur le frigo : "Tiens, il y fait peut-être plus chaud ? On voit que l'hiver arrive, ici, l'ambiance est probablement plus froide que le bac à glaçons.." ~

    ~  Vous voyez son sourire ? C'est le genre de sourire qui sonne 100% faux. Pourtant, personne n'a l'air de le remarquer. Ou plutôt, personne ne veut accepter de le voir. Voir ces larmes qui coulent à l'intérieur de l'âme, voir cette douleur dans les yeux, voir ce désespoir, entendre cette question qui tourne en boucle, sans cesse : "Pourquoi je suis là ?" Personne n'accepte de voir la vérité des autres. Et pourtant, ils voudraient qu'on voit la leur. Monde d'égoïsme, vous ne trouvez pas ? Pur égoïsme. ~ 

    ~ Elle voulait mourir. Pas se suicider, non. Elle n'aurait jamais pu en avoir le courage. Seulement, Elle voulait mourir. Car Elle n'en pouvait plus, cette vie, c'était juste trop pour Elle. Elle ne comprenait plus rien. Plus même pourquoi est-ce qu'Elle se donnait la peine de sourire en public, pourquoi Elle retenait ses larmes devant ses proches. Elle était à bout. Cependant, Elle ne pouvait pas en finir. Elle en était simplement incapable. Tandis que chaque matin en ce levant, Elle avait ce semblant d'espoir qu'une voiture la fauche pendant le chemin qu'Elle prenait pour prendre son bus. Elle ne voulait pas se tuer. Seulement mourir. Être tuée. Mais d'une autre façon que celle qui la détruisait jour et nuit, d'une autre façon que cette douleur morale qu'Elle se forçait à supporter. Elle voulait crever. Abandonner. ~

    ~ Quand quelqu'un vous dit qu'il veut mourir, ne vous inquiétez pas trop vite. Demandez-lui d'abord de préciser sa pensée : Souhaite-t-il mourir, ou se suicider ? Il y a une différence. On peut souhaiter mourir sans se suicider. L'inverse, se suicider sans mourir, est impossible. Ne vous inquiétez seulement si la réponse est la seconde. ~

    ~ En ayant peur de la douleur, on s'empêche sans s'en rendre compte d'avancer. Parfois il vaut mieux avancer les yeux bandés. ~

    ~ Elle, ne prenait même plus la peine de cacher ses larmes. A quoi bon, si de toute façon, personne ne les voyait, après tout ? Autant les laisser couler, et ne pas les essuyer. Autant faire en sorte qu'elles soient libres, elles. ~

     

    ~ Vous voyez la femme qui marche, là-bas, dans la rue ? Elle est folle. Elle est folle, et sa démarche se fait de plus en plus rapide. Elle se met à courir. Vous la voyez ? Vous la voyez ? Vraiment ? Si vous ne la voyez pas c'est que vous refusez de la voir. Car elle est là. Elle est là, et elle court, poursuivie par ses fantômes. Ses fantômes, c'est eux, ses souvenirs, ses regrets, ses peines, ses colères, ses disputes, ses amours, ses amitiés, toutes ces choses auxquelles elle ne croit plus. Elle est folle. Elle le sait. Elle s'en rend compte. Mais ne peut plus faire marche arrière. Elle ne peut plus que courir, courir pour empêcher ses fantômes de la rattraper. Elle court pour leur échapper. Elle court pour garder un minimum de raison. Le peu qu'il lui reste. Elle se dit que si tout ce qu'elle s'est forcée à oublier, ou a enterrer au fond de son esprit ressort, elle perdra tout. Et deviendra plus folle qu'elle ne l'est déjà. Si seulement c'était possible. Elle est folle. Elle le sait. Mais vous voyez la petite lueur qui flotte à côté d'elle ? La petite lueur blanche, toute faible et tremblotante. C'est sa lueur d'espoir. Lueur d'espoir qui représente l'espoir qu'elle se fait du fait que, pour elle, elle a encore une partie de sa raison. Surtout, n'allez pas la voir. N'allez pas lui dire. Je vais vous confier un secret. Cette femme, elle est folle. Réellement. Il n'y a plus rien en elle qui ne l'est pas. Sa petite lueur d'espoir, là, flotte mais est fausse. Comme le restant de ses espoirs perdus qui flottent parmi ses fantômes qui la pourchassent. Si elle perd cette lueur d'espoir, elle n'y survivra pas. La folie la perdra. Vous voyez ses cheveux mal peignés, ses vêtements déchirés, ses ongles noirs, sa peau sale ? C'est le résultat de sa course sans fin pour échapper aux fantômes. Les gens, la voyant passer, pensent qu'il s'agit d'une pauvre, et folle en prime. Ils n'ont pas tout à fait tort. Mais parfois, ils le pensent tout haut. Et si elle les entends, sa lueur d'espoir diminue. Elle se dit que si les autres aussi la croit folle, peut-être qu'elle l'est vraiment, finalement. Et c'est vrai. Mais elle ne le sait pas. Par pitié, chut. Laissez la rêver. Car après tout, c'est de ça qu'il s'agit, cette petite lueur. Son seul rêve restant. Celui de ne pas avoir perdu totalement la tête. C'est un rêve. Et comme beaucoup d'autres, comme pour les espoirs, c'est un rêve faux. Un rêve qui ne se réalisera pas. Une porte vers la descente aux enfers. Comme tous les rêves. Vous la voyez ? Elle est folle. Et elle le sait. C'est ce qu'il y a de pire. Elle est folle. ~

