SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
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    kelonia
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    le 16/01/2015 à 10:15

    Présentation
    Modifié le 16/01/2015

                      BIENVENU AU CLUB  HAIKU  ET DE CITATION

     

    Return Une définition rapide Le haïku est une forme japonaise de poésie permettant de noter les émotions, le moment qui passe et qui émerveille ou qui étonne. C'est une forme très concise, dix-sept syllabes en trois vers (5-7-5). Dix-sept temps en japonais (une syllabe a un ou deux temps), un nombre restreint dans d'autres langues (l'anglais s'accommode de 3-5-3). C'est une forme très active, très vivante, vraisemblablement la plus utilisée au monde. Il y a des concours de haïku (haiku taikai) portant sur un thème donné, organisés au niveau mondial par de grandes entreprises japonaises ou par des institutions. On y gagne généralement qu'à voir son haiku publié. Il n'est pas rare d'y voir plus de 10.000 participants (30.000 pour un concours de Japan Air Lines, 22.000 pour le concours annuel du journal Mainichi). Ce sont des fêtes éclatantes. Les haikistes attachent cependant plus d'importance aux kukai (voir plus bas) Les groupes de haikistes sont très actifs sur internet (liste Shiki notamment) Cette forme obéit à des règles très strictes de composition (fond et forme), (voir texte sur les règles).

      Mode d'emploi Le haïku se publie, il n'est pas une poésie secrète. Il ne faut pas craindre la critique positive, un haiku peut toujours être reconstruit sur la même image.  A certaines occasions, les haïku se composent dans des réunions allant de 3 à 100 personnes, les kukai. Les membres se réunissent dans une pièce pour composer et soumettre leur haiku à l'évaluation du groupe. Chacun présente ses poèmes sur une feuille, pour être réécrits par une autre main. Les papiers circulent et les participants sélectionnent ce qu'ils considèrent comme le meilleurs. On rend le résultat public, on vote et on compte les points. Le haïku le plus estimé, ce n'est pas celui qui en a gagné le plus, mais celui que la maître a sélectionné. On trouve plusieurs sortes de kukai : a) le kukai où un (des) thème(s) est (sont) donné(s): on doit présenter des haïku qui contiennent une référence à ce thème. b) le kukai d'improvisation : on ne prépare pas son poème à l'avance. Les membres écrivent leurs haïku en un même endroit, en tête à tête. Ordinairement, on donne le thème, mais quelques fois, on adpote la manière "shokumoku" : les membres doivent êcrire ce qu'ils voyent (mais sans thème) ou entendent. c) le kukai sans thème où les membres préparent leurs poèmes à l'avance.  Le haïku s'élabore et se retravaille. Il s'écrit généralement en un instant, la spontanéité est importante. Sans travail de construction conscient et laborieux pour sa première écriture.  Source C'est toujours un moment d'étonnement, une situation que l'on note. L'inspiration et la motivation sont diverses selon les groupes et auteurs. Pour certains, elle passe pour être l'expression d'une épiphanie (le "aha moment"). C'est l'approche "zen", fort répandue dans la communauté "haïku" internationale. Il faut remarquer que la plupart des haikistes ne savent pas ce qu'est le zen ou en connaissent très peu. Au Japon,  le "aha moment" n'est pas du tout une idée populaire L'écriture est parfois considérée comme un exercice intellectuel..  Quoi qu'il en soit, la démarche "haiku" est surtout basée sur l'attitude du bouddhiste, observer les choses bien avant de les critiquer ... Le haïku doit etre ancré dans le "Cosmos". C'est à dire le monde physique, les saisons, l'environnement, les traditions, notre imaginaire. Le haïku est fort pratiqué dans le monde anglophone et slave; très peu et souvent sans règles dans le monde francophone.   

    Classement  Le haïku classique est classé en quatre catégories liées à la saison : Printemps, été, automne, hiver. Le nouvel-an était compris dans le printemps. Mais quand le Japon moderne est passé du calendrier lunaire au calendrier solaire, on n'a pu décider si le nouvel-an devait être compris dans l'hiver ou dans le printemps. C'est pourquoi il est devenu indépendant. Il y a donc des haïku du nouvel-an. Variétés En dehors du haïku classique, on distingue avec la même forme mais des sujets différents.   - le senryu : sentiment personnel, parfois moqueur, notant une situation de la vie courante   - le haibun : une prose où le haïku est inséré en illustration. C'est généralement une description de voyage ou un journal. Plusieurs haibuns de Bashô traitent de la vie quotidienne.Ce genre a à peu près disparu au Japon.   - le scifu : domaine de la science-fiction, genre très particulier. La plupart des haïkistes japonais ne connaissent même pas son existence.   - toute une série de sujets spécialisés ayant comme nom générique le ku.  

