Chers amis, bienvenue dans le cercle très restreint des détectives de minuit. Nous nous réunissons dans un seul but, combattre le mal et résoudre des mystères. Des enquêtes vous serons régulièrement présentées, ainsi que les quelques indices trouvés par la police, des coupures de journal, ou tout autre élément qui pourrait être utile au dénouement de celle-ci. Chers détectives amateurs, résolvons notre première enquête.

Enquête numéro 1:

Dimanche dernier, le corps d'une jeune femme est retrouvé dans l'église d'un petit village de Bretagne. Il s'agit visiblement d'une mise en scène, elle était placée sur un banc, assise, une bible entre les mains. Aucune trace de sang ne fut relevée, ni sur elle, ni dans l'église. La jeune femme s'appelait Meredith Lawrence, elle était agée de 32 ans, sans enfant et célibataire. Elle était libraire et aucun ennemi ne lui était connu.Elle occupait un petit appartement dans le 15e arrondissement de Paris et était une voisine très discrète d'après ses voisins. Parmi les indices trouvés, nous avons connaissance de ceux-ci: une carte postale d'Etretat trouvée dans la Bible avec une inscription au dos: "Nous nous retrouverons"; un morceau de tissu accroché à un clou près de la porte, et une emprunte de talon aiguille taille 38 près du cimetière.

Qui a tué Meredith Lawrence? -> son frère

Enquète numéro 2:

Pour cette enquête, chers membres des détectives de minuit, nous nous attaquerons à une affaire jamais résolue, oubliée dans des archives.

Le 8 mai 1950, Jacqueline Durant, une employée de banque de 27 ans est portée disparue. Elle a été vue pour la dernière fois à la terrasse d'un café dans le quartier de l'Opéra à Paris. Son corps a été découvert au milieu d'un champ dans l'Est de la France, dans une voiture rouillée, en décembe 1975. D'après l'autopsie, elle semblait être décédée depuis le moment de sa disparition. Elle a été assassinée de plusieurs coups de couteau dans la poitrine. Le champ avait été laissé à l'abandon depuis la fin de la Première Guerre Mondiale et il semblerait que la voiture ait été là depuis les années 50. En 1950, la police a interrogée son petit ami, ses proches et sa famille. Tous ont rapidement té mis hors de cause. Son petit ami, Martin Pauret, était bouleversé par la disparition de Jacqueline et était au travail à ce moment. Tous ses proches avaient un alibi.

Un seule personne avait été témoin de la disparition de la victime. Françoise Cireau était à la terrasse du même café et déclara avoir vu monter Jacqueline dans une voiture noire conduite par une femme portant un foulard blanc sur les cheveux et une paire de lunettes de soleil.

Dans la voiture ont été retrouvés par le inspecteurs de 1975: un paquet de cigarette ainsi qu'un briquet avec les lettres C et L gravées, une paire de gants en cuir bleu roi, une valise remplie de vêtements féminins qui n'étaient pas à la taille de la victime et une alliance gravée "memento mori".