    ~ Un battement de cils, les larmes partent. Un battement d'aiguille d'horloge, les yeux ne sont plus rouges. Un battement de coeur, le sourire se force à réapparaitre. Un battement de porte, et tout se relâche, les larmes coulent, les yeux sont rouges, le sourire se tord. Un coup de téléphone, la reprise en main. Une amie au téléphone, la voix redevient assurée. La fin d'un appel, les yeux se réembuent. Un battement de cils. Un battement d'aiguille d'horloge. Un battement de coeur. La vision d'une amie, le sourire doit être de la partie. Le départ de l'amie, le départ du sourire. A quoi bon faire semblant si on est seul ? ~

    ~ Tant d'années à me battre pour tout cacher, tant d'efforts, réduits en cendres et éparpillés en un coup de vent. Autant d'années inutiles, autant d'années qui n'ont fait que me détruire. A quoi ça a servi ? A protéger les autres sur le moment. Les protéger de moi, quitte à me détruire. Mais si ils se prennent tout maintenant, autant de rage et de larmes retenues pendant tout ce temps, si ça me tue, ça va les achever aussi. ça fait mal. ~

    ~ L'impression d'être remplie d'une boue épaisse qui me noie. ~

    ~ Je savais que je ne devais pas m'attacher. Du moins pas autant. Je n'ai plus qu'à m'en prendre à moi-même maintenant. Même si, est-ce ma faute si 6heures de décalage horaire nous séparent ? Si un océan immense s'est mis en travers de nous ? Si les kilomètres ont décidé de nous éloigner ? Non. Mais c'est de ma faute si mon coeur pleure. J'aurais pas dû m'attacher, je le sais. Pourtant je l'ai fait. Pourquoi ? ~

    ~ Pourquoi a-t-il fallu qu'il se souvienne ? Pourquoi a-t-il fallu que Elle revienne dans sa mémoire ?Elle a peur de l'oubli, c'est vrai. Mais là, pour une fois, Elle aurait tellement voulu qu'il ne se souvienne pas. Etrange non ? Et pourtant. Parfois l'oubli fait plus de bien que de mal. Pour les autres du moins. Là par exemple, il aurait dû ne jamais y repenser. Ne jamais repenser à la jeune fille qu'Elle était, et la laisser encore longtemps tranquille, jusqu'à la fin. Mais non. Un poisson d'avril, une phobie, et des larmes, l'ont fait remonter dans son cerveau. Et lui a redonné envie de recommencer à énerver Elle. La vie est-elle toujours ainsi ? Probablement. On ne peut  jamais éviter indéfiniment ce dont on a peur. On y est toujours confronté un jour où l'autre. Pour Elle, ce jour est venu. La peur de quoi, cette fois ? La peur de la malédiction des rumeurs. Une phrase de trop, un mensonge et tout part dans des rouages bien trop compliqués pour être arrêtés comme cela. Elle se disait qu'au moins, c'était la fin de l'année, ça n'allait pas durer trop longtemps. Même si Elle se doutait qu'il préparait probablement quelque chose depuis tout ce temps de paix, pour les derniers mois qu'Elle allait devoir passer "avec lui". Elle n'avait pas tort. A son plus grand malheur. "Si tu veux la paix, prépare la guerre". Même si Elle s'y attendait, Elle aurait dû préparer ses armes. Mais non. Elle s'est laissée endormir dans cette peur semi-enfouie, et bien que pensant au risques qui allaient arriver, Elle n'en fit rien et ne se prépara pas. Elle allait devoir encore une fois se reconstruire des barrières de fortune, et Elle savait que ces barrières n'allaient pas tenir bien longtemps. Elle espérait se tromper. Elle aurait voulu que lui aussi fasse comme les autres après leur poisson d'avril idiot, s'excuser et l'oublier. Mais il fit l'inverse : il se souvint d'Elle, et décida de reprendre ses activités. Elle avait peur. Mais plus de l'oubli. Dorénavant, c'était de son souvenir. ~

    ~ Les poètes sont des êtres en dehors de la société, laissant leurs rêves s'envoler sur le papier. ~

    ~ Lorsque les malheurs tombent, lorsque les larmes coulent, lorsque les mots se perdent, il n'y a pas toujours grand chose à faire. Crier. Pleurer. Tenter de se libérer d'un poids. Mais après tout, ce n'est pas ça qui fait changer le monde, et changer les choses, pas vrai ? On m'a dit une fois que pleurer permettait de se lâcher et d'aller mieux. Mais c'est faux. A force de trop pleurer on se détruit soi-même. Et à force de se cacher on se ronge de la même manière. Que faut-il faire ?~ 

