SailorFuku est un jeu de mode où tu incarnes une jeune lycéenne, dans la ville de SailorCity, au Japon.
Rencontre d'autres joueuses, évolue dans ta carrière et drague les personnages de ton choix !

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    beautedulac
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    le 14/05/2013 à 21:24

    Présentation
    Modifié le 03/07/2013

     

    Bienvenu dans la suite du club

    ~•~ Chronique d'une fille pas comme les autres ~•~

    Partie 11 :

    Je rentre à la maison et je vois Jacksonm assit sur l’un des fauteuils de notre hall d’entrée. Je pose mon sac et laisse échapper un soupir. Je me dirige vers le canapé opposé du sien.

    Jackson : Alors, surprise de me revoir, et qui plus est, chez toi ?

    Moi : Si je suis surprise ? Oui, parce que je ne sais toujours pas comment tu es parvenu à rentrer chez moi

    Jackson : Je suis rentré par la porte c’est tout…

    Moi : …

    D’un pas, il se retrouve pencher au-dessus de moi. Il me bloque le côté droit avec ton bras. Je n’ose pas le regarder au plus profond des yeux car Alice m’a dit que les hommes de la famille de Jackson avait des pouvoirs divers…Il m’oblige à le regarder… Au contact de sa main sous mon menton je me transforme.

    Jackson : Tien, sa fait si longtemps que je n’ai plus revu tes si jolis yeux roses ! Oh mais j’y pense, ils sont en parfaite harmonie avec les mie…

    Je lui donne un gros coup de poing dans son ventre pour ne puisse pas finir sa phrase. Il s’en remet et me dit en se re-assaillant sur le canapé en face de moi :

    Jackson : Je ne suis pas venu te séduire, à mon plus grand regret je dois te l’avouer.

    Il voyait que je préparais mon point pour le lui foutre dans la figure. Il se reprit…

    Jackson : Je suis venu t’annoncer que Kaname viendra te voir un peu avant tes 14 ans, mais tu ne le remarqueras pas. Puis le jour de tes 14 ans, il viendra et se présentera à toi.

    Moi : A mais, qui te dit que je ne vais pas le reconnaître ?

    Jackson : Il me semble que sa mère te l’a effacé de ta mémoire non ?

    Moi : Oui…

    Je me mettais à penser puis je me lance et lui demanda :

    Moi : Comment tu sais que je suis une Spéciale ? Tu as dit que ça faisait longtemps que tu n’avais pas vu mes yeux roses,  je peux savoir pourquoi ?

    Jackson : Avant que sa mère ne t’ait effacé ta mémoire, Alice, toi, Shin, lui et moi, étions amis d’enfance.

    Moi : Ah ! C’est pour ça que quand vous êtes venus pour le projet, vos têtes m’étaient familières… Mais, pourquoi tu ne dis pas son nom à Kaname ?

    Jackson : Parce que je suis jaloux ! Kaname à tout pour plaire et tu en es la preuve…

    Moi : Tu n’as pas de quoi en être jaloux ! Une amie m’a dit qu’elle craquait pour toi

    Jackson : Sa c’est parce que elle n’as pas encore vu Kaname !

    Moi : Mais nan, allez !

    Il me regarde avec un regard doux et affectueux, ça me donne envie de le prendre dans mes bras. Comme s’il avait deviné ce que je pensais, il se lève et me prend doucement dans ses bras si fort.

    Jackson, sourit : Sa me rappel quand on était plus petits, quand tu te faisais mal, je te serrais dans mes bras pour que tu arrêtes de pleurer…

    Un flash-back m’est soudain apparut.

    Moi, toute émue : Je… Je m’en souviens maintenant !

    Il s’éloigna de moi et en avait profité pour caresser ma joue de sa main froide. Il se re-assoit devant moi.

    Moi : Qui t’as renseigné sur les visites futures de Kaname ?

    Jackson : Il nous a chargés de veiller sur toi et de lui donner de tes nouvelles. Bon, il faut que j’y aille.