    Le haïku contemporain Le haïku moderne respecte moins les règles (en fond et forme) que le haïku classique. Il est souvent : - Moins impersonnel.
    - Avec un comptage plus libre des syllabes, on se contente d'une alternance court, long, court.
    - Sujet plus commun.
    - Absence de référence saisonnière.
    Il ne faut cependant pas en faire un poème minimaliste.

     

                                                 REGLEMENT

    _chacune des menbres doit aux moin une fois poste un haiku , petit poeme en vers ou bien une citation

    -PAS d'insulte

    -Pubs  j'accepte si ce en haiku ou poéme en vers

    -DDA j'accepte

    Haiku des anciens au XXième siècle

    Le mendiant -
    Il porte le ciel et la terre
    Pour habit d’été.


     

    Dévoré par un chat -
    L’épouse du criquet
    Crie son deuil.


     

    Pluie de printemps -
    Toute chose
    Embellit.

     


     

    Même le bruit de la cascade
    S’est affaibli -
    Le chant des cigales.

     

     

     

    CITATION

    « Tout ce que tu peux faire dans la vie, c’est être toi-même. Certains t’aimerons pour qui tu es. La plupart t’aimeront pour les services que tu peux leur rendre, d’autres ne t’aimeront pas. »


    « La vie est comme un jeu d’échecs : nous esquissons un plan, mais celui-ci est tributaire de ce que daignent faire l’adversaire aux échecs et le destin dans la vie. »


    « Vivre est un art.Le passé est le brouillon de ton chef-d’oeuvre en devenir.Ton chef- d’oeuvre, c’est ta vie, celle que tu bâtis au présent.Tu es l’artiste de ta vie et ton art t’appartient.Le futur n’est autre que la continuité de ton art : ton art de vivre. »


    « Les difficultés nous permettent de croître. Elles ne sont pas là pour nous abattre, elles sont là pour que nous puisions dans nos forces afin de les abattre ensuite… Sans difficulté, point d’avancement. »

     

     

                                BONUS

    1. un haiku = 1 vote / cinq haiku = 5 jour de votes

    2.une  citation = 1 vote + commentaire /trois citation = 3 jour de votes +3 commentaires

    3. un petit poéme = 2 jour de votes + 1 commentaire


     


     

     

     

     

     

     

     

    Le haïku (??, haiku?), terme créé par le poète Masaoka Shiki (1867-1902), est une forme poétique très codifiée d'origine japonaise et dont la paternité, dans son esprit actuel, est attribuée au poète Bash? Matsuo (1644-1694)[1]. Le haïku tire son origine du tanka (ou waka) de 31 mores (un découpage des sons plus fin que les syllabes) composé d'un hokku de 17 mores et un verset de 14 mores. Bash? Matsuo isola les modules et ne conserva que celui de 17 mores, qu'on appelait le hokku ou le haïkaï. Contrairement au waka ou tanka, le haïku n'est pas chanté.

    Il s'agit d'un petit poème extrêmement bref visant à dire l'évanescence des choses. Encore appelé haïkaï (d'après le haïkaï no renga ou haïkaï-renga, forme antérieure plus triviale développée par S?kan au XVIe siècle) ou hokku (son nom d'origine), ce poème comporte traditionnellement 17 mores en trois segments 5-7-5, et est calligraphié traditionnellement soit sur une seule ligne verticale soit sur trois. Haikai signifie "amusement", étaient appelés haikai-renga les rengas d'amusement, drôles, légers, parfois frivoles et grivois. Un genre plutôt mineur à l'origine. Hokku signifie "court", et désigne le commencement du renga, soit des vers rythmés 5/7/5 mores[2]. En 1891 Masaoka Shiki forge le mot haiku qui est la contraction des deux mots cités précédemment.

    Le haïku doit donner une notion de saison (le kigo) et doit comporter une césure (le kireji). Si le haïku n'indique ni saison, ni moment particulier, on l'appellera un moki ou encore haiku libre, tels les poèmes de Taneda Santôka (1882-1940) ou ceux de Ozaki Hôsai (1885-1926)[3].

    Les haïkus ne sont connus en Occident que depuis le tout début du XXe siècle. Les écrivains occidentaux ont alors tenté de s'inspirer de cette forme de poésie brève. La plupart du temps, ils ont choisi de transposer le haïku japonais, qui s'écrivait sur une seule colonne sous la forme d'un tercet de 3 vers de 5, 7 et 5 syllabes pour les haïkus occidentaux. Quand on compose un haïku en français, on remplace en général les mores par des syllabes ; cependant, une syllabe française peut contenir jusqu'à trois mores, ce qui engendre des poèmes irréguliers.

    La personne écrivant des haïkus est appelée haijin (???), ou parfois également « haïdjin » ou « haïkiste ». Contrairement à la langue française, le japonais du XVIIe siècle diffère beaucoup de la langue japonaise actuelle, tant dans sa grammaire et son vocabulaire que dans l'écriture. Il équivaut donc, pour un lecteur français, à l'ancien français, avec la difficulté supplémentaire qui est l'évolution de l'écriture elle-même[

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