    ~ Dis-le. Vas-y, dis-le. Je t'ai déçu. Je le sais. Je le sens. ça s'est vu. ça s'est lu. Tu n'étais pas face à moi mais je l'ai su simplement avec tes mots, tu sais. Et ça m'a autant fait plaisir que culpabiliser, sache-le. Plaisir, d'un côté, parce que oui, ça me touche de voir que tu aurais voulu que je sois là. Alors qu'on ne s'est plus parlé pendant des années, de longues années, et qu'on a repris contact depuis très peu. Trop peu. Tu sais, je m'en veux pour tout ça. Et c'est aussi pour ça que je culpabilise. Surtout pour ça. J'ai l'impression que tout ça, c'était de ma faute. J'ai l'impression qu'il y a un jour, où on ne s'est pas compris. J'ai l'impression que notre éloignement n'a été dû qu'à un immense quiproquo. C'est vrai, si j'étais restée avec toi, je serais sans doute encore la petite fille qui fait toujours ce qu'on lui demande, la "bonne à tout faire" comme j'avais dit moi-même un jour. Mais peut-être pas. Parce que toi aussi, tu as changé. En mieux. En tellement mieux. Si j'avais su. Si j'avais pu. Si on avait pu. Imagine ? Si on avait chacun fait des efforts, chacun de notre côté, pour tenter de reprendre contact plus tôt, ça aurait donné quoi ? On n'en serait pas là aujourd'hui. On serait pas là comme deux idiots à nous dire qu'on est passés à côté de quelque chose. Parce que tu sais quoi ? Lorsque j'ai appris l'année dernière les problèmes que tu avais eu, lorsque j'ai remarqué à quel point tu avais changé, en mieux, en tellement mieux, il y a une chose qui m'a traversé l'esprit et qui n'en est pas sortie : c'est moi, qui aurait dû être à tes côtés. C'est moi, qui aurait dû être ta confidente. C'est moi, qui aurait dû sécher tes larmes. C'est moi, qui aurait dû te conseiller, te calmer, te consoler. C'est moi. Mais non. Parce que, quiproquo, chacun nos raisons différentes, on s'est séparés autant physiquement que psychologiquement il y a des années. Moi à cause de ta mère. Toi, à cause de mes amies. C'est fou hein ? Je le savais même pas. Je ne savais même pas pourquoi tu ne me parlais plus. Je ne savais même pas que c'était de ma faute Bordel, de ma faute. Parce que j'ai été embarquée dans un groupe que je n'appréciais au départ pas plus que ça. Alors je sais. Je sais que maintenant, si je ne les avais pas rencontrées, rien de ce qui m'arrive aujourd'hui serait pareil. Je n'aurais sans doute rencontré aucun de mes meilleurs amis aujourd'hui. Mais, imagine. Et si on avait pu se séparer tout en restant amis ? Ne plus trainer toujours ensemble mais toujours nous voir ? Plutôt que de tout arrêter subitement, du jour au lendemain ? Plutôt que de se haïr, sans raisons apparentes, plutôt que de s'ignorer, en nous faisant souffrir chacun ? Il y a tellement de choses à mettre au clair. Tellement. Et tellement de choses que je regrette, putain, si tu savais. Tellement de choses que j'aimerais rattraper aujourd'hui. Mais je me dis que c'est impossible. Imagine. Imagine un jour je t'appelle pour qu'on se voit. Comment réagirais-tu ? Comment réagirait ta mère ? Comment réagirait ton père ? Comment réagiraient mes parents ? Immense blague. Ce serait infernal. Impossible. Railleries. Toujours. Encore. Résultat ? Résultat même si j'en rêve, jamais je n'oserai. Pourquoi ? Parce que j'ai peur de ta réponse. Parce que j'ai peur du résultat : au final, rester tous les deux les bras ballants, côte à côté comme des cons, sans savoir quoi dire. On a tellement de choses à rattraper, tant de choses à dire, mais pourtant si peu de mots pour les exprimer. Tu me manques. C'est fou. J'aurais jamais cru dire ça un jour. C'est horrible. Et je ne m'en suis rendue compte que l'année dernière. Et ce n'est que cette année que je me suis résolue à regarder la vérité en face, lorsque je te voyais, le peu de fois où c'était faisable. Infernale vérité, que j'ai du mal à accepter. Parce que mon foutu cerveau , il refuse d'accepter pas mal de choses. Dont celle-là. J'ai tellement de choses à te dire, tellement. J'aimerais tellement qu'on redevienne comme avant, mais avec nos caractères d'aujourd'hui. C'est horrible. 

    Tu me manques. Et tu ne le sais pas, ne le sauras sans doute jamais.

    Pardon.~ 

    Beaucoup des textes qui se sont effacés dans mon ancien club ne sont pas là. Je ne peux pas les coller, donc je dois tout recopier.. Je ferai peut-être ça un jour, mais ça risque de ne jamais arriver. J'en rajoute régulièrement quand même, mais des nouveaux. N'hésitez pas à donner votre avis surtout..



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