    Il se lève et se dirige vers la porte, se retourne et dit :

    Jackson : A bientôt, Yuki !

    Après cela, je remonte dans ma chambre et je m'efforce de penser à autre chose…

    Partie 12 :

    Je pense et repense… Ah mais ! La semaine prochaine je saurais définitivement ma troisième nature ! Sauf que… Je stress, je ne sais pas comment cela va se passer ni rien ! Ça suffit ! Je sors de ma chambre et saute pour atterrir en bas et je me dirige vers le salon (nous avons une villa qui pourrait être un manoir tellement qu’elle est grande). Je m’assois aux côtés de ma mère qui lit un livre avec une couverture bleu. Je lui demande :

    Moi : Maman, je peux te poser une question ?

    Maman : Oui mais laisse-moi finir ma page avant…

    Moi : Non, c’est urgent !

    Elle pose son livre en prenant soin de bien marque la page où elle s’est arrêtée. Puis, elle me regarde avec un air doux, comme si elle savait déjà mes sentiments et ce que j’allais lui demander.

    Maman : Yuki, je sais ce que tu vas me dire : tu es préoccupée parce que la semaine prochaine, tu auras 14 ans, n’es-ce pas ?

    Moi, stupéfaite : Ou…Oui

    Maman, sourit : Tu te demandes aussi comment vas se dérouler ta métamorphose, si ça va te faire mal, ou si ça va arriver en pleine heure de cours

    Moi, toujours aussi stupéfaite : Com…Comment tu sais ?

    Maman : Figure-toi ma fille que le livre que j’étais en train de lire est le recueil de la dernière spéciale avant toi, la Neko Spéciale de couleur bleu azur. Dedans, la Spéciale y note ses doutes, ses expériences et surtout, le déroulement de sa transformation.

    Moi : Moi aussi, je vais en avoir un ?

    Maman : Non ma chérie, tu n’en auras pas la responsabilité parce que après que la dernière Spéciale l’ai écrit, il n’était plus utile que les autres Spéciales en fasse un aussi.

    Moi : Ah !

    Maman : Mais je te conseils d’allée voir la Neko de la génération de la couleur bleu azur, elle saura mieux que moi répondre à tes besoins.

    Moi : Non, c’est bon, merci maman !

    Je remonte dans ma chambre et je me dit que…

    Partie 13 :

    Et je me dis que peut-être que j’irais la voir après tout. J’ai entendu parler que les Spéciales de la famille sont dans l’un de nos manoirs. J’aimerais bien savoir leurs expériences, et aussi, leurs natures. Mais pour l’instant, il est temps d’aller dormir. Demain risque d’être une grosse journée vu qu’un tournoi de foot est organisé entre notre collège et un autre dont je ne me souviens plus le nom. Notre entraîneur m’as souvent vu pendant mes promenades et m’as proposé d’être pompom girl. Pourquoi ? Tout simplement parce que je suis un chat et donc, je suis agile…  Je lui ai dit «  ok » mais à une seule condition : pas trop courte la jupe ! Il m’a ensuite expliqué qu’il y aura 5 ppg (pompom girl) plus la capitaine (moi). Vers la fin du tournoi, il aura un concours « la meilleur équipe de pompom girl ». Et d’après lui, m’avoir dans l’équipe c’est un gros atout…

    Bref, il faut que je sois en forme demain et pour ça, il faut que je me couche tôt et que je dorme bien. J’ai aussi hâte d’être à demain car cela ne feras plus que 6 jours avant mes 14 ans.

    Partie 14 :

    Je me réveille 2h en avance pour pouvoir bien me préparer à faire mes enchaînements (même si j’en n’en ai pas besoin). Je me fais une queue de cheval, enfile un short de sport avec une brassière de sport aussi, mes baskets. Je monte sur le toit et commence à faire le poirier, sauter sur mes mains, faire un salto et atterrir sur mes mains… Je fais ce genre de figure jusqu’à ce que ma mère m’appelle pour me préparer. Je fais mon dernier exercice : sauter du toit et atterrir devant l’entrée. J’entre et voit ma mère. Je me dis qu’elle est splendide : elle a les cheveux longs, ondulés et bleu azur, les yeux bleu turquoises, les oreilles blanches et la queue blanche avec la pointe bleue.

    Elle vient vers moi :

    Maman : Tu as fini ?

    Moi : Oui, je vais prendre ma douche

    Maman, sourit puis vient vers moi et me fait un bisou sur le front : Ok, dépêches toi Yuki.

    Je monte et prend ma douche quand j’entends un bruit qui vient de la  porte de la salle de bain…

    Partie 15 :

    Je sors de la cabine de douche avec une simple serviette. Mes oreilles, ma queue et mes cheveux sont encore tout trempés. Je me dirige vers la porte et je vois mon petit frère, Ikki. Il est vraiment trop mignon ! Il est encore petit, il a ses oreilles baissées et une toute petite queue. Il les a bleu ciel, comme ses yeux et les cheveux bleu indigo. Il tient ses couleurs de papa qui est souvent en voyages…

    Moi : Qu’est-ce que tu fais là Ikki ?

    Je le prends dans mes bras, il est encore tout légé.

    Ikki, en se frottent les yeux : Ze cherche mon doudou.

    Il pose sa tête sur mes épaules découverte et mouillées, puis, il me dit en relevant la tête vers moi.

    Ikki : Grande sœur sent bon la myrtille !

    Moi, sourit : C’est normal, je sors de ma douche Ikki.

    Il me regarde et me fait un bisou sur la joue. Je le lui rends.

    Ikki : Tu vas à l’école ?

    Moi : Oui, il faut que j’aille m’habiller.

    Ikki : Je peux venir avec toi ?

    Moi : Non, sinon tu risques d’être tout seul, et je ne veux pas…

    Ikki resta quelques secondes sans dire un mot.

    Ikki : Quand je serais plus grand, Ikki veut vivre avec grande sœur !

    Il me fait sourire, je le repose par terre lui fais un bisou et lui dit :

    Moi : Il faut que j’aille me préparer

    Je me retourne, il cherchait son doudou. Je me dirige vers ma chambre et en 10 minutes, même pas, j’étais prête.

    Partie 16 :

    Je me rends au collège avec mon sac de sport contenant mes pompons, mes baskets, mon uniforme de ppg. Le mien est blanc avec des brillants roses, sur mon haut, c’est marquer mon nom derrière en strasses et devant il y a les initiales de notre collège. La jupe n’est pas très courte, comme je l’avais demandé… Sur le haut de la jupe il y a des brillants roses qui descendent en se raréfiant a un point que les brillants n’atteignent pas le bas de la jupe. Mes baskets son blanches et basses.

    Je me rends compte que derrière moi, un troupeau de garçons avec à sa tête un jeune homme avec à son bras un ballon me suivaient. Sa doit être nos adversaires pour le tournoi.

    Je me précipite au collège car je ne veux pas qu’ils me voient, qui sais !... Arrivé au collège, je me change et je vais répéter avec le groupe notre chorée quand notre équipe de foot va à son tour se changer car le match va bientôt commencer. Devant la porte vitrée, je vois les deux entraineurs discuter, quand celui de l’équipe adverse regarde vers nous. Je détourne direct mes yeux. Il est jeune, plutôt beau mais je n’ai pas eu le temps de le regarder plus attentivement. Il n’avait pas l’air d’avoir beaucoup d’expérience, sa devait juste être un entraineur remplacent.

    10 minutes plus tard, M. Carrez, notre entraineur, vient vers nous et nous annonce une nouvelle à nous tous…

    M. Carrez : Aujourd’hui, comme vous le savez tous, nous disputons un match amical avec le collège ***. Je compte sur vous pour tout donner et à fond !

    Les footballeurs, en criant : Ouais !!!

    M. Carrez : Parfait ! Et comme tous les ans, nous avons une mascotte choisie par les filles du collège.  Et cette année, notre mascotte est… Le chat !

    Comme de par hasard, en finissant sa phrase, il me glissa un regard discret. Quentin est le gardien de l’équipe, et il a vu que le prof me regardait. Il me regarde à son tour en me souriant… Bref !

    M. Carrez : Donc, les pompom girls, vous devez avoirs des oreilles et une queue de chat de la couleur que vous voulez.

    Oh, oh… La cata ! Mais essayons de voir le point positif : Je vais pouvoir faire parfaitement mes enchaînements sans être limitée… Et qui plus est, sous ma forme naturelle ! (Je dirais que j’ai mis des lentilles et une perruque plus vrai que nature)

    M. Carrez nous donne les accessoires. Pour moi, il me donne la copie exacte de ma nature de Neko. Je suis allée au vestiaire et pris ma forme naturelle. Je sors et je vois Quentin devant la porte des vestiaires. Je remarqua aussi, l’entraîneur de l’équipe adverse regarder dans notre direction… 

    Partie 17 :

    Quentin : Hey salut beauté ! Tu es très belle en chat !

    Moi : Euh… Merci

    L’entraineur nous regarde toujours mais bizarrement, ça ne me dérange pas… Ce qui n’est pas le cas de Quentin.

    Quentin : T’as pas remarqué que l’entraineur de l’autre équipe n’arrête pas de te regarder ? C’est saoulant  à la fin !

    Moi, froidement : Oui mais ça ne me dérange pas, toi tu me regardes bien toute la journée et j’dis rien ! Bon, faut que j’y aille, bon match !

    Quentin me rattrape par le bras et il me fait mal.

    Quentin : T’as dit quoi là ?

    Je me garde mon sang froid et je lui réponds :

    Moi : Lâche-moi Quentin ! Sérieux, tu m’fais mal ! Fait pas l’imbécile, tu vas le regretter !

    Quentin : Je n’ai pas aimé ce que tu m’as dit donc non, je ne te lâche pas et tu viens avec moi faut qu’on parle.

    Ça suffit ! Je sens cette sensation qui me monte quand soudainement une personne me dire vers elle pour me retirer de l’emprise de Quentin…

    Lui : Lâchez-la, la jeune demoiselle ne veut pas vous suivre…

    Je lève les yeux et… Oh ce n’est pas vrai ! C’est l’entraîneur de l’autre équipe.

    Quentin : Qu’es qu’il m’veut lui ?

    L’entraineur, se mettant devant moi : Je veux que vous arrêtiez d’embêter cette charmante demoiselle.

     Quentin : Mais pour qui tu t’prends ?

    Quentin commença à courir vers nous, je ne pouvais pas le laisser faire ! Cette sensation m’atteint et je me mets devant « mon sauveur » (j'ai décidé de l'appeler come sa) pour en quelque sorte, lui éviter les ennuis, parce que Quentin peut porter plainte et il peut déformer la vérité, et ça, je ne le veux pas.

    Moi, froidement : Quentin, arrête de courir sinon j’te casse le tibia et tu vas le regretter !

    Quentin : Marine, bouge de là ! Il se mêle de ce qui ne le regarde pas et tu crois que je vais le laisser comme ça ?

    Moi : S’il n’était pas intervenu, je l’aurais fait moi-même donc estime toi heureux ! Et si tu lui fais quelque chose, croit moi, tu ne pourras plus jamais rejouer au foot !

    Quentin : pousse toi sérieux, j’veux pas te faire de mal, croit moi, mais je vais y être obligé si tu ne veux pas te pousser, alors pousse toi !

    Moi : Non, je ne vais pas me pousser !

    Quentin : Comme tu voudras…

    Il vient vers moi et me prend le bras. Je lui attrape le poignet, le lui tord et le colle contre son dos.

    Moi : Alors, tu disais quoi ?

    Une idée sadique me traverse l’esprit, quand « mon sauveur » me posa sa main sur mon épaule. Au contact de sa main, je redeviens normale. Je me retourne et « mon sauveur » me regarde et repart en me souriant. Il est beau ! Jeune, les cheveux brin avec des yeux marron, grand, mince, beau et il a une sourire craquant… Reprend toi Yuki !!!

    Je lâche donc Quentin quand les filles m’appelaient pour qu’on puisse faire l’ouverture du tournoi.

    Partie 18 :

    Le match est terminé. Notre équipe a gagné 3-1. Le concours des pompom girl’s va commencer mais Elisabeth, qui en fait partie, m’arrête en posant sa main sur mon épaule.

    Elisabeth : Marine, t’as vu la même chose que moi ?

    Moi : Euh… Tu parles de quoi là ?

    Elisabeth, soupire : Bah ! A ton avis ? L’entraineur de l’équipe adverse est juste magnifique, et il n’a pas regardé son équipe jouer de tout le match, parce qu’il était trop occupé à te regarder toi et personne d’autre ! On peut dire que tu en as de la chance !

    Moi : Attend-tend là, je n’avais même pas remarqué qu’il me regardait de tout le match, comment tu l’as vu toi ?

    Elisabeth, gênée : Bah enfaite, euh…

    On a été interrompue par l’annonce du concours.

    Moi : Vite, vient on va être en retard !!

    Je la pris pas la main et commença à courir jusqu’à notre stand où nous attendais les 4 autres filles et M. Carrez.

    M. Carrez : Allez aller !! C’est à vous !

    On se mit toutes les six en formation pyramide quand je vis l’entraineur de l’équipe qui a perdu partir en me regardant. La musique commence et on fait notre chorégraphie. On a obtenu 67 points. L’équipe des autres pompom girl’s commença et je dois dire que leur chorégraphie est bien mais la musique manque de dynamisme. Elle a obtenu 46 points donc c’est nous qui avons gagné !!! M. Carrez nous félicites tous car aujourd’hui, nous avons fait un carton plein de victoires… Les autres enlèvent leur déguisement mais moi je ne peux pas car je suis sous ma forme naturelle.

    Je rentre seul dans mon vestiaire quand je vois toute surprise, debout devant la fenêtre…

     

    Partie 19 :
    Quand je vois debout devant la fenêtre Jackson. Mais qu’es ce qu’il fait là lui ? Il se retourne et me voit refermer la porte rapidement.
    Moi : Jackson ! Qu’es ce que tu fiches ici ? N’importe qui pouvait rentrer et te voir !
    Jackson : Ah ! Yuki, je suis venu te voir sur ordre de Kaname… Et non, personne ne peut rentrer car j’ai fait une barrière invisible qui donne l’impression à tout être humain que cet endroit est dangereux.
    Moi : Ah bon ? Alors comment ça se fait que moi je suis parvenue à rentrer ? 
    Je réfléchis quelques secondes car je voyais que Jackson étais en train de rire après je j’avais dit ces mots. Je me reprends.
    Moi : Pas la peine de le dire, oui je sais ! C’est parce que je ne suis pas une humaine mais une Neko. Pourquoi Kaname t’as demandé de venir ?
    Jackson, prend un ton sérieux puis regarde à travers la fenêtre : Il te dit qu’il t’a observé toute la journée, et il a trouvé très gentil de ta pars que tu aies protégé l’entraineur de Quentin. Est-ce que tu as deviné où il était ?
    Moi : Bah, moi je pense que c’était lui « l’entraineur » de l’équipe perdante. Mais maintenant, tu m’as mis le doute !
    Jackson, toujours en train de regarder à travers la fenêtre : Bingo, mais il n’a pas parlé avec toi, et il s’est un peu camouflé pour pas que tu le saches… Il a dit qu’il a hâte d’être au jour de tes fameux 14 ans… Bon, j’y vais.
    Il se retourne et me regarde, il ouvre la fenêtre et s’apprête à sauter.
    Jackson : Tu sais, ce n’est pas prudent de rester sous ta forme naturelle plus longtemps… Aller ! A bientôt Yuki !
    Il saute et moi je referme la fenêtre. Je reprends ma forme humaine et je sors du vestiaire. Je rejoins mes amies et on rentre ensemble…
    J’ouvre la porte de la maison et je vois ma mère assise sur le canapé du hall avec une tasse de thé, et Ikki jouer avec ses voitures autours de la petite table basse. Ma mère me regarde rentrer et me demande :
    Maman, souriant : Alors ma chérie, comment s’est passé cette journée ?
    Ikki relève la tête et me voit. Il cour vers moi et saute dans mes bras. Je le repose par terre et il retourne à ses occupations. Je réponds à ma mère.
    Moi, soupirant : Pff ! C’était trop fatiguant, mais on a gagné le match de foot et le concours des pompom gril’s !
    Ma mère pose sa tasse et applaudit avec fierté.
    Je monte dans ma chambre, prend une douche et redescends. Je mange, regarde mon programme TV et vais me coucher avec la hâte d’être au jour tant attendu !
    Partie 19 :
    Quand je vois debout devant la fenêtre Jackson. Mais qu’es ce qu’il fait là lui ? Il se retourne et me voit refermer la porte rapidement.
    Moi : Jackson ! Qu’es ce que tu fiches ici ? N’importe qui pouvait rentrer et te voir
    !Jackson : Ah ! Yuki, je suis venu te voir sur ordre de Kaname… Et non, personne ne peut rentrer car j’ai fait une barrière invisible qui donne l’impression à tout être humain que cet endroit est dangereux.
    Moi : Ah bon ? Alors comment ça se fait que moi je suis parvenue à rentrer ?
     Je réfléchis quelques secondes car je voyais que Jackson étais en train de rire après je j’avais dit ces mots. Je me reprends.
    Moi : Pas la peine de le dire, oui je sais ! C’est parce que je ne suis pas une humaine mais une Neko. Pourquoi Kaname t’as demandé de venir ?
    Jackson, prend un ton sérieux puis regarde à travers la fenêtre : Il te dit qu’il t’a observé toute la journée, et il a trouvé très gentil de ta pars que tu aies protégé l’entraineur de Quentin. Est-ce que tu as deviné où il était ?
    Moi : Bah, moi je pense que c’était lui « l’entraineur » de l’équipe perdante. Mais maintenant, tu m’as mis le doute !
    Jackson, toujours en train de regarder à travers la fenêtre : Bingo, mais il n’a pas parlé avec toi, et il s’est un peu camouflé pour pas que tu le saches… Il a dit qu’il a hâte d’être au jour de tes fameux 14 ans… Bon, j’y vais.
    Il se retourne et me regarde, il ouvre la fenêtre et s’apprête à sauter.
    Jackson : Tu sais, ce n’est pas prudent de rester sous ta forme naturelle plus longtemps… Allez, à bientôt Yuki !
    Il saute et moi je referme la fenêtre. Je reprends ma forme humaine et je sors du vestiaire. Je rejoins mes amies et on rentre ensemble…J’ouvre la porte de la maison et je vois ma mère assise sur le canapé du hall avec une tasse de thé, et Ikki jouer avec ses voitures autours de la petite table basse. Ma mère me regarde rentrer et me demande :
    Maman, souriant : Alors ma chérie, comment s’est passé cette journée ?
    Ikki relève la tête et me voit. Il cour vers moi et saute dans mes bras. Je le repose par terre et il retourne à ses occupations. Je réponds à ma mère.
    Moi, soupirant : Pff ! C’était trop fatiguant, mais on a gagné le match de foot et le concours des pompom gril’s !
    Ma mère pose sa tasse et applaudit avec fierté. Je monte dans ma chambre, prend une douche et redescends. Je mange, regarde mon programme TV et vais me coucher avec la hâte d’être au jour tant attendu !

     

    Partie 20 : 

    Je me réveille vers 2h de l’après-midi. Plus que 5 jours !!! Aujourd’hui nous sommes dimanche, donc pas école !!! Je décide de rester toute la journée à la maison. J’ai reçu plein d’appels d’amies pour que je les rejoignent, je leurs ai dit non sans leur dire pourquoi...

    Ma mère me demande de sortir acheter du lait. Je mets un short avec un haut large et mes converses pour sortir chercher du lait. J’arrive au super marcher et je vois Ophélie et sa mère faire leurs courses. Je les évite quand derrière moi apparais deux grands gars. Ils se ressemblent beaucoup, ça doit être des frères…

    Gars 1 : Pardon Mlle, je voudrais prendre un gâteau, vous pouvez juste vous poussez un peu ?

    Je regarde où je suis et je suis devant un rayons de confiseries. Je me pousse et tend ma super oreille de chat car l’autre dit discrètement au gars qui ma parler :

    Gars 2 : Hey t’as vu ? Elle n’est pas moche !

    Gars 1 : Ouais, mais on est pas là pour ça, aller vient, sinon maman vas nous demander c’qu’on foutais…

    Ils me regardent et ils partent, je regarde où ils vont et… Attend-ttend ! Ils se dirigent vers le cadis de la mère d'Ophélie. Mais je rêve !! Ceux sont eux les frères d'Ophélie ?

    Je me faufile discretement dans les rayons sans me faire remarquer par Ophélie et sa famille. J'attrape deux bouteilles de lait d'1 litre chacune. Je paye et je retourne a la maison

    Le soir venu, je me couche avec un mauvais présentiment...


     

    Partie 21:
    Je me lève avec une faible douleur à la poitrine. Plus que 4 jours... Je descend prendre mon petit dej', monte me préparer pour aller au collège.
    Je sort de chez moi toujours avec cette douleur qui est présente.
    J'arrive au college, je vois Clhoé, Elisabeth, Célia et Ophélie me faire coucou.
    Ophélie, contente : Il faut que je te raconte un truc !!! Hier , je suis allée au supermaché avec mes deux abrutis de frères et ma mère. On est rentrer à la maison et mon père nous a convoquer pour un "conseil de famille", et devine quoi ?!
    Moi, préssée de savoir : Quoi ? Vas-y dit moi !!!
    Ophélie : Je vais être grande soeur !!!
    Un sourire ce dessina sur mon visage puis je lui ai dit que j'étais heureuse pour elle et je lui ai demander d'apporter toutes mes félicitations a ses parents.
    La journée passa vite, je sortie presque la première de la classe avec Ophélie. Je lui ai fait savoir que j'avais de plus en plus mal , c'étais comme une pression. Lorsque la grille se trouva devant nous, Ophélie se figeat, le regard vide droit devant. Je regardas ce qui pouvais bien provoquer cet arrêt brutal de sa part et je vis ses deux frères...
    On passe la grille et ses deux frères vinrent vers nous.
    Gars 1, agressif : Ophélie, sa fait 10 minutes qu'on t'attend là!
    Ils me remarquent et son frere raplique:
    Gars 2, gentilment : Bonjour, c'est toi Marine?
    Moi : Ouais c'est moi.
    Il s'avance vers moi et me prend la main et l'apporte prêt de sa bouche, je ressend comme de l'hypocrisie dans son geste... Je retire ma main rapidement. 
    Gars 2 : Je m'appel Tristan et lui, c'est mon frère Florian.
    Florian m'adressa un sourir vague, puis pris brutalement le bras d'Ophélie. Je ne peux pas tolérr ce geste sur une de mes amies. Cette sensation, qui m'est devenue familière, m'envahie... Je me sens... Confiante et plus forte.
    Moi, sèchement mais calmement : Lâche-la.
    Florian: T'est qui pour me dire ce que je doit faire?
    Ils commençaient a avancer avec Ophélie vers leur voiture. Je pris brutalement le poignet de Florian que je retourna dans son dos. Je le mis à terre et lui fit bouffer la poussière.
    Moi, sadiquement : Je suis qui ? Je suis celle qui a réussie a te mettre à terre en 3/4 de seconde. La prochaine fois que tu traîte mal ta soeur, tu auras a faire à moi, compris?
    Florian, supliant : Ouais ouais, laisse moi partir s'teuplai !
    Je le laissa se relever... Ils partirent...
    Je revins à la normale...
    Ophélie : Merci Marine, mais... ça va? Tu es... pâle!
    Moi: Oui, oui ça v...Aaaaaaaaaah !!!
    Je tombas à genoux en toussotant... Ma douleur ne fesait que s'emplifier... 
    J'entendais Ophélie crier... Je sentais quelqu'un me porter, cette personne avait une odeur qui m'étais familière... Je me reveilla en sueurs, dans ma chambre.
    Moi, dans ma tête : Cette odeur c'était celle de... Arff!
    Cette affreuse pression était encore là... Mais cette fois-ci, elle était plus forte... 
    Je resta deux jours au lits... Jusqu'au jour de mes 14 ans tant attendus...
    Partie 21:
    Je me lève avec une faible douleur à la poitrine. Plus que 4 jours... Je descend prendre mon petit dej', monte me préparer pour aller au collège.
    Je sort de chez moi toujours avec cette douleur qui est présente.J'arrive au college, je vois Clhoé, Elisabeth, Célia et Ophélie me faire coucou.
    Ophélie, contente : Il faut que je te raconte un truc !!! Hier , je suis allée au supermaché avec mes deux abrutis de frères et ma mère. On est rentrer à la maison et mon père nous a convoquer pour un "conseil de famille", et devine quoi ?!
    Moi, préssée de savoir : Quoi ? Vas-y dit moi !!!
    Ophélie : Je vais être grande soeur !!!
    Un sourire ce dessina sur mon visage puis je lui ai dit que j'étais heureuse pour elle et je lui ai demander d'apporter toutes mes félicitations a ses parents.
    La journée passa vite, je sortie presque la première de la classe avec Ophélie. Je lui ai fait savoir que j'avais de plus en plus mal , c'étais comme une pression. Lorsque la grille se trouva devant nous, Ophélie se figeat, le regard vide droit devant. Je regardas ce qui pouvais bien provoquer cet arrêt brutal de sa part et je vis ses deux frères...
    On passe la grille et ses deux frères vinrent vers nous.
    Gars 1, agressif : Ophélie, sa fait 10 minutes qu'on t'attend là!
    Ils me remarquent et son frere raplique:
    Gars 2, gentilment : Bonjour, c'est toi Marine?
    Moi : Ouais c'est moi.
    Il s'avance vers moi et me prend la main et l'apporte prêt de sa bouche, je ressend comme de l'hypocrisie dans son geste... Je retire ma main rapidement. 
    Gars 2 : Je m'appel Tristan et lui, c'est mon frère Florian.
    Florian m'adressa un sourir vague, puis pris brutalement le bras d'Ophélie. Je ne peux pas tolérer ce geste sur une de mes amies. Cette sensation, qui m'est devenue familière, m'envahie... Je me sens... Confiante et plus forte
    .Moi, sèchement mais calmement : Lâche-la.
    Florian: T'est qui pour me dire ce que je doit faire?
    Ils commençaient a avancer avec Ophélie vers leur voiture. Je pris brutalement le poignet de Florian que je retourna dans son dos. Je le mis à terre et lui fit bouffer la poussière.
    Moi, sadiquement : Je suis qui ? Je suis celle qui a réussie a te mettre à terre en 3/4 de seconde. La prochaine fois que tu traîte mal ta soeur, tu auras a faire à moi, compris?
    Florian, supliant : Ouais ouais, laisse moi partir s'teuplai !
    Je le laissa se relever... Ils partirent...Je revins à la normale...
    Ophélie : Merci Marine, mais... ça va? Tu es... pâle!
    Moi, d'une voie tramblante : Oui, oui ça v...Aaaaaaaaaah !!!
    Je tombas à genoux en toussotant... Ma douleur ne fesait que s'emplifier... J'entendais Ophélie crier... Je sentais quelqu'un me porter, cette personne avait une odeur qui m'étais familière... Je me reveilla en sueurs, dans ma chambre.
    Moi, dans ma tête : Cette odeur c'était celle de... Arff!
    Cette affreuse pression était encore là... Mais cette fois-ci, elle était plus forte... Je resta deux jours au lits... Jusqu'au jour de mes 14 ans tant attendus